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 i want more than two days (charlie)

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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
William Evans
got a fever, can you check ?
William Evans
Since : 19/12/2020 SMS : 703
Sam 13 Fév - 20:10

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Comment penser à autre chose, ton esprit est seulement concentré sur le fait que ce soir, tu la retrouves. Et pas seulement pour une soirée ou pour une nuit, non, pour tout un week-end, deux jours durant lesquels tu comptes bien profiter de chaque minute à ses côtés. Deux jours durant lesquels tu as prévu de la surprendre. Entre son anniversaire et la St Valentin, t’as pas mal de cadeaux à rattraper. D’ailleurs, si t’avais pas entendu ton assistante parler de cet évènement au téléphone, t’y aurais peut-être pas pensé. Quoi que, dans les rues, tout rappelle la St Valentin, tu n’y faisais juste pas attention depuis cette année. T’es loin d’être un garçon romantique, t’essaies de l’être pour elle. T’as passé des heures et des heures à penser à ce que tu pourrais lui offrir, rien pour toi étant assez beau pour lui montrer ton attachement, ton amour pour elle. T’as même demandé conseil à ton chauffeur qui n’a pas été d’une grande aide. T’as pensé à demander à Nathasha mais tu t’es vite ravisé. Quand tu vois cadeaux, tu imagines bijoux ou fleurs, mais c’est bien trop simples pour elle, pas assez symbolique, tu veux trouver quelque chose de marquant. Alors, t’as eu deux idées. Une autre que tu as trouvé sur internet et que tu as trouvé plutôt sympa, inhabituelle et que tu as commandé dans la seconde, te souvenant parfaitement des informations nécessaires à donner. L’autre idée.. Elle mûrit encore dans ta tête. T’en as envie, t’as envie de le faire, de te jeter à l’eau mais tu redoutes sa réaction. C’est pas vraiment un cadeau en fait, c’est un besoin. Un besoin de l’avoir vers toi tous les jours..

« Elle termine dans vingt minutes, je lui ai dit que vous serez devant. » Que tu préviens ton chauffeur pour qu’il aille récupérer Charlie à la sortie du travail. Toi pendant ce temps là, tu vas te changer pour troquer ta tenue si simple par un costume que tu affectionnes. Une envie de te faire beau pour la femme que tu aimes. Même si vous avez tout le week-end pour profiter l’un de l’autre, tu trouves cette soirée spéciale et t’as envie de marquer le coup. Tu ne sais pas pourquoi en fait, c’est comme ça. T’es bien décidé à lui faire vivre deux jours exceptionnels. Sur tous les plans. Un peu de parfum, un coup de peigne dans tes cheveux toujours en bataille.

Tu deviens impatient, traquant sur ton téléphone ou se trouve la voiture de ton chauffeur, voyant le véhicule se rapprocher de toi lentement. T’as envie de l’appeler pour lui hurler dessus, lui demander de se dépêcher. Tu termines t’allumer les dernières bougies alors que tu vois qu’ils sont dans le parking de l’immeuble. Petit passage devant le miroir, tu remets ta chemise correctement. T’entends l’ascenseur se mettre en route et le petit bouton s’allumer, signe que ta belle arrive.

Tu te diriges rapidement vers la cuisine, ouvrant une bouteille de champagne en vitesse pour servir deux coupes. Tu ranges la bouteille dans le frigo avant de rejoindre l’entrée ou Charlie vient seulement de pénétrer. Ton sourire qui s’élargit en le voyant, tu te diriges rapidement vers elle.  Comme toujours, elle est magnifique. Habillée simplement, tu te sens presque ridicule. Mais tu te souviens que la tenue que tu portes parait peut-être banale à ses yeux, toi qui porte très souvent des costumes pour le travail. « Bonsoir ma belle. » Que tu dis avant de te pencher vers elle pour embrasser ses lèvres qui te manquaient tant. Tu te recules juste après, tendant à Charlie l’une des coupes que tu viens de servir qu’elle attrape dans la foulée. Vous entrez ensemble dans ton grand appartement, laissant à Charlie la joie de découvrir la grande pièce à vivre décorée de quelques bougies, des tapis pour installer par terre, des fleurs, quelques lumières artificielles de toutes les couleurs, le tout sur la vue de la ville qu’offre ton appartement. T’avais envie de marquer le coup et ce en changeant du traditionnel repas à table. Tu la laisses découvrir l’endroit sans un mot, posant ton verre au niveau des nombreux coussins vers lesquels vous pourrez vous installer dans quelques instants. Tu observes ce sourire sur son visage, pas peu fière de ce que tu as entrepris. Même si tu as eu de l’aide évidemment.

Tu reviens vers elle, attrapant sa taille de tes deux mains pour la faire tourner en face de toi, ta main qui remet une mèche de ses cheveux derrière son oreille. « Encore joyeux anniversaire. » Que tu souffles alors que ton visage vient de nouveau vers le sien pour un baiser un peu plus passionné que tout à l’heure, tes lèvres qui bougent contre les siennes et qui entrevoient un passage vers sa langue, intensifiant sans mal cet échange. Tes mains remontent le long de son corps pour se poser sur ses joues, l’obligeant à rester contre toi. Tu te sépares finalement d’elle, sourire aux lèvres qui révèlent combien tu es heureux de la retrouver. « On va s’installer ? » Que tu demandes sans vraiment lui laisser le choix puisque tu attrapes déjà sa main pour l’emmener avec toi jusqu’au couverture.

Vous asseyez ensemble, laissant la joie à Charlie de découvrir ce petit coin de paradis que tu espères avoir su créer. Tu reprends ta coupe entre tes mains, la levant vers elle pour trinquer à cette soirée que tu sais déjà merveilleuse. D’un coup, tu te dis que de lui avoir donné sa coupe en arrivant n’était pas vraiment une bonne idée. Après tout, tu aurais pu attendre que vous vous installiez. « A toi. » Que tu dis, tapant ton verre contre le sien. « Ça te plait ? » Que tu demandes, connaissant déjà la réponse. Enfin, tu l'espéres fortement. Et puis, la soirée n’est pas terminée, tu comptes bien lui offrir le monde. Mais chaque chose en son temps.


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Mar 16 Fév - 12:57

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L’impatience qui te gagne alors que les dernières heures de la journée touchent à leur fin. Tu as été excitée durant tout le service, sourire plaqué sur les lèvres et que tu n’es pas parvenu à faire disparaître, malgré les quelques tracas auxquels tu as dû faire face aujourd’hui. Encore une heure ou deux et tu seras libre. Un weekend entier sans avoir besoin d’aller bosser. Deux jours bien mérités et dont tu comptes profiter à fond. Et surtout, tu ne les passeras pas seule… Et c’est bien cela qui te met en joie. L’idée de le retrouver lui, et passer un peu plus de quarante-huit heures ses côtés. Tu pianotes sur ton nouveau téléphone un message que tu lui envoies, pour signifier que tu as finie d’ici une demi-heure. Tu as tout prévu, ramenant ici même tes affaires pour le weekend, évitant ainsi au chauffeur envoyé, de repasser à ton appartement pour prendre ce dont tu as besoin.

Quand tu quittes l’établissement, la nuit est déjà tombée. Le chauffeur est bien présent et t’attend, sortant de l’habitacle pour récupérer ton sac et t’ouvrir la portière. Tu le remercies d’un sourire avant de t’engouffrer à l’intérieur. Ceinture bouclée, voiture lancée, tu n’attends pas plus longtemps pour envoyer un nouveau message à William et lui dire que tu es en chemin, l’informant aussi de ton empressement de le retrouver. Le trajet te parait affreusement long, surtout dans cette circulation dense. Tu tentes de faire la conversation avec le chauffeur mais peine perdue. Il ne répond pas à peine. A-t-il reçu des ordres de William ? Tu n’en sais rien. Et au fond, tu t’en fiches un peu. C’était juste histoire de passer le temps… Regard rivé vers l’extérieur, tu te perds dans la contemplation des rues de la ville et des néons des boutiques, doigts qui pianotent nerveusement sur la portière. Quand enfin, tu reconnais le quartier. Ça y est, vous êtes arrivés. La voiture se rend dans le parking souterrain et une fois garée, tu ne perds pas de temps pour en sortir, ne laissant même pas le soin au chauffeur de jouer au gentleman, comme il a pu le faire tout à l’heure. Tu es bien trop impatiente, maintenant que vous êtes arrivés dans l’immeuble.

Telle une enfant qui se rend dans un magasin de jouets, tu te diriges en sautillant vers l’ascenseur, sommant le chauffeur de se dépêcher d’une voix enjouée. Ce n’est pas un ordre, loin de là. Juste que tu es pressée et impatiente de revoir William. A peine quelques jours loin de lui et te voilà déjà accro à sa présence… La cabine grimpe les étages, et tu remarques le petit sourire en coin du chauffeur qui tente tant bien que mal de rester neutre. Le ding caractéristique de votre arrivée se fait entendre, et tu ne perds pas une seule seconde pour en sortir, l’homme de main laissant tes affaires à l’entrée de l’appartement, avant de repartir avec l’ascenseur. William est là. Il t’attend. Deux coupes de champagne dans les mains. Ton cœur manque un raté. Il est si beau dans on costume. Si apprêté. Alors que toi… En quelques pas, tu te retrouves près de lui, tout sourire, avant de l’embrasser prestement, encadrant son visage de tes deux mains. Cette opération renverse un peu de champagne, mais tu t’en fiches pas mal. Cependant, tu finis tout de même par t’écarter et le laisser respirer. Même pas trente secondes que tu es là, et tu l’étouffes déjà…

William te tend une coupe que tu saisis, avant que tu ne le suives jusque dans la cuisine, main dans la main. Et là, tu es bouche bée. Ce qu’il a mis en place est sublime. Vraiment très romantique. Tu détailles le tout avec des étoiles dans les yeux. « C’est… magnifique. » que tu souffles, sourire qui s’élargit alors que tu avances dans la pièce pour mieux voir tout ce qu’il a préparé, posant par la même occasion ta coupe de champagne sur l’îlot près de toi. Puis, le brun revient vers toi en te souhaitant joyeux anniversaire. Tu avais presque oublié ce détail. « Merci » que tu parviens tout juste à articuler avant qu’il ne vienne t’embrasser. Baiser passionnée qui se veut rapidement plus intense, les mains de William venant parcourir ton corps alors que les tiennent se perdent dans sa tignasse. Si vous vous écoutiez tous les deux, pour sûr que vous passeriez directement au dessert… Mais à croire que vous avez lu dans les pensées l’un de l’autre, vous finissez par vous éloigner pour reprendre vos esprits. « Si j’avais su, j’aurais mis une autre tenue » que tu finis par dire, faisant bien évidemment référence au costume que porte William. De ton côté, tu portes un simple jean avec des baskets blanches ainsi qu’un pull d’hiver tout fluffy noir. En somme, rien d’extravagant. Si tu avais eu la moindre idée de ses plans, sûrement aurais-tu opté pour une petite robe de soirée avec escarpins.
Attrapant ta flute de champagne posée sur l’îlot, tu suis William jusqu’au petit coin romantique qu’il a mis en place. Vous vous installez sur les couvertures et le brun lève son verre pour trinquer en ton honneur. « A nous ! » que tu rectifies en levant à ton tour ta flute pour la faire venir s’entrechoquer contre celle de William. « J’adore ! » que tu réponds avec sincérité lorsque William te demande si tu aimes ce qu’il a fait. De toute façon, tu es certaine d’aimer tout ce qui pourrait venir de lui… L’amour semble flotter dans l’air alors que vous buvez le champagne en vous dévorant des yeux. Mais ton ventre décide de mettre son grain de sel en se manifestant, faisant ainsi éclater cette bulle rien qu’à vous. « Je crois que j’ai faim » que tu lances avant de rigoler, les joues légèrement roses d’embarras.



William Evans
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William Evans
Since : 19/12/2020 SMS : 703
Mer 17 Fév - 16:16

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T’as pensé pendant des heures à ce que tu pourrais préparer pour que cette soirée ensemble soit mémorable. T’avais pas envie d’être trop cliché ou d’en faire trop. Mais finalement, pour elle, t’en feras jamais assez. Lui préparer ce petit coin d’amour, c’est le moins que tu puisses faire. T’as renvoyé Pamela chez elle une fois qu’elle avait terminé de cuisiner et t’aider à monter tout ça. Tu veux avoir Charlie rien que pour toi, sans avoir à te demander si quelqu’un vous écoute. Même si tu sais que Pamela en sait beaucoup plus qu’elle ne le devrait. C’est elle qui fait le ménage dans la salle de jeu quand même.

« Tu es très belle ainsi. » Tu aurais peut-être dû t’habiller autrement, ou peut-être la prévenir. Mais finalement, elle n'a pas besoin de mettre une robe et des talons pour te plaire, même dans cette tenue si simple, tu la trouves resplendissante, magnifique, désirable. Tout chez elle te fait perdre la tête de toute manière, qu’importe ce qu’elle porte sur elle. Charlie attrape sa flûte de champagne et te rejoins sur les couvertures entassées sur le sol. Vous levez vos verres et tu trinques à elle, à son anniversaire, à sa venue ici qui te réchauffe le cœur. Elle rectifie en trinquant pour vous deux et tu ne relèves pas ses mots, souriant simplement en tintant ton verre contre le sien. Plutôt, tu lui demandes ce qu’elle pense de ce que tu as concocté, espérant que ça lui plaise. T’espères ne pas en avoir trop fait. T’es tellement nulle en relation amoureuse, véritable novice, t’as peut-être voulu tout donné pour lui montrer que tu es capable de faire plaisir, de prendre soin d’elle. Chose que tu ne faisais pas avec tes soumises. Tu les baisais et c’est tout, t’as jamais eu à être un petit ami, aux petits soins. Surtout, parce que tu n’en avais pas envie. Là, c’est différent. Pour Charlie, tu pourrais tout faire, tout afin de la rendre heureuse. Elle te rassure en répondant qu’elle adore, ton sourire qui se fait plus grand sur ton visage, fière de voir le sien s’afficher à son tour. Vous buvez alors votre champagne sans lâcher l’autre du regard mais le bruit du ventre de Charlie vous ramène à la réalité. Tu ris doucement en comprenant qu’elle a sûrement faim. T’y avais même pas pensé encore, à manger. « On a de quoi grignoter, attends. » Que tu dis en posant ta flûte pour te lever afin de rejoindre la cuisine ou tout ce qu’il faut pour un pique nique se trouve. Tu emmèneras pas tout d’un coup mais au moins vous avez de quoi rester ici des jours entiers sans mourir de faim. Tu prends une assiette ou trône des club sandwich. Pas les basiques, évidemment. Pamela cuisine très sophistiqué et ça ne t’a jamais dérangé. Pour toi c'est même devenu la normalité. Ça ne t’étonnerais même pas qu’il y ait du caviar là dedans, ou de la truffe partout. Elle sait choisir les ingrédients, faut dire qu’elle a carte blanche sur les produits et budget illimité.

Tu prends d’autres petits plats, des petits légumes découpés et de la sauce, des blinis, des toasts en tout genre ainsi que les fameux sandwich pour les ramener le tout vers Charlie, déposant tout entre vous deux. « Voilà, prends ce que tu veux. Et il y a encore plein d’autres choses dans la cuisine, si tu veux. » Que tu annonces en te rasseyant près d’elle. Tu prends l’un des toasts, tu les reconnais facilement, Pamela les fait très souvent. « Saumon fumé, betterave et chantilly de mascarpone. » Que tu dis en donnant, sourire aux lèvres alors que t’avales ta première bouchée que tu fais descendre avec une gorgée de champagne. Tes yeux se tournent vers elle et tu réalises la chance de l’avoir avec toi, et de l’avoir trouvé. Il y a encore quelques mois, tu aurais ris si on t’avait dit que tu tomberais amoureux d’une femme, toi, le réfractaire à l’amour. Et te voilà aujourd’hui, prêt à tout pour une seule fille. Cette fille que tu n'amènes même pas dans tes fantasmes les plus sombres. Elle te comble d’une manière que tu ne connaissais même pas. Elle te rend différent, peut-être meilleur. T’en sais rien. Mais tu aimes ça. « C’est un peu notre premier rendez vous ce soir. » Que tu confies, sourire aux lèvres alors que tu captes ses beaux iris. Vos autres soirées ne comptent pas vraiment. Aucune n’a terminé comme tu l’espérais réellement. Et celle de vos retrouvailles fut parfaite, tout comme la journée qui l’a suivie. Mais pas prévu. Là, c’est une soirée planifiée et c’est une première. Pour vous et aussi pour toi, tout simplement. « Enfin pour moi, c’est mon premier rendez-vous avec une femme, simplement. » Tu ne sais pas si c’est judicieux de le dire mais tu joues carte blanche avec elle, non ? Elle s’en doutait de toute manière. « Et je trouve ça plutôt sympa, surtout que c’est avec toi. » Ton sourire ne quitte plus tes lèvres alors que tu te penches vers les siennes en posant ta main sur sa joue pour approcher son visage. Tu déposes un tendre baiser sur sa bouche pour confirmer tes paroles.
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Ven 19 Fév - 11:47

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Tu ne t'attendais pas à une telle attention. Une telle mis en scène. Tu as des étoiles dans les yeux lorsque tu découvres les lieux. Tu es touché par ce qu'il a fait. Tout ça juste pour toi. Tu ne sais pas quoi lui dire à part merci, un peu gênée parce que de ton côté, tu n'as rien ramené. Tu le suis, jusqu'à la petite installation romantique qu'il a entreprit. Vos verres tintent et tu bois une gorgée de ce succulent champagne. Tu ne t'y connais pas en alcool, mais tu as suffisamment de palet pour savoir que ce n'est pas une bouteille bas de gamme. Les bulles sont fines, le goût divin. Tu aimes beaucoup. C'est cet instant que ton ventre choisi pour se manifester. Tu n'as rien mangé de la journée et il crie famine. Tu rigoles, affirmant que tu as faim. Inutile de le dire puisque le bruit est assez caractéristique. William réagit au quart de tour, se levant d'un bon pour aller à la cuisine et revenir avec des amuse-bouche. L'eau à la bouche et de nouveau des étoiles dans les yeux. « Tu as prévu d'inviter d'autres gens ? » que tu demandes pour taquiner, face à la quantité préparée et lorsque William affirme qu'il y en a encore en attente dans le frigo. Il y en a beaucoup trop pour deux et tu ne sais pas par quoi commencer. Le brun énonce ce qu'il y a dans l'un des sandwich et il ne t'en faut pas plus pour goûter. C'est vraiment très bon, en témoigne l'air que tu as et le soupire de satisfaction qui s'échappe de tes lèvres d'enfin pouvoir manger. « C'est toi qui as fait tout ça ? » que tu t'enquiers de savoir rapidement, oubliant totalement l'existence de Pamela. Cette femme que tu n'as encore jamais vue et qui semble tout faire dans cette maison. Vous mangez en silence et tu savoures chaque bouchée, faisant passer le tout de temps en temps avec une gorgée de champagne. Et finalement, c'est William qui brise le silence. Affirmant qu'il s'agit de votre premier rendez-vous, et encre plus dans son cas. Un sourire sincère vient étirer tes lèvres. Un satisfaction personnelle que tu ne parviens pas à cacher lorsque tu comprends que tu es la première avec qui il entreprend quelque chose de ce genre. Le brun répond à ton sourire, avant de se pencher pour t'embrasser. Baiser auquel tu réponds sans hésiter. « Tout est parfait. » que tu avoues alors qu'il se recule. Tu es aux anges et tu te sens bien. Apaisée. Pour la première fois depuis si longtemps. Et c'est d'autant lus agréable lorsque tu réalises que ce n'est que le début du week-end et que tu vas passer deux jours en sa compagnie. Tu n'as rien besoin de plus. Tu continues de manger ce qui a été préparé, dans un silence presque religieux alors que tu observes William. Pas besoin de parler, sa présence te suffit et t'apaises. Tu as le cœur léger et l'esprit qui part ailleurs. Puis, tu vides ta coupe de champagne d'une traite avant de la poser de côté. Toujours sans un mot, tu dégages de ton chemin la nourriture, afin de pouvoir te rendre sans encombre jusqu'à lui. Ce que tu fais. A genoux devant William, tu attrapes son visage de tes deux mains avant de l'embrasser avec passion sans pour autant approfondir cet échange. Puis, tu poses quelques secondes ton front contre le tien. « J'ai rien prévu d'aussi incroyable... » que tu souffles doucement, en gardant cette position. « Mais y'a bien une chose à laquelle j'ai pensé... » que tu finis par lui révéler, avant de te lever et lui tendre la main afin qu'il en fasse de même. Sans un mot, tu l'entraînes à ta suite. Tu le guides dans les longs couloir, jusqu'à la chambre. Mais ce n'est pas la destination que tu as choisi. Tu poursuis, jusqu’à cette pièce si particulière et qui t'angoisse tant. Toujours en silence, tu ouvres la porte et allume la lumière avant de te tourner vers William. Tu aimerais lui dire que tu es prête à essayer. Que tu lui fais confiance et que tu veux bien tenter l'expérience et entrer dans son monde. Mais les mots sont bloqués au fond de ta gorge. Une angoisse que tu ne parviens pas à effacer, même si tu sais ce que tu fais. Alors, à la place, tu commences à te déshabiller. Tu déboutonnes ton pantalon qui vient s'échouer au sol, avant d'enlever ton pull qui en fait de même. Tu te trouves ainsi devant lui, en petit tenue. Dentelle noire que tu as choisi avec soin et qui met parfaitement tes courbes en valeur. Puis, tu t'approches doucement. « Joyeuse saint valentin » que tu souffles avant de te mettre sur la pointe des pieds pour l'embrasser tendrement.

William Evans
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William Evans
Since : 19/12/2020 SMS : 703
Ven 19 Fév - 19:17

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« Non, je te garde pour moi tout seul. » Que tu réponds lorsque Charlie réagit à la quantité astronomique de nourriture que Pamela a prévu pour vous ce soir. Elle fait toujours tout dans la démesure et ça ne t'étonne même plus désormais, mais tu peux comprendre que ta petite amie soit un peu choquée. Tu souris pourtant, passent à autre chose alors que tu t’installes à ses côtés sur les couvertures. Tu lui proposes l’un des amuse bouche, dictant son contenu que tu sais savoureux. Charlie te demande alors si toi qui a fait tout ça. Évidemment que non, t’en serais tout bonnement incapable. T’as même jamais touché à la cuisine, c’est vraiment un domaine qui ne t’intéresse pas et tu as toujours eu quelqu’un pour te faire à manger. Honnêtement, tu ne sais même pas où sont rangées les casseroles ici. « Heureux que tu puisses me penser aussi doué en cuisine mais non, c’est Pamela. » Elle sait qui elle est, Charlie a déjà pu goûter aux merveilles de ta cuisinière. Vous mangez alors et l’envie de te confier te prend, lui révélant que c’est votre premier vrai rendez-vous, et surtout le premier pour toi qui n’a jamais reçu une femme sans que cela soit dans le but de la baiser. Là, c’est très différent puisque tu aimes Charlie et tu ne fais pas que la désirer physiquement. Tu finis par embrasser furtivement ses lèvres pour accompagner ta confidence, sourire qui se lit sur vos deux visages. Le silence vient ensuite apaiser le moment, chacun pensant de son côté. Toi, à la chance de l’avoir dans ta vie. Tu réalises combien elle a chamboulé ton quotidien et tes convictions. Toi qui ne pensait jamais tomber amoureux, toujours profiter des femmes que pour leur corps. Aujourd’hui, c’est bien différent. Des semaines que tu n’as pas été l’autre Will, celui que Charlie ne connaîtra sûrement jamais. Est-ce que ça te manque ? Peut-être, mais tu préfères t’arrêter d’y penser. D’ailleurs, la brune vient perturber ton esprit, tu l’entends se rapprocher de toi alors qu’elle déplace la nourriture qui était sur son chemin. Elle vient se placer devant toi, à genoux, ton regard qui se perd sur sa personne, un petit sourire en coin. Ses deux mains viennent se poser sur tes joues alors que les tiennes s’agrippent à sa taille pour tenter de la rapprocher de toi. Baiser passionné auquel tu voudrais répondre plus fort mais elle t’en empêche, posant son front contre le tien. Tu fermes les yeux, humant son parfum que tu aimes tant. Ses mots te ramènent à la réalité. Qu’elle n’ait rien prévu ne te dérange pas, tu ne l’avais pas prévenu que tu voulais faire de cette soirée un moment spécial. Et tu trouves ton bonheur en la rendant heureuse, ça te suffit amplement. Puis elle t’intrigue davantage, parlant d’un truc auquel elle aurait pensé. C’est à ce moment-là qu’elle se décolle de toi, tu ouvres de nouveau les yeux pour l’observer alors qu’elle te tend sa main. Tu la suis, sans vraiment comprendre ou vous pourriez vous rendre ici. « Où tu m’emmènes ? » Que tu demandes mais elle ne te répond pas, t’entraînant dans le long couloir. Vous approchez de la chambre, tes pensées fantasques qui arrivent mais qui repartent aussitôt quand Charlie passe la pièce sans s’arrêter.

C’est finalement vers la salle de jeu qu’elle s'arrête, ouvrant la porte dans la foulée, sans te laisser le temps de comprendre. « Charlie.. » Que tu murmures alors qu’elle s’engouffre à l’intérieur. Elle ne dit pas un mot et tu l’observes aussi en silence, la laissant faire puisque c’est elle qui a voulu se rendre ici. Tu ne veux pas te dire qu’elle veut tenter l’expérience, t’as appris à ne pas te faire de faux espoirs. T’es même pas sûr d’en avoir envie. Enfin si, tu t’es déjà imaginé pas mal de scénario dans cette pièce avec elle mais tu te forces toujours à arrêter d’y penser, sa réaction lorsque tu lui as montré la pièce te revenant à l’esprit. Pour toi, c’était impossible. Tu restes bouche bée lorsqu’elle commence à se déshabiller sous tes yeux, enlevant d’abord son jean puis son pull. Ses sous-vêtements sont incroyablement sexy, et tes yeux la parcourent sans modération, l’excitation montant en flèche. Est ce qu’elle veut vraiment essayer ? T’y crois pas vraiment, tu restes là, sans bouger, attendant un signal de sa part, des réponses. Au lieu de ça, elle s’approche de toi, se surélevant pour venir t’embrasser avec passion, te souhaitant juste avant une bonne St Valentin. Pas le temps de répondre, tu la prends contre toi, attrapant ses hanches pour la coller contre ton corps. T’intensifie ce baiser, vos langues qui se retrouvent alors que tes mains passent sur sa poitrine pour aller jusqu’à son visage. Tu recules ses lèvres des tiennes, tes yeux qui se plantent dans son regard. « Est-ce que tu es sûre, Charlie ? » Que tu souffles contre sa peau. Tu prends des pincettes parce qu’elle n’a aucune idée de qui tu es dans cette pièce. Ta main sur sa joue, tu caresses sa peau en douceur. Contrastant certainement avec ce que ton esprit entreprend déjà.. De toute façon, tu iras doucement avec elle, tu ne lui montreras pas tout de l’homme que tu es dans cette pièce. Tu prends sa main et tu l’entraînes dans la pièce, la laissant observer plus attentivement, plus que la dernière fois ou elle a vite déguerpi. Tu laisses ses yeux se familiariser avec l’environnement. Si tu t’écoutais, tu t’occuperais d’elle dans la seconde mais tu retiens tes pulsions les plus brutales, gardant cela pour plus tard. Tu viens derrière d’elle, passant tes bras autour de son corps pour venir la serrer contre toi, ton érection naissante contre elle. Ton visage qui s’engouffre dans son cou que tu embrasses. « Crois moi, j’en ai très envie.. mais je veux que tu sois certaine. » T’as vraiment pas envie de la perdre, alors tu veux qu’elle te confirme cette envie, qu’elle l'exprime clairement.

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Sam 20 Fév - 10:16

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Tu te perds dans le regard de William alors que vous mangez. Tout ce qu'il a préparé pour toi... tu n'en reviens pas. Et cela ne fait même pas une heure que tu es là. A-t-il prévu d'autres choses pour le week-end ? Cette idée t'excite comme une puce et tu as bien du mal à le cacher. Mais une autre pensée parasite vient faire irruption. Toi, tu n'as rien prévu. Enfin presque. Tu as bien eu une idée mais tu ne pensais pas la mettre à exécution si rapidement. Mais finalement, peut-être est-ce le bon moment ? Alors, sans rien dire, tu t'approches de William. Tu l'embrasses tendrement sans pour autant lui laisser le temps d'approfondir l'échange. Tu te lèves et, sans un mot, tu le guides jusqu'à la salle de jeu. Pas besoin de dire quoique ce soit, l'évidence saute aux yeux. Dans la pièce, et toujours sans rien dire, tu t'offres à lui. Retirant un à un tes vêtements pour ne garder que ceux plus intimes. Puis à nouveau, tu viens l'embrasser. Comme un appel. Une façon de lui dire que tu veux essayer. Cadeau pour la fête des amoureux que tu lui offres, même si tu as un peu peur. Vos corps se collent alors que votre baiser se veut plus fougueux. Puis, le brun plonge ses yeux dans les tiens. Est-ce que tu es sûre de ce que tu fais ? Pas vraiment... Et pourtant, tu hoches la tête en guise de réponse. Tu lui fais confiance, même si une appréhension te tord le ventre. Arès tout, tu ne connais rien de ce monde là. Et la première chose qui te vient quand tu y penses, c'est la douleur de ces pratiques. William attrape ta main pour que tu avances dans la pièce et que tu prennes tes marques. Tes doigts tremblent légèrement dans les siens, bien malgré toi. Tu déglutis lorsque tes yeux se posent sur tous les accessoires. Il y a vraiment beaucoup de choses. Des choses dont l'utilisation est évidente et d'autres beaucoup moins, voire que tu ne connais pas du tout. Est-ce une si bonne idée que ça ? Tu n'en ai plus si sure... Et à croire que William a lu dans tes pensées encore une fois, il vient t'enlacer par derrière, te faisant sursauter. Une tendresse qui contraste avec l'endroit. Il t'embrasse dans le cou et tu fermes les yeux, ton corps qui s'abandonne contre le sien, ta tête qui se pose sur son torse. Tu sens sans peine l'effet que tu lui fais. Instinctivement, l'un des te bras se lèves pour que ta main puisse aller se perdre dans sa tignasse. Tu te laisses aller sous ses baisers, oubliant presque l'endroit où tu es. Tu as confiance en lui. Ces mots raisonnent avec intensité dans ton esprit. Tu pivotes, tes bras qui s'enroulent autour de ses épaules. « Je t'aime William. » que tu souffles doucement, verrouillant ton regard dans le sien captivant. Tu as froid tout à coup. Parce que tu redoutes grandement la suite des événements. Réaction de ton corps qui est bien difficile de contenir et qui ne passe donc pas inaperçue. « J'ai peur. » que tu avoues finalement, demi sourire lorsque tu vois tes bras se couvrir de chair de poule. « Mais j'ai confiance en toi. » que tu termines en l'embrassant doucement, corps encore tremblant. Tu sais qu'il ne te fera pas de mal. Du mois, pas tout de suite. Qu'il ira doucement, contrairement à ses anciennes soumises. Enfin, tu le supposes. Au fond, tu ne sais pas comment il agissait avec elles. Mais il t'aime non ? Et ça, ça fait toute la différence.
William Evans
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William Evans
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Sam 20 Fév - 15:29

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Jamais tu n’aurais pensé que Charlie souhaiterait se rendre dans ta salle de jeu. Et même si t’en es vraiment heureux, tu veux qu’elle soit absolument sûre. Parce qu’ici, tu n’es pas la même homme et tu espères sincèrement qu’elle en est conscience. Bien que pour elle, tu seras différent d’avec tes soumises. Son corps sous tes yeux t’hypnotise, tu penses déjà à vos deux êtres réunis. Tu la laisses pourtant parcourir la pièce, histoire qu’elle se familiarise avec l’endroit, qu’elle te pose des questions si elle le souhaite, et qu’elle confirme son envie. Tu attends patiemment mais tu ne résistes pas longtemps avant de la rejoindre, passant tes bras autour d’elle pour approcher son corps du tien. Tu lui demandes à nouveau. Tu ne veux pas agir avec qu’elle n’a pas vraiment envie. T’espères qu’elle ne se force pas juste pour te faire plaisir pour la fête des amoureux. Tes lèvres trouvent son cou, déposant des millions de baisers sur sa peau déjà chaude. Tu souris alors qu’elle lève son bras pour venir poser ses doigts dans tes cheveux. Tu grognes presque contre sa peau. Soudain elle pivote dans tes bras, les siens se nouant autour de ton cou, vos yeux qui se retrouvent pour ton plaisir. Tu veux lire en elle et tu sens de la nervosité. Un frisson parcourt ton corps alors qu’elle t’avoue à nouveau son amour, ton sourire qui ne fait que s’agrandir, ces mots qui te réchauffent le cœur. Tu veux la rendre heureuse, et lui donner tout le plaisir qu’elle mérite. Son corps tremble légèrement alors que tu passes ta main sur sa joue pour caresser sa peau. Tu observes cette chair de poule sur son corps et tu imagines soudainement qu’elle a froid. Tu sais déjà comment la réchauffer. Mais d’abord, tu l’approches un peu plus de toi, souhaitant partager ta chaleur avec elle. Les mots qu’elle souffle ensuite accompagnent cette réaction de son corps. Tes yeux posés sur sa peau remontent vers les siens, interloqués. Tu peux comprendre sa peur. Simplement parce qu’elle ne pense qu’à la douleur. Sans s’imaginer que le but principal, c’est le plaisir. D’ailleurs, tu ne comptes pas lui faire mal. Parce que tu n’en as pas envie. Tu ne veux que son bonheur. T’ouvres la bouche mais elle continue, avouant sa confiance pour toi. Ses mots qui te rassurent. Tu la veux, et tu veux lui montrer que cette pièce n’est pas faite pour le faire souffrir. Tu espères qu’elle le comprenne vite. Tu te penches de nouveau, posant tes lèvres sur les siennes. « Je t’aime, n’ai pas peur. » Que tu souffles contre sa bouche avant de bouger tes lèvres pour l’embrasser amoureusement, avec toute la passion qui vous anime, tes mains qui se glissent dans ses cheveux, s’agrippant dessus.

« Attends ici. » Que tu ordonnes avant de quitter son corps pour te rendre ailleurs dans la pièce. En te rendant jusqu’à la commode qui t’intéresse, tu retires ta veste et ta chemise sous les yeux de Charlie, laissant le tout tomber au sol. Tu ouvres l’un des tiroirs pour en sortir un bandeau noir que tu caches entre tes mains lorsque tu rejoins la belle brune qui te regarde sans un mot. Tu te places derrière elle, ton corps frôlant le sien, tu lèves tes deux mains pour passer le tissus noir sur ses yeux, nouant les deux extrémités derrière sa tête sans lui donner plus d’explication. Tu te baisse alors pour attraper ses jambes et la faire basculer dans tes bras, tu l’emmènes jusqu’au grand lit qui centre la pièce. La déposant dessus, tu embrasses son ventre alors que tu te redresses pour faire le tour du lit. « Ne bouge pas. » Que tu dis, un ton peut-être trop autoritaire, tu ne te rends plus compte de rien. Tu es dans un contrôle constant de toi-même, essayant de toutes tes forces de ne pas être trop brutal, gardant tes pulsions les plus folles pour toi. Au lieu de ça, tu attrapes son poignet pour venir l’attacher à la cordelette déjà fixée sur la tête de lit. Tu sers le nœud, pas trop fort mais assez pour l’empêcher de te s’en défaire. Tu fais de même de l’autre côté, embrassant son poignet alors que tu verrouilles la corde dessus. Tu descends ton pantalon au bout du lit en même temps que tu observes Charlie, presque nue et totalement à ta merci sur ce lit, alors qu’elle ne te voit même pas. Cette vision est irréelle, parfaite, tellement excitante. Tu ne vas pas la torturer pas longtemps simplement parce que tu as beaucoup trop envie d’elle. Tu glisses contre son corps, tes lèvres qui embrassent d’abord ses mollets avant de remonter sur ses cuisses tremblantes, déposant un baiser sur son sous-vêtement avant de passer sur son ventre. C’est sur sa poitrine que tu t’attardes un peu plus, tu sors ses seins du tissu avec tes doigts, laissant tes lèvres s’occuper de ses tétons déjà tendus pour toi. Tu les mordilles. Trop fort ? Peut-être, mais tu ne peux pas t’en empêcher. Tu en rêves depuis si longtemps. Tu passes sur ses deux seins ainsi avant de remonter jusqu’à sa bouche que tu embrasses que très furtivement avant de te redresser. Finalement, tu veux qu’elle t’observe et tes doigts viennent libérer sa vue. Tu la regardes quelques secondes, ses iris t’ayant manqué avant de reprendre l’assaut de sa peau, glissant ta bouche dans son cou pour redescendre afin de retrouver son intimité. Tes doigts attrapent sa culotte pour lui retirer en douceur, en lenteur, tes yeux qui la parcourent sans modération. Tu t’allonges entre ses cuisses dans l’instant, attrapant ses fesses avec ferveur, les serrant entre tes doigts alors que tu glisses ton visage contre son intimité, ta langue jouant sur son clitoris gonflé. Tu te languis de la savoir incapable de bouger les mains alors que tu lui procurent un plaisir non dissimulé.


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Dim 28 Fév - 15:48

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Tu n'as rien à lui offrir pour ce week-end de saint valentin. Pas les moyens ni le temps d'acheter quoique ce soit. Et puis, quoi acheter à un homme qui a déjà tout ou peut tout se payer ? Tu n'as rien prévu, ou presque... Perdue dans tes pensées, tu prends une décision importante. Sans un mot, tu entraînes William jusqu'à sa salle de jeu où tu te déshabilles en silence. Pas besoin de mots, tes actes sont suffisamment explicites. Tu sais ses penchants sexuels et depuis que vous êtes ensembles, il n'a rien entrepris de ce côté. Faut dire que tu as mal réagi la première fois où il t'a conduit ici. Et tu te doutes qu'il se retient depuis... Mais tu ne peux pas changer qui il est ni ses envies. Et tu sais que tu ne pourras pas y échapper encore longtemps. Surtout si tu veux le garder... Tu l'aimes et tu as confiance en lui. Univers que tu ne connais pas, tu décides d'y plonger maintenant. Même si tu as peur, malgré tout l'amour que tu peux porter à cet homme. Crainte que tu énonces à voix haute lorsqu'il s'approche de toi, inquiet de la décision que tu prends. Tu trembles contre lui. Mais c'est surtout que tout est inconnu pour toi, et tu ne parviens pas à penser à autre chose que la douleur que tous les accessoires dans la pièce peuvent infliger. N'imaginant pas une seule seconde le plaisir que tu pourrais ressentir... Mais sa déclaration te rassure et tu te calmes dans ses bras.

Finalement, William s'éloigne. Tu ne bouges pas alors que tu le suis des yeux. Plaquant tes bras contre toi pour te donner un peu de chaleur, tu le regardes fouiller dans un tiroir. Tu ne vois pas ce qu'il prend et c'est un regard interrogateur que tu lui lances lorsqu'il revient pour se glisser dans ton dos. En silence, William place un bandeau sur les yeux. Instantanément, tes sens se mettent en éveil. Tu entre-ouvre la bouche, surprise par cette obscurité soudaine. Subitement, le brun te prend dans ses bras. Un léger cri de surprise s'échappe de tes lèvres lorsque tes pieds se détachent du sol. Tu ne t'y attendais pas. Par la suite, tu comprends qu'il te pose sur le grand lit trônant au centre de la pièce. Les draps de satin sont froids sous ta peau qui réagit dans l'instant. Tu obéis à l'ordre de William, à savoir celui de ne pas bouger. Tu te concentres pour écouter ce qu'il fait. Tu le sens tourner autour du lit, sans pour autant savoir ce qu'il compte faire. Ce n'est que quand il attrape tes poignets pour les attacher au dessus de ta tête que tu comprends. Puis de nouveau le silence. « William ? » que tu demandes, ne sachant pas où il est désormais. Sensation d'impuissance qui te submerge, tu redresses tes jambes comme pour te protéger. Réaction non contrôlée et réflexe du fait que tu te retrouves à moitié nue et entravée. Ton pouls s'accélère alors que le brun ne te répond pas. Finalement, tu perçois son poids sur le lit et sa présence au dessus de toi. La chaleur que dégage son corps alors qu'il vient embrasser ta peau. Ligne de baisers jusqu'à tes seins qu'il libère d'un seul geste pour en venir torturer les pointes déjà dressées. Instinctivement, ton corps se cambre sous le plaisir qu'il te procure alors qu'un soupire s'échappe de ta bouche. Sensations décuplées parce que tu as les yeux bandés. Baiser furtif qu'il vient cueillir alors que tu ne t'y attendais pas. Pas le temps d'y répondre que déjà William se dégage de toi, faisant monter la frustration de ne rien pouvoir faire. Mais contre toute attente, il vient retirer le bandeau qui entravait ta vue. Tu clignes des yeux plusieurs fois, afin de t'accoutumer à la lumière qui te prend par surprise. Ton regard qui se perd sur son corps parfaitement sculpté et surtout, la bosse naissante derrière le dernier bout de tissu qu'il porte. Tu te mordilles la lèvre inférieure avec une envie non dissimulée.

Ses mains viennent se saisir de ta culotte avec l'intention de te l'enlever. Tu relèves les fesses, afin de l'aider. Tu ne sais pas ce qu'il a en tête mais tu es déjà excitée. Ou plutôt tu as ta petite idée. Tu pensais qu'il viendrait te doigter, mais tu as tout faux. Ses doigts que tu aimes tant viennent, à la place, se saisir de tes fesses tandis que sa bouche part à l'assaut de ton intimité. Exclamation de surprise qui traverse tes lèvres alors que tu te cambres sous sa langue experte. Jambes laissées libres, tu les redresses, venant appuyer tes cuisses contre ses flancs. Tu le regardes faire, tu n'en perds pas une miette... Mais le plaisir qui te submerge t'oblige à fermer les yeux. Tête que tu jettes en arrière, tu laisses les sensations te parcourir. « Will...S'il te plaît.... » que tu gémis entre deux soupirs en redressant ton visage. Une supplique que tu lances parce que tu sais que s'il continue comme ça, tu pourrais avoir un orgasme. Tes jambes se resserrent autour de lui tandis que tes doigts attrapent les cordages au dessus de tes poignets. Tu en veux plus. C'est lui que tu veux.
William Evans
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William Evans
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Jeu 4 Mar - 21:15

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L’excitation est à son comble, Charlie qui s’offre à toi sur un plateau, qui accepte d’être ta partenaire pour ce jeu que tu aimes tant. Pourtant, tu ne te dévoile pas totalement, tu gardes pour toi tes côtés les plus brutaux, souhaitant évidemment y aller doucement avec elle, novice. Des millions d’envies qui traversent ton esprit, tu fais le tri et essaie de ne pas aller trop loin. Un contrôle de toi même dont tu n’as pas l’habitude mais qui ne te dérange pas. Tu choisis donc de lui bander les yeux, sachant très bien l’effet de cette action sur elle, et sur toi. Elle ne sachant pas ce qui lui arrive, toi qui te délecte de son attente. Tu la portes jusqu’au grand lit au milieu de la pièce, la posant dessus dans la foulée. Tout de suite, tu l’attaches avec des cordes sur les barreaux en métal de la tête de lit. Tu prends le temps de l’admirer, nue, rien que pour toi, à ta merci, attendant patiemment que tu t’occupes d’elle. Elle se demande où tu es et tu souris, satisfait de l’effet du bandeau sur ses yeux. Elle s’impatiente et tu viens rompre ce sentiment en la rejoignant sur le lit. Instantanément, tes lèvres et tes mains se posent sur sa peau. Tu savoures son corps que tu aimes tant, que tu découvres un peu plus à chaque fois, dont tu ne te lasseras jamais. Tu t’occupes de sa poitrine que tu libères très vite. Puis tu remontes vers son visage, embrassant ses tendres lèvres. Mais pour la suite, tu veux qu’il te regarde et tu décides de libérer ses yeux du tissu noir. Tu gardes son regard quelques secondes, répondant à son sourire avant de te faufiler vers le bas de son corps, retirant sa culotte en vitesse.

Dernier regard vers elle et tu attrapes ses fesses pour emmener son intimité à ta bouche qui s’approche en même temps. Tu te délectes de son sexe, passant et repassant ta langue sur son clitoris gonfle par l’excitation. Tes mains se serrent plus fort sur son fessier, peut-être trop fort mais tu t’en fiches, ici, tu ne prends pas le temps de t'inquiéter de la douleur que tu peux occasionner. Ses jambes se resserrent autour de toi et tu entends son plaisir, augmentant chez toi une excitation qui se fait incontrôlable, t’es vraiment trop à l’étroit dans ton boxer. Tu sens son corps se cambrer contre toi, et t’adores ça. La voir prendre son pied, sentir l’apogée arriver. Et tu t’arrêtes quand elle te supplie, tu ne veux pas qu’elle vienne ainsi, non. Tu te redresses, tes yeux qui admirent son visage déformé par le plaisir. Tu te délectes de cette vision en remontant vers son visage pour embrasser ses yeux. Cette fois, tu intensifies l’échange, vos langues qui se trouvent rapidement, ton membre dur qui se frotte contre elle, un grognement qui s’échappe de tes lèvres à ce moment-là, rompant le baiser. Toi aussi, tu n’en peux plus. Si avec une soumise, tu aurais pu faire durer le moment encore, la faire attendre, souffrir de frustration, avec elle, tu as dû mal à contrôler ton excitation. Tu la veux, tu veux la sentir, tu veux la faire hurler de bonheur. Tu t’échappes d’elle quelques secondes, le temps de retirer ton boxer sous ses yeux demandeurs, sans un mot. Ton érection enfin libérée et que tu as hâte de soulager. Tu te remets au-dessus d’elle, vos regards qui ne se quittent pas. Elle s’attend sûrement à ce que tu la prennes mais tu fais durer le moment encore. T'attrape ses jambes, les remontant sur tes épaules alors que tu te penches vers elle, ton membre si près de son intimité, prêt à la pénétrer. Pourtant, tu attends, tournant ton visage pour embrasser sa cheville, puis son mollet, remontant doucement jusqu’à son genoux. Ton autre main vient attraper l’un de ses seins, sans délicatesse, tu le sais. Tu te penches, poussant sur ses jambes, pour que tes dents prennent ce sein que tu aimes tant. Tu le mords, fort, très fort. T’en avais trop envie, ça t’obsédait. Tu laisses une marque de tes dents avant de te redresser. En tenant ses jambes contre toi, tu la pénètres d’un coup vif, sans prévenir alors que tu l’observes.

Mais tu fermes finalement tes yeux, débutant des vas et viens déjà rapides en elle, ta bouche qui s’entrouvre pour libérer les soupirs de plaisir que de la retrouver autour de toi. C’est tellement bon. Tu l’aimes et c’est cette sensation d’amour qui comble ton corps et ton cœur en même temps que tu la pénètres. T’embrasses sa jambe à plusieurs reprises, mordillant parfois sa peau sans t’en rendre compte tandis que tu la pilonnes. Finalement, tu relâches ses jambes qui tombent sur le lit pour te pencher sur elle tandis que tu accélères encore tes mouvements, envoyant de plus fort coup de reins en elle. Tu glisses son visage dans son cou tandis que l’une de tes mains vient rejoindre la sienne, encore emprisonnée. Tu sais combien c’est déroutant d’être incapable de bouger ces mains, de pouvoir toucher la personne avec toi. Et tu aimes qu’elle puisse avoir cette sensation d’impuissance, de frustration. Ça t’excite, tellement.


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Ven 5 Mar - 18:06

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L'appréhension est grande lorsque tu te retrouves attachée et dans l’incapacité de voir quoique ce soit. Sens en éveil, tu ne perçois pourtant pas William sur l'instant, l'angoisse grimpant lorsqu'il ne te répond pas. Ce n'est que lorsque tu sens son corps chaud contre le tien que tu te détends, corps malgré tout tremblant. Tu n'as encore jamais été dans cette situation et tu ne sais pas trop à quoi t'attendre. Ses lèvres que tu aimes tant qui parcourent ta peau sans que tu puisses te délecter de cette vision. Corps qui se cambre sous ses assauts et qui en demande plus. Et finalement, tu retrouves la vue. Te gardant prisonnière, William te déshabille prestement avant de s'occuper de ton intimité déjà prête à l'accueillir. Car sans l'avoir réalisé, la situation t'a excitée... Douce torture que ses lèvres offrent à ton clitoris, jambes qui se resserrent autour de lui. Tu en veux plus, tu veux le sentir en toi, une supplique qui t'échappe entre deux gémissements. William sait ce qui te plaît, et tu sens que tu pourrais arriver s'il continue sur sa lancée. Mains qui s’agrippent où tu peux, dents qui attrapent ta lèvre inférieure pour réprimer quelques exclamations de plaisir. Échange qui s'interrompt pour te donner le temps de respirer et reprendre tes esprits. Corps qui se détend alors que William se redresse pour venir t'embrasser avec avidité. Langues qui se retrouvent, baiser passionné, mais de courte durée. L'homme qui se retrouve nu sous tes yeux qui le reluquent avec convoitise. Ce qu'il est beau. Pensée fugace devant ce corps d’Apollon. Le brun revient au dessus de toi, vos regards qui se verrouillent. Tu retiens ta respiration alors que tu sais que tu vas le sentir en toi. Mais non. Il décide de te faire languir, attrapant ta jambe pour l'embrasser avec lenteur. Tu plisses les yeux, insatisfaite. Quand subitement il vient mordiller un sein. Tu ne t'y attendais pas. Geste brusque, tu pousses un cri de surprise face à le douleur vive que tu ressens sur l'instant, corps qui essaye de s'échapper pour se protéger. Réaction primitive. Et pourtant, ce geste a provoqué une décharge électrique jusqu'à ton entre-jambe. Douleur qui s'estompe dans l'instant, alors que tu réalises que tu as aimé ça. Et sans crier gare, alors que tu te remets de ce qui vient d'arriver, William te pénètre d'un geste brusque. Nouveau cri de surprise qui t'échappe alors qu'il te pilonne et que tes jambes s'enroulent autour de lui. Tu ne peux rien faire. Prise au piège et à sa merci. Le brun se perd dans cet échange. Tu le regardes faire, animal, presque bestial. Bien loin des gestes doux qu'il a d'habitude. Et pourtant, ça ne te dérange pas. Le plaisir finit par prendre le dessus et te submerger. Tu laisses retomber ta tête en arrière, profitant de ces sensations nouvelles. Son corps qui se rapproche du tien, son visage qui se perd dans ton cou alors que ses doigts se mêlent au tien. « Détache moi » que tu parviens à articuler entre deux soupires avant de venir mordiller son oreille. Tu veux pouvoir le toucher. Sentir son corps contre le tien. Enfoncer tes ongles dans sa peau.
William Evans
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William Evans
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Lun 8 Mar - 22:31

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Tu la fais languir de ton corps, de ce désir en elle pour toi, tu veux qu’elle souffre tant elle te veut. Tu veux lui manquer. Tu veux qu’elle ait mal de te vouloir. Et tu penses arriver à tes fins lorsqu’elle te supplie. Sourire sur tes lèvres, satisfait de l’effet que tu fais sur elle. Tes yeux incapables de quitter son visage. Tu observes son plaisir, son visage sous l’effet de tes mouvements sur elle. Tu te déshabilles entièrement, prêt à venir te mouvoir en elle. Avant cela, tu continues ta torture, embrassant ses jambes jusqu’à lui faire croire à plusieurs reprises que tu vas t’insérer en elle. Ton sexe qui frôle le sien, toi aussi, tu commences à ne plus pouvoir tenir. Si en temps normal, tu prends un malin plaisir à faire languir ta partenaire, là, c’est différent. Parce que Charlie a un effet bien différent sur toi. Tu la désires bien plus que tu désires subvenir à tes pensées les plus perverses. T’as envie d’elle et tu ne tiens plus. Avant cela, tu décides de défaire le bandeau sur ses yeux. Tu veux qu’elle te regarde, tu veux qu’elle te voit bouger en elle. Et tu as besoin de son regard sur toi. Tu as besoin de lire dans ses yeux le désir et le plaisir. Du mord son sein, avec enfin, avec ferveur. Tu entres en elle, sans la prévenir, t’enfonçant entièrement, dans un râle de plaisir non dissimulé. Tout de suite, tu bouges rapidement, t’as besoin de la sentir, fortement, vite, entièrement. Tu soulages cette pression d’excitation qui pesait sur ton corps depuis de longues minutes. Les jambes de Charlie s’enroulent autour de ton corps, tu te presses un peu plus contre elle, tu t’enfonces un peu plus. Tu niches finalement ton visage dans le cou de Charlie, malmenant la peau de son cou en même temps que tu la pilonnes. Tu caches tes soupirs de plaisir contre elle, mordillant son épiderme. T’entends à peine les mots qu’elle prononce, même si tu comprends tout de suite. Tu sers plus fort tes doigts contre les siens, pour qu’elle te sente, pour qu’elle te touche. Mais tu sais qu’elle a besoin de plus. Alors tu obéis à sa demande.

Tu ralentis tes mouvements en elle, te redressant le temps de défaire les nœuds autour de ses poignets. Tu baisses ton visage vers elle alors que tu te replaces correctement entre ses jambes, petit sourire aux lèvres. Une main dans ses cheveux que tu replaces correctement alors que tu reprends de lents mouvements en elle. Putain, ce qu’elle est magnifique et si désirable. T’en perds complètement la tête. Finalement, ta main descend le long de son corps pour attraper ta jambe et la remonter contre toi. Tu accélères de nouveau tes vas et viens alors qu’elle pose ses mains sur toi. Électrochoc quand tu sens sa chaleur parcourir ta peau. Tu vas plus vite, plus fort, t’y vas si intensément. C’est si bon d’être en elle, de la sentir. Tu te penches sur elle, embrassant ses lèvres encore et encore, délicatement, à l’instar de tes coups de reins d’une puissance irréelle. Tu n’en peux plus, tu sens que tu ne vas tenir encore plus bien longtemps. Quelques coups supplémentaires, tes doigts qui agrippent si fort sa chevelure désormais, tu tires dessus alors que tu sens l’orgasme te submerger, cette vague intense de bonheur qui traverse ton corps de la tête aux pieds alors que tu continues tes mouvements en elle, plus souples, plus doux, en rythme avec ton coeur qui reprend doucement un rythme normal. Essoufflé, tu continues jusqu’à la sentir venir elle aussi autour de toi. Tes yeux qui s’ouvrent pour la regarder atteindre l’apogée elle aussi. Un sourire satisfait qui se dessine sur ton visage, ton amour pour elle qui explose en même temps que vous vivez cet intense moment ensemble. T’es incapable de dire quoi que ce soit, t’as besoin de sa réaction à elle en premier, parce que c’est vrai, il n’y a qu’elle qui compte. A tes yeux, en tout cas.
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Ven 12 Mar - 17:04

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Les sensations que tu ressens sont exacerbées. Le fait d’être entravée et ne pas pouvoir voir ce qui se passe autour de toi décuple tes sens. Les mains de William sur ton corps, sa bouche chaude, te provoquent des petites décharges électriques de façon instantanées. Alors, quand il décide de s’occuper de ton intimité, c’est un feu d’artifice qui se déclenche. Si d’habitude il te faut quelques instants pour apprécier, la réaction cette fois est immédiate. Bandeau retiré, tu le regardes s’occuper de toi alors que tu es toujours attachée, retenant difficilement tes gémissements. Et quand enfin il te pénètre sans crier gare, c’est un cri de surprise mais également de plaisir qui t’échappe. William te pilonne, sans relâche alors que tu es totalement sous son emprise. Mains attachées, tu ne peux pas le toucher et cela te frustre grandement. Drôle de mélange qu’est celui du plaisir et de la frustration. Tu ne sais pas si tu aimes vraiment. Ce que tu sais, en tout cas, c’est que tu veux pouvoir le sentir et le toucher. T’agripper à lui alors qu’il te pénètre. De ce fait, et tandis qu’il enfouit son visage dans ton cou, tu lui demandes de te libérer. Ta voix se veut supplique entre deux gémissements de plaisir. Tes dents qui viennent mordre la chair avec avidité dans le feu de l’action. L’espace d’un instant, tu as cru que William ne s’exécuterait pas, bien trop pris dans l’excitation…. Et finalement, il ralentit la cadence et se redresse afin de facilité l’accès aux nœuds qui t’entravent et qu’il défait. Désormais libérée, tu frottes un instant tes poignets endoloris. Pour sûr tu auras des marques. Mais tu t’en fiches bien. Tu n’as pas eu mal et même encore maintenant, tu ne réalises pas vraiment la douleur à cet endroit. Cela viendra après. Pour l’heure, tu veux prendre ton pied. Toucher ce corps si parfait. Et tu n’attends pas pour le faire. A peine William s’est-il remis en place que tes mains parcourent la peau de son torse. Mouvements plus lents, tu fermes les yeux pour en profiter, tout en te mordillant la lèvre inférieure. Mais très vite, tu en veux plus. Alors, tes mains glissent dans son dos pour descendre vers ses fesses que tu attrapes prestement. Tu les serres entre tes doigts, vers toi, regard plongé dans celui du brun pour lui faire comprendre que tu veux qu’il aille plus vite. Inutile de parler, vous vous comprenez sans un mot. La preuve en est qu’il accélère dans l’instant, attrapant l’une de tes jambes pour modifier la position et te procurer encre plus de sensations. Bouche contre bouche pour un baiser sulfureux, tu gémis contre ses lèvres, l’orgasme proche. William arrive avant toi, se perd dans la bestialité de la situation en attrapant vivement tes cheveux, presque violemment.  Surprise sur le coup, tu finis par lâcher prise et arriver à ton tour, poussant un ultime cri de plaisir, les traits déformés par l’orgasme qui te submerge.  Tous les deux à bout de souffle, vous vous noyez dans le regard de l’autre. Un regard qui en dit long sur vos sentiments. Tes mains qui attrapent son visage et le caressent doucement, alors que tu affiches un sourire de circonstance. Puis, tu l’attires à toi pour l’embrasser tendrement. Amoureusement. Avant de le garder contre toi, l’enveloppant de tes bras. Tu sens le cœur de William battre la chamade contre ta poitrine. Vous restez ainsi un moment, le temps de retrouver une respiration normale. « C’était… intense… » que tu finis par lâcher d’une voix amusée, te rejouant ce qui vient de se passer. Tu en rougirais presque. « Par contre… ne me tire plus les cheveux. » que tu finis par lui dire en te rappelant la façon dont il les a attrapés. Cette façon de te soumettre à sa volonté… Tu finis par te dégager, obligeant ainsi William à redresser le visage afin de pouvoir plonger ton regard dans le sien. « Je t’aime mais… me fait plus jamais ça… » que tu lui ordonnes presque d’une voix grave. Tu sais qu’il a agit dans le feu de l’action. Mais la façon qu’il a eu de se saisir de ta chevelure, t’a rappelé des souvenirs et surtout une violence que tu veux oublier.
William Evans
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Lun 15 Mar - 14:36

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Toi aussi, tu avais besoin de sentir ses mains sur toi et tu ne regrettes pas une seconde d’avoir défait les nœuds. Même si tu adores voir ta partenaire attachée, là, c’est bien différent et tu t’en rends compte en même temps que tu te laisses aller avec elle. La différence avec tes relations précédentes est que là, tu as des sentiments pour la femme qui t’accompagne et son plaisir ainsi que son bien être passe avant le tien. Tu t’enfonces de nouveau en elle, dans une précipitation non dissimulée, agissant sous l’effet de ton désir qui te submerge, tu ne peux plus réfléchir à autre chose que Charlie et toi réunis. Tu sens les doigts de Charlie descendre le long de ton dos jusqu’à attraper tes fesses qu’elle serre fort. Tu vois là une demande de sa part et tes coups de reins se font plus puissants et plus rapides, tu la sens entièrement et tu en perds la tête. Son nom s’échappe de tes lèvres par moment, quand tu ne peux pas cacher tes gémissements contre sa peau. T’as besoin de la sentir encore plus et tu attrapes sa jambe que tu portes contre toi, changeant non seulement la position, mais te laissant t’aventurer plus loin en elle. Vos lèvres se retrouvent de nouveau, un baiser sulfureux, plein d’ardeur, fiévreux tant vous êtes dans une trans ensemble. Tu viens alors, attrapant sa chevelure avec bestialité, sans pouvoir te retenir, un vieux réflexe qui revient, tu ne te rends même pas compte de la surprise sur le visage de Charlie. Elle vient alors à son tour, exprimant son bonheur une dernière fois, son corps qui se serre entièrement contre toi alors que tu continues quelques mouvements en elle, reprenant doucement ta respiration. Ses mains attrapent ton visage lorsque l’orgasme est passé et elle t’embrasse avec amour, tendresse, délicatesse. Tu réponds évidemment au baiser, ses lèvres qui te manquaient déjà. Tu te blottis après contre son corps, reprenant un souffle normal, ou du moins, essayant. Vos deux rythmes cardiaques qui se ressemblent désormais, tu humes son parfum que tu aimes tant tandis que tes doigts glissent le long de sa peau. Tu entends ses mots et souris à la description qu’elle fait de votre ébat. Intense oui, pour vous deux. Si elle savait à quel point c’est différent de d’habitude pour toi. Et carrément mieux que toutes les fois ou tu as emmené l’une de tes soumises dans cette pièce. Elle continue, te demandant de ne plus tirer ses cheveux comme tu as pu le faire lors de ton orgasme à toi. Tu te redresses quand elle bouge en dessous de toi, vos regards se mêlent, le tien, un peu confus entre ce moment et sa demande. Tu ne te sens pourtant pas désolé, elle t’a demandé de lui montrer comme tu es ici et tu t’es déjà beaucoup retenue. Mais au moins, maintenant, tu sais que tu ne dois plus faire ceci avec elle. La suite de ses mots te rassure, tu entends finalement que son je t’aime. Tu souris posant ta main sur sa joue puis déposant un délicat baiser sur ses lèvres chaudes. « Je ne recommencerai pas. » Que tu dis en relevant ton visage. Tu te dégages d’elle pour t’allonger à côté, sur le flanc pour pouvoir l’observer. Tes doigts parcourent son ventre, puis sa poitrine. Tu dessines la forme de ses seins, passent sur ses tétons sans t’arrêter, observant ce que tu fais avant de relever ton regard vers ta belle. « Viens vivre avec moi. » Tu te surprends en même temps que les mots sortent de ta bouche. C’est une idée qui te traverse depuis longtemps. Tu n’avais pas prévu de le faire ainsi mais c’est le moment qu’à choisi ton esprit pour te jouer des tours. Tu lis l’incompréhension sur ton visage et tu te redresses encore, posant ton coude sur le lit et ton visage dans ta paume. « Je suis sérieux. J’ai envie de vivre avec toi, je veux vivre avec toi. Je veux que tu sois heureuse et t’offrir le meilleur. Alors, viens vivre avec moi. Si tu le veux évidemment. » Tu souris, avouant ton désir de l’avoir à tes côtés tous les jours. Tu imagines déjà rentrer le soir, peut-être en même temps qu’elle, débouchonner une bouteille de vin pour partager un verre avec elle tandis que vous vous racontez vos journées. Cette vision te fait sourire davantage. Tu vas alors enfouir ton visage dans sa poitrine, déposant des baisers sur ses seins. « Cet appartement est trop grand pour moi tout seul, en plus. »
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Ven 19 Mar - 12:03

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Souffle court de l'effort que vous venez d'accomplir et l’orgasme qui vous a submergé. Cœur qui bat la chamade, vous êtes enlacés l'un contre l'autre en essayant de retrouver un rythme cardiaque régulier et une respiration normale. Corps couvert d'une fine pellicule de sueur, signe particulier des ébats que vous venez d'avoir. Une nouvelle façon de faire pour toi et de nouvelles sensations. Tu n'avais encore jamais été attachée de la sorte. Jamais si... soumise. Tes sens étaient en éveil et tu as fini par apprécier. Mais une ombre est venue noircir le tableau. Tu es passée outre, car il s'agit de William. Tu as décidé de ne pas relever, oublier tout aussi rapidement que c'est arrivé afin de ne pas te bloquer et profiter pleinement de l'orgasme qui a fini par te submerger. Mais maintenant que c'est fini, que vous êtes là, euphoriques, tu ne cesses d'y repenser. Et tu ne te retiens pas plus longtemps d'aborder le sujet. Sans équivoque, tu sommes William de ne plus jamais te tirer les cheveux comme il l'a fait. Plus jamais. Tes sentiments pour lui sont forts et réels mais il y a des limites à ne pas dépasser et ce geste en fait partie. Tu veux bien te soumettre à lui dans cette chambre si spéciale, découvrir cet univers qui est le sien et dont tu ne sais rien, mais il y a des choses que tu n'acceptes pas. Heureusement pour toi, William consent à ta requête sans hésiter et ne pose pas plus de questions. Tu es soulagée d'ailleurs car tu ne veux pas parler de ton passé. Ces épisodes de ta vie que tu veux oublier. Malheureusement, le geste malheureux qu'il a eu les as rappelé à ton bon souvenir... Tu souris. Mais ton sourire est forcé. Et tandis que le brun se dégage de toi pour s'installer du côté, tu te perds dans tes pensées. Visage fermé, regard perdu, esprit ailleurs. Les doigts de William sur ta peau te font revenir dans l'instant présent et fermer les yeux, apaisant tes pensées. Tu profites de ses caresses, la peau qui réagit à son passage et les tétons qui se dressent lorsqu'il les effleure. Décharge électrique qui irradie jusque dans ton entre-jambe. S'il continue ainsi à t'exciter tu pourrais bien recommencer.... Mais les mots que William prononce te figent dans l'instant. Tes paupières se rouvrent prestement et tu écarquilles les yeux. « Qu..Quoi ? » que tu t'étrangles presque en pivotant ton visage vers lui. As-tu bien entendu ce que tu as entendu ? Si oui, est-ce que vous n'allez pas un peu vite ? Tu t’apprêtes à dire quelque chose mais William te coupe dans ton élan, reprenant la parole pour justifier ce qu'il vient de te demander. Tu as le cœur qui s'emballe et un nœud qui se forme dans ton ventre. Le brun s'approche de toi pour venir embrasser tes seins, affirmant entre deux baisers que l'appartement est de toute façon bien trop grand pour lui tout seul. Tu ne sais pas quoi dire tellement tu es chamboulée par sa demande. Toi qui avais peur de ses soumises et plus particulièrement de sa meilleure amie et ex conquête qui gravite toujours autour de lui, voilà qu'il te propose d'emménager avec lui. Tu comprends que vous deux, c'est du sérieux, et pas juste une amourette passagère comme tu craignais que ce soit le cas de son côté. Car pour toi, c'est bien plus que ça et depuis le début... William redresse le visage vers toi, l'air de te demander ce que tu décides. L'impatience et l'inquiétude qui se lisent au fond de ses yeux. Et, après une énième hésitation, tu finis par hocher positivement la tête. « Oui... » que tu souffles avec un sourire éclatant qui vient étirer tes lèvres. « Oui, oui oui ! » Et sans attendre, tu l'embrasses avec excitation et passion, l'obligeant ainsi à s'allonger pour que tu puisses passer au dessus de lui. Chevelure brune qui tombe en cascade sur tes épaules, cachant une partie de ta poitrine dénudée, tu prends son visage en coupe dans tes mains et plonges ton regard dans le sien. Tu restes ainsi, de longues secondes, tous les sentiments que tu éprouves pour lui qui se lisent dans tes yeux. « Je t'aime William » que tu réitères encore une fois, avec conviction, avant de l'embrasser à nouveau.

William Evans
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Lun 22 Mar - 17:01

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Le but des premières expériences avec une femme qui ne s’y connait pas dans ce genre de domaine est justement de savoir ce qu’elle n’aime pas. Maintenant, tu as bien compris que lui tirer les cheveux avec la sauvagerie que tu aimes tant ne lui plait pas. Et tu ne le referas jamais, ton but étant de répondre à ses envies, pas de la forcer à subir les tiennes. Allongé à cité elle, tu lui promets de ne pas le refaire pendant que tes doigts parcourent son corps jusqu’à sa poitrine que tu dessines doucement, passant partout, même sur ses tétons si sensibles, tes yeux rivés sur la réaction de son corps qui se fait instantanément. Mais autre chose taraude ton esprit. Une idée qui t’est venue il n’y pas si longtemps. Et même si tu sais la question trop précipité et que tu te doutes déjà de la réponse de Charlie, tu lui ouvres quand même ton coeur. Vivre avec elle. Une pensée bien trop merveilleuse dans ton esprit. Te réveiller le matin à ses côtés, la retrouver le soir pour vous raconter vos journées puis vous couchez ensemble dans le lit pour vous câliner jusqu’au matin. C’était peut-être un peu romancé comme vision du futur mais tu le vois si proche. Et tu expliques les raisons qui te poussent à lui demander. Sa réponse montre combien elle est choquée par cette proposition alors tu oses, tu défends cette demande mais tu es presque sûr au fond de toi qu’elle refusera. Tu te redresses pour la regarder, insistant peut-être un peu trop pour avoir une raison. Quitte à être déçu, autant que cela se fasse vite. Sa tête bouge de haut en bas et tu ne sais pas comment l’interpréter. Enfin si, mais tu ne le réalises pas. Un oui s’échappe de tes lèvres et tu écarquilles tes yeux. Non, ce n'est pas possible. Tu n’y crois pas une seule seconde à cette réponse. Un million de oui quittent sa bouche alors qu’elle se jette sur toi. Ton dos tombe contre le lit et elle se positionne au-dessus de toi en attrapant ta bouche pour un baiser empli d’amour auquel tu réponds évidemment, cachant ton sourire contre sa bouche. Vous vous éloignez quelques secondes, tes doigts qui replacent ses cheveux derrières son oreille en observant son visage radieux, vos regards qui se crient votre amour en silence. Elle est si belle, si incroyable, si surprenante. Jamais tu n’aurais pensé qu’elle accepterait et elle fait ton plus grand bonheur. Frisson quand elle prononce ces magnifiques mots, ceux que tu ne pensais jamais entendre dans sa bouche. « Je t’aime Char.. » Tu ne finis même pas son prénom que ses lèvres entre de nouveau en collision avec les tiennes. Tu poses tes mains dans son dos pour la presser contre toi, heureux, satisfait de ce moment si magique en émotion. Un tournant dans votre relation pourtant si nouvelle. Il y a encore quelques mois, tu ne croyais pas en l’amour et voilà qu’aujourd’hui, tu es amoureux et prêt à emménager avec une femme. Tes mains descendent jusqu’à ses fesses que tu attrapes fermement en même temps que de les caresser. Vos bouches se séparent pour reprendre votre souffle. « J’étais persuadé que tu dirais non. » Que tu avoues en frottant ton nez contre le sien, déposant ensuite des petits baisers papillons sur sa joue, sur ses lèvres, sur sa mâchoire. Tu te redresses pour t'asseoir sur tes fesses, emmenant Charlie avec toi dans la montée, t’agrippant à son cul en même temps. Tu passes tes jambes en dehors du lit pour que tes pieds touchent le sol en même temps que tu prends ses lèvres contre les tiennes pour un baiser savoureux et langoureux. Baiser que tu stop le temps de te relever, contractant les abdos en même temps que tu la portes. De nouveau, vos bouches se retrouvent et tu marches jusqu’à la salle de bain. « Prenons une douche et ensuite nous irons fêter cette merveilleuse nouvelle. » Que tu dis en entrant dans la pièce d’eau, direction la douche à l’italienne. Tu entres dedans et déposes ta belle sur ses pieds tandis que tu te diriges vers le pommeau de douche pour ouvrir l’eau. Au début, elle est froide et tu protèges Charlie de cette fraîcheur en te mettant dos à l’eau. « Putain.. » Que tu rigoles en sentant l’eau glacée sur ton corps encore brûlant de votre ébat. Mais l’eau finit par se réchauffer et tu te décales pour que Charlie te rejoigne sous le jet.
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Mar 23 Mar - 21:28

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Vous allez sûrement trop vite. N'importe qui vous le dirait. Et pourtant. Même si tu ne t'y attendais pas, même si tu n'arrives pas cacher ta surprise face à une telle proposition... tu ne peux pas dire non. Comment le pourrais-tu ? Oui, votre histoire brûle les étapes rapidement. Après tout, vous n'êtes ensembles que depuis quelques mois. Peut-être que tu le regretteras. Tu ne sais pas. Mais en tout cas, là, tout de suite, c'est un bonheur intense que tu ressens. Tu n'as jamais été aussi heureuse qu'en présence de William. Alors finalement, la réponse est évidente pour toi. C'est un grand oui que tu lui offres répété plusieurs fois. Tu glisses dans les bras du brun, l'obligeant ainsi à se coucher sur le dos. Et sans attendre, tes lèvres retrouvent les siennes pour un baiser plein d'amour, lui coupant la parole au passage. Embrassades terminées, William avoue qu'il s'attendait à un refus. Tu hausses les épaules. « Comment veux tu que je dises non ? » que tu demandes sans attendre de réponse alors qu'il se redresse. Et de toute façon, il ne t'en donnera pas bien trop occupé à t'embrasser un peu partout, visiblement heureux que tu ais accepté sa proposition d’emménager avec lui. Vos lèvres se retrouvent alors que ton corps se colle au tien. Te gardant contre lui, William pivote afin de se lever. Vos lèvres se séparent un court moment. Mais c'est uniquement pour mieux se retrouver. Te gardant dans ses bras, il se rend dans le couloir, direction la salle de bain de sa chambre. Tu ne dis rien, parsemant la peau de son cou et son épaules de baisers. Ce n'est qu'une fois dans la douche qu'il te dépose et que tu retrouves la terre ferme. William ouvre l'eau et une interjection de surprise s'échappe de ses lèvres. Quelques gouttelettes parviennent jusqu'à toi et tu comprends que l'eau est froide. « Pas très viril comme réaction » que tu dis pour le taquiner, t'amusant du cri de surprise qu'il a poussé juste avant le juron.

Eau désormais chaude, William s'écarte pour te laisser la place. Tu te faufiles sous le jet et sa chaleur te fait du bien. Tes muscles se détendent tandis que tu fermes les yeux pour profiter de cette sensation de plénitude. Puis, une fois que vous êtes tous les deux trempés, tu attrapes la bouteille de gel douche pour en verser dans tes mains et commencer à te savonner. William faisant de même de son côté. Vous vous rincez et, toujours sans rien dire, tu t’approches de lui. Te mettant sur la pointe des pieds, tu viens embarrasser. D'abord avec douceur, puis avec plus d'intensité, vos langues qui se retrouvent pour une danse endiablée. Tu te colles à lui alors que ses mains parcourent ton corps nu et que tu sens son érection contre sa jambe. « Ça suffit, sinon on va repartir pur un tour et je compte bien profiter de toi toute la nuit » que tu souffles d'un air malicieux avant de lui mordiller la lèvre inférieure. Puis tu t'éloignes de lui, attrapant la serviette qui t'es destinée et restée là depuis la dernière fois, que tu enroules autour de ton corps pour commencer à te sécher. Une fois séchée, tu frictionnes tes cheveux pour les essorer, avant de fouiller dans ton sac pour en sortir une petite culotte propre et un ensemble de nuit, composé d'un simple t-shirt avec inscriptions et d'un short assorti. « On retourne dans le salon ? » que tu demandes alors que William est allé dans la chambre pour se rhabiller également. « J'crois que j'commence à ravoir faim » que tu dis en le rejoignant, alors que ton ventre répond par l'affirmative en émettant un bruit caractéristique. « J'pense qu'il essaye de communiquer. » que tu lances, amusée, avant d’emboîter le pas à William, direction le salon. Instinctivement, ta main trouve la sienne et tes doigts s'enlacent aux siens. Geste naturel, tu as un sourire idiot sur les lèvres. Pas besoin de parler. Les mots sont inutiles. Tu te sens bien. Tu es heureuse et tu n'as pas besoin de plus...

Mais tandis que vous traversez le long le couloir direction la pièce principale, en silence mais amoureux comme jamais, tu marques un arrêt, obligeant William à faire de même. Ton regard se pose sur un ensembles de photos, et une en particulier. Celle d'une jeune femme tout sourire aux côtés du brun et dont le visage t'es familier. Tu attrapes le cadre pour mieux l'examiner. Ils ont l'air proche... « C'est qui ? » que tu demandes d'une voix que tu espères neutre, en tournant la photo vers William. Au fond, tu connais déjà la réponse. Mais tu espères te tromper...

William Evans
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Mer 24 Mar - 17:10

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Elle a dit oui. Oui, pour emménager avec toi, pour vivre avec toi et t’as encore du mal à réaliser. Baisers partout sur son visage, exprimant ton bonheur, tu finis par te relever, Charlie dans tes bras, direction la salle de bain de ta chambre pour une douche bien méritée. Tu l’embrasses jusqu’à l’endroit attendu avant de la déposer une fois dans la douche. Tu te mets alors sous l’eau, ton dos en dessous pour protéger Charlie de la fraîcheur qui commence à venir avant la chaleur, petit cri de surprise, réaction incontrôlable qui visiblement fait rire Charlie en vue de sa petite réflexion. Tu souris, levant les yeux au ciel. « Tu vois tout ce que je fais pour toi. » Que tu dis en faisant la moue, te redressant maintenant que l’eau est chaude. Tu pivotes pour que ta belle puisse venir avec toi sous le jet. Chacun de vous se savonne en silence, profitant de la détente que vous procure ce moment. Vous vous rincez et avant que tu puisses éteindre l’eau, Charlie s’approche de toi pour embrasser tes lèvres. Tes mains se posent instinctivement sur sa taille, la collant à ton corps tandis que le baiser se fait langoureux. Ses mains parcourent ton corps à toi et l’excitation ne met pas longtemps avant de venir, ton érection contre sa peau. Mais elle en décide autrement, mordillant ta lèvre en rejetant l’idée de recommencer maintenant. Tu veux la garder entre tes doigts mais elle glisse pour sortir de l’eau. « T’aurais pu profiter de moi toute la nuit quand même. » Que tu expliques, boudeur avant de la suivre hors de la douche. Vous vous sécher en même temps et tu ne peux t’empêcher de l’observer faire, la beauté de sa peau encore humide, ses cheveux en bataille après avoir tenté de les sécher, sa poitrine sous tes yeux. Comment veut-elle que tu résistes avec une telle vision. « Habille toi avant que je ne te laisse pas le choix. » Tu murmures alors qu’elle se dirige vers son sac enfiler une tenue confortable. Tu quittes alors la salle de bain, une fois sec pour aller toi aussi te couvrir. Tu choisis un short en tissu et un t-shirt noir banal, rien d’extravagant, bien loin de ta tenue plus classe de ce début de soirée. Mais pas de chichi avec elle, tu le sais. Maintenant que vous allez vivre ensemble, elle va te connaître dans toutes les tenues, contrairement à tout le reste du monde qui ne voit que le William toujours bien apprêté. Tu l’entends de te demander si vous pouvez retourner dans le salon depuis la salle de bain, annonçant au passage sa faim. « Evidemment. » Que tu réponds alors qu’elle s’approche, parlant du bruit de son ventre. Tu la suis, sa main qui attrape la sienne alors que vous sortez de la chambre. « Je ne t’ai donc pas rassasié.. » Que tu chuchotes dans son oreille en te penchant tandis que vous piétinez dans le long couloir.

Silence apaisant qui se joue entre vous sur le chemin du salon, tes doigts qui se serrent contre les siens. Soudain, elle s’immobilise, au niveau des nombreux cadres qui tapissent le grand mur. Tu t’arrêtes toi aussi, l’observant sans vraiment comprendre. Les cadres sous les yeux, elle peut observer d’anciennes photos de tes parents, plus de ton père que de ta mère d’ailleurs, des photos entre amis et… merde, cette photo là. Elle attrape ce fameux cadre entre ses mains et tu sais déjà ce qu’elle pense. Et elle te demande. Tu n’as pas d’autres choix que de parler d’elle. Comme si c’était le moment. Tu sais que ce sujet apporte toujours des tensions entre vous. Tu attrapes le cadre qu’elle tourne vers toi. « C’est Nathasha. » Tu réponds, sur un ton neutre, sans la moindre attache. Tu poses la photo sur le meuble devant vous, t’approchant immédiatement de ta belle pour passer tes bras autour de sa taille. « Ma meilleure amie » Tu précises au cas où elle n’est pas comprit bien que tu crois qu’elle l’avait fait bien avant de te poser la question. Tu sais qu’elle ne l’apprécie pas et ce, malgré qu’elle ne la connaisse pas. Mais tu ne peux pas la blâmer, sûrement que tu détesterais tout ex de Charlie qui pourrait encore rôder autour d’elle. Ta main sur sa joue, tu remontes dans sa chevelure humide pour placer correctement une mèche. « Maintenant, tu sais à quoi elle ressemble. » Tu dis, sourire aux lèvres, comme pour la rassurer bien que tu n’as pas vraiment à le faire. Entre Nathasha et toi, il n’y a rien. « On y va ? » Tu demandes en descendant ta main le long de son corps pour attraper ses doigts et l’inciter à te suivre. Mais il est toujours immobile et tu n’aimes pas du tout le visage qu’elle affiche.
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Jeu 25 Mar - 18:51

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L’excitation est toujours bien présente et c'est pour cela que tu coupes court à cet échange sous la douche. Car tu sais que si vous continuez ainsi, les choses vont déraper. Et tu veux pouvoir profiter de ce week-end avec William d'une autre façon. Du moins, pour cette soirée. Après tout, vous avez deux jours entier pour vous retrouver de façon plus intime. Remarque pleine de sous entendus qu'il te fait et tu lui lances un regard qui en dit long. Alors que tu te sèches et te rhabilles, tu creuses ton dos pour faire ressortir ton fessier. Tu te cambres pour le titiller, le narguer.  Le sourire que tu affiches indique clairement que tu le fais exprès. Mais William ne tombe pas dans la piège et se dirige dans la chambre pour passer à son tour des vêtements. Tu le rejoins quelques instants plus tard et ton regard le reluque sans une once de gêne. Il est affreusement beau, même avec ces habits tout simples, bien loin des costumes qu'il a l'habitude de porter.

Amoureux comme jamais, c'est main dans la main que vous vous rendez dans le salon pour profiter du reste du dîner préparer par sa bonne. Mais dans le couloir, une ombre vient noircir ce tableau idyllique. Tu t'arrêtes net sans pour autant lâcher la main de William, l'obligeant à son tour à se stopper. Une photo attire ton regard. Une image que tu n'avais encore jamais remarqué, et pourtant, ce n'est pas la première fois que tu passes devant. Un visage qui t'es familier. Tu as du mal à le croire. Les pièces du puzzle s'assemblent dans ton esprit au même moment où tu demandes à William de qui il s'agit. Et quand il prononce son prénom, ton ventre se noue. Ton homme attrape la photo et la pose sur le meuble avant de te serrer dans ses bras. Sa voix est neutre mais tu ne le réalises pas. Ton regard ne parvient pas à se détacher de ce visage souriant posant à ses côtés. William reprend la marche et tente de t'attirer à sa suite, mais tu ne bouges pas, tu es comme figée. « Je la connais... » que tu finis par lui révéler dans un souffle, posant enfin tes yeux sur lui. « Elle est venue au club y'a quelques jours » que tu précises pour répondre à ce regard interrogateur qu'il te lance. « Elle a dit s'appeler Sarah et venir pour l'offre d'emploi. On cherche un danseuse » que tu poursuis en te remémorant l'entrevue avec Natasha. Tu n'as rien vu venir et tu es tombée dans le panneau. Rien ne laissait présager qu’elle te mentait.  Surtout qu'elle a fait une démonstration de ses talents ! Détail que tu gardes bien évidemment sous silence pour le moment...  La brune cache bien son jeu... Tu serres les mâchoires. « Pourquoi elle a fait ça? J'comprends pas... C'est quoi son problème ?  » que tu lâches d'une voix sèche en direction de   William alors que tu as bien conscience qu'il ne doit être au courant de rien et n'a pas les réponses. Tu réfléchis à toute allure, les pensées qui se bousculent dans ta tête. Tu te doutes bien que William lui a parlé de toi. Après tout, c'est sa meilleure amie pas vrai? Mais pourquoi faire tout ça ? Dans quel but ?  Un rire nerveux s’échappe de tes lèvres parce que tu comprends tout à coup. « Et après tu veux m'faire croire qu'y'a rien entre vous ?! » que tu lances à ton petit ami en plantant tes prunelles dans les siennes. Et ton visage se rembruni subitement. « C'est pas l'attitude d'une nana qui est juste une amie ça... »

William Evans
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Dim 28 Mar - 10:05

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Vous vous habillez après la douche, écartant l’idée de vous retrouver une nouvelle fois plus intimement. Ça ne s’est peut-être pas vu mais tu as envie aussi de profiter de Charlie autrement qu’en lui faisant l’amour. Et puis vous avez tout le temps devant vous pour ça. Que ça soit lors de ce long week-end tous les deux, ou ensuite, quand Charlie posera ses valises ici pour ne plus jamais quitter cet appartement. Peut-être voudra-t-elle un endroit que vous avez choisi ensemble ? Ou changer la décoration ? Tu te poses toutes ces questions futiles alors que tu l’entends revenir vers toi. Ensemble, main dans la main, vous marchez pour rejoindre le grand salon afin de continuer les festivités. Mais Charlie s’arrête en chemin, ses yeux rivés sur les cadres qui décorent le couloir. Si au début, tu imagines qu’elle observe simplement, tu comprends vite qu’elle bloque sur une photo en particulier. Coeur qui accélère parce que tu sais sur qui la conversation va de nouveau s’orienter. Jamais un sujet très sympa entre vous.

Elle attrape le cadre en te demandant qui s’y trouve. Elle connaît déjà la réponse mais tu confirmes en prononçant le nom de ta meilleure amie. Tes mains trouvent le cadre et tu l’éloignes comme pour demander à Charlie de ne pas s’attarder sur ce sujet. Tu tentes de l’attirer avec toi hors de ce couloir pour retourner au salon mais elle ne décolle pas de sa place, les yeux rivés sur cette photo. Tu ne comprends pas les mots qu’elle prononce, ou du moins, t’as beaucoup de mal à imaginer qu’elle puisse la connaître. Tu t’arrêtes net toi aussi, fixant Charlie. Au club ? Impossible, tu n’y crois pas une seule seconde. Jamais elle aurait fait ça. Ça se chamboule dans ta tête en même temps que Charlie énonce les faits. C’est malsain de faire ça. Se faire passer pour quelqu’un d’autre. Mais dans quel but ? Elle s’inquiète si fort pour toi qu’elle va espionner ta petite amie. Non putain, si elle a fait vraiment fait ça. Tu restes muet le temps de réfléchir, te remémorer tes conversations avec Natasha au sujet de Charlie. Sa réticence face à elle. Ne plus vouloir parler d’elle, te convaincre qu’elle n’est pas la bonne personne. Elle ne peut pas être si protectrice. Tu reviens à la raison quand tu entends la voix de Charlie s’élever, son regard qui trouve le tien. Charlie a de quoi douter après ça. « Je ne comprends pas pourquoi elle a fait ça.. » Tu ne réponds pas à sa question concernant ta relation avec ta meilleure amie, encore sous le choc de son comportement absurde. Et puis soudain, tu paniques à l’idée de perdre Charlie à cause de ça. Tu t’approches, pose tes deux mains sur ses joues. « Je te le répète et ne me pose plus cette question mais il n’y a rien entre elle et moi. » En prononçant les mots, tu réfléchis un peu plus, tu te souviens du comportement de la brune avec toi, tu te poses des questions sur ses sentiments mais tu rejettes vite l’idée. Penser que Natasha puisse ressentir des sentiments pour toi est impossible dans ton esprit. Tu te détaches de Charlie, prenant le chemin du salon. « Je vais l’appeler. » Tu te précipites vers le coin pique nique que tu avais installé plus tôt, ton téléphone s’y trouvant et tu n’hésites pas une seconde avant d’appuyer sur le nom de Natasha. Ça sonne, ça sonne. Mais personne ne répond. Tu jures en laissant tomber le téléphone dans les coussins. Tu te retournes, Charlie t’ayant suivi jusqu’ici. Tu passes tes deux mains dans tes cheveux, essayant de calmer cette colère en toi. Charlie n’y est pour rien, ce n’est pas à elle de subir ça. « Je suis désolé. Je ne comprends pas, vraiment pas pourquoi elle a fait ça. Il y a sûrement une explication. En tout cas, j’exige d'en avoir une. Elle m’en donnera une. » Tu enchaines, tu débites, réfléchissant à voix haute en même temps que tu essaies de la rassurer et de te rassurer toi-même. « Elle est très protectrice mais à ce point.. » Tu devrais sûrement prendre Charlie dans tes bras, lui assurer que cette histoire n’a pas de sentiments amoureux derrière, mais en fait, t’en sais rien. T’es totalement perdu et ton esprit beaucoup trop chamboulé.

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Mar 30 Mar - 13:21

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Les informations se mettent doucement en place dans ton esprit. Il te faut de longues secondes pour accuser le coup et comprendre que tu as été la victime d'une supercherie. La meilleure amie de William, celle dont tu éprouves une certaine jalousie sans même la connaître ni même l'avoir vue... Voilà que tu tombes sur une photo d'elle aux côtés du brun et que tu réalises qu'elle s'est jouée de toi en venant au club et se faisant passer pour quelqu'un d'autre. Et tu ne comprends pas pourquoi. Pourquoi ne pas avoir joué carte sur table plutôt que de jouer un rôle ? Tu aurais pu comprendre si elle était directement venue à ta rencontre en se présentant. Certes, cela ne t'aurait pas plu et sûrement te serais-tu montrée hostile. Mais tu aurais préféré plutôt que de mentir comme elle l'a fait et te faire croire être une demoiselle intéressée par le poste de danseuse... Et dire que tu étais prête à l'embaucher ! C'est peut-être ça le pire au fond. Tu es une femme et ton intuition ne t'a que rarement trompée. Si tu as toujours eu des doutes sur sa relation avec William, désormais ils sont fondés. Ce dernier semble lire dans tes pensées car au même instant il s'approche de toi pour attraper ton visage et plonger ses yeux dans les tiens. Regard intense et voix sérieuse pour affirmer qu'il n'y a rien entre elle et lui. Tu le crois bien sûr. Ce n'est pas William le problème, mais bien cette femme qui n'aura de cesse de vous mettre des bâtons dans les roues, tu le sens. Tu fermes les yeux un instant et poses tes mains sur les siennes. « Je sais bien et je n'ai aucun doute te concernant. » que tu réponds d'une voix douce en plantant tes prunelles dans les siennes. Phrase pourtant pleine de sous-entendus. Et puis, il part au quart de tour. En un claquement de doigts, William se détache de toi et se rend d'un pas rapide dans le salon, affirmant vouloir appeler cette fameuse Natasha pour avoir des explications. Le temps que tu réalises ce qu'il s'apprête à faire, il est déjà à plusieurs mètres de toi. « Laisse tomber Will ! » que tu lances dans le couloir à voix haute, le rattrapant au petit trot. « Cela ne servira à rien ! » que tu ajoutes en t'approchant de lui. Mais trop tard, il a déjà le téléphone à l'oreille et tu peux entendre la sonnerie d'attente. Heureusement pour toi (et malheureusement pour lui) elle ne décroche pas. William s'excuse à nouveau et semble perdu. Mais si lui ne comprend pas pourquoi elle a fait tout ça, toi tu n'en as aucun doute. En douceur, tu t'approches de lui et pose une main sur sa joue. Regard tendre que tu lui lances. « Tu ne vois vraiment pas ? » que tu demandes d'une voix calme et posée, presque avenante. Et comme il a pu le faire tout à l'heure, tu attrapes son visage de tes deux mains cette fois. « William.... je crois que Natasha est amoureuse de toi.... » que tu finis par dire sans détour, énonçant enfin le fond de ta pensée.

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Dim 4 Avr - 12:01

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Moment si romantique brisé par des révélations dont tu te serais bien passé. Les questions qui tambourinent dans ton esprit, la colère qui monte doucement dans ton corps sans que tu puisse la contrôler. Il te faut de longues secondes pour réaliser la portée des agissements de ta soi-disant meilleure amie. Remettre tout en place, comprendre qu’elle a piégé ta petite amie dans un but que tu cherches encore. Ce cadre posé maintenant sur le meuble que tu reprendrais bien entre tes mains pour le briser tant les émotions de ton corps te bouffent. Tu prends quelques secondes pour tenter de rassurer Charlie, lui promettre que tu ne joues pas un double jeu, que tu n’es pas un menteur bien que tu te mentes clairement à toi-même concernant cette relation amicale qui ne l’est pas dans les deux sens. Tu pars en vitesse rejoindre le salon pour attraper ton téléphone, essayer de la joindre, demander des explications, Charlie qui veut te retenir mais que tu n’écoutes même pas, tu agis sur le coup de la colère sans réfléchir. Pas de réponses et c’est peut-être une bonne chose pour Nathasha. Perdu, tu tournes en rond dans ton propre corps, décide de t’excuser à nouveau, te sentant responsable de cette situation bien que tu n’as rien fait de concret. Peut-être que ton tort est de fermer les yeux sur la réalité pourtant évidente. Pourtant, tu refuses encore de t’avouer ce qu’il se passe. Les yeux fermés, tu tentes de contrôler ce trop plein et c’est grâce à la main de Charlie sur ton visage que tu retrouves un sérénité dans ton esprit. Tu calmes ce feu intérieur, tu ouvres de nouveau les yeux pour les poser sur les traits parfaits de ta petite amie, sur ce visage qui t’apaise sans effort, ce regard que tu avais si peur de ne pas revoir. Tu penches ton visage contre sa main en prenant une grande inspiration pour te détendre totalement. Sa deuxième main qui rejoint ton visage, elle s’exprime et tu la fixes, pas certain de comprendre ce qu’elle veut dire. Non, tu ne vois rien, ou tu ne veux rien voir. Tes yeux qui se ferment de nouveau pour apprécier le moment avant qu’elle continue ses propos. Phrase qui résonne plusieurs fois, mots que tu analyses avant de te reculer. « Non. » Tu dis simplement, refusant de croire en cette possibilité. Vous avez toujours été très clair sur votre relation, il n’y jamais eu ambiguïté. Vous avez décidé d’être simplement des amis et depuis toutes ses années, il n’y a jamais eu de moment où vous vous êtes rapprochés. Jamais tu n’as eu envie de briser cette relation fusionnelle et amicale. Pourtant, tous les signes sont là pour prouver que ce n’est pas le même sentiment du côté de ta meilleure amie. « Elle peut pas.. » Tu murmures, réfléchissant encore, te reculant, tes deux mains qui passent dans tes cheveux pour réfléchir. Bien sûr que si, elle peut. Les sentiments, ça ne se contrôle pas. La preuve en est avec Charlie, cette fille qui a fait vibrer ton cœur en quelques secondes, cet amour pour elle qui a grandi sans te laisser une chance de contrôler ce que tu ressens. Mais pour Nathasha, tu ne ressens rien d’aussi fort. Tu l’aimes, tu tiens à elle, mais ça n’ira jamais plus loin. Jamais. Si à une époque vous étiez si proches physiquement.. ça n’a jamais débouché sur une relation amoureuse. Peut-être que vous ne vous êtes pas donné de chance non plus.. Tu secoues la tête pour oublier cette éventualité. « C’est une fille honnête, elle me l’aurait dit si.. si elle m’aimait de cette manière. » Difficilement de faire croire à Charlie que ta meilleure amie est honnête quand on sait ce qu’elle a fait pour se renseigner, pour tâter la concurrence ? « J’irai la voir après ce week-end. » Tu lances simplement, un peu froidement, reprenant le pas pour trouver vos deux flûtes de champagne que tu remplis en vitesse avant d’emmener son verre à ta petite amie. Ton verre est déjà à tes lèvres et tu bois une longue gorgée, façon simple de faire passer toutes ses informations. Même si Charlie t’apaise, t’as beaucoup de mal à te sortir de l’esprit toutes ces révélations de la soirée. Tu voudrais simplement profiter de la femme que tu aimes sans avoir à te soucier des sentiments des autres femmes à ton égard. Parce qu’il n’y a que Charlie qui compte à tes yeux, et ça ne changera jamais.


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Dim 4 Avr - 16:38

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L'évidence qui saute aux yeux et que tu énonces de la façon la plus douce qui soit pour ne pas le brusquer ou le froisser. Tu sens bien que William est perdu, presque affolé. Mais tu ne comprends pas comment il n'a pas pu le voir avant ça. Le temps de traverser le couloir pour le rejoindre et tu as compris en un claquement de doigts. Natasha est amoureuse de lui. Tu ne vois que ça. Sinon pourquoi mentir comme elle l'a fait au lieu de jouer carte sur table ? Elle a certainement voulu voir à quoi elle devrait se confronter. Ou plutôt à qui. Et, si tu ne le dis pas à voix haute, tu as bien conscience d'une chose et pas des moindres : tu ne fais pas le poids. Femme fatale, cette fille évince toutes les autres de sa présence, y compris toi. Sans parler de leur passé commun. Ce monde que tu apprivoises tout doucement. Tu tentes d'apaiser William mais au fond tu es aussi paniquée que lui à cette idée. Tu as peur que tout ceci le fasse réfléchir sur sa relation avec sa meilleure amie. Si tu affirmes haut et fort ne pas avoir de doutes, tu as cette boule au creux du ventre qui ne veut pas te quitter. Tu as peur subitement. Peur qu'il se rende compte que, finalement, lui aussi éprouve des sentiments pour elle. Pour cette brune sous son nez depuis tout ce temps. Tu esquisses un sourire pour le calmer mais il est affreusement faux et n'atteint pas tes yeux.

William s'éloigne de toi. Se détache pour se passe les deux mains dans les cheveux et faire les cent pas. Tu ne sais pas quoi faire de plus pour le tempérer. Tu te sens impuissante et tu n’aimes pas ça. Rire nerveux qui franchit tes lèvres lorsqu'il affirme que Natasha ne peut pas éprouver ce genre de sentiments pour lui. « Ce genre de chose ne se contrôle pas Will.... » que tu affirmes d'une voix douce et posée. Tu gardes une parfaite maîtrise de toi mais un geste te trahit et que tu ne réalises pas. Tu commences à te ronger les ongles. Signe évident de l'angoisse qui te prend. Nouveau rire qui s'échappe quand William affirme à nouveau que Natasha lui aurait déclaré ses sentiments. « Tu en es sûr ? » que tu demandes, comme pour le faire réfléchir plus longuement. Et tu te maudis intérieurement de faire ça, parce que tu l'incites à prendre du recul sur la question au lieu de l'aider à laisser couler. William revient vers toi avec les flûtes de champagne. Tu n'as plus soif. Tu n'as même plus faim alors que ton ventre criait famine il y'a quelques minutes à peine. « Il faut du courage pour déclarer ses sentiments à quelqu'un » que tu affirmes, faisant quelques pas en direction l’îlot de la cuisine pour y déposer la flûte que tu tiens. « Je comprends qu'elle ne l'ai pas fait. » que tu déclares alors, te mettant à la place de Natasha. « Je pense qu'elle a eu peur de détruire ce que vous aviez. De foutre en l'air votre amitié. » que tu poursuis en pivotant vers William, une main sur ton ventre devenu douloureux face à toutes les émotions qui te traversent. Tu fixes celui devenu ton petit ami en peu de tant. Tu le fixes sans un mot, détaillant les expressions de son visage. L'idée qu'il aille confronter Natasha ne te plaît pas. Mais peux-tu seulement t'y opposer ? Tu en doutes grandement. Tu t'approches doucement de lui. Te mettant sur la pointe des pieds pour venir l'embrasser tendrement « Je t'aime Will. Et je ne t'empêcherai pas d'aller la voir si c'est ce que tu veux, même si ça me plaît pas » que tu avoues finalement en plantant tes prunelles dans les siennes. Caressant ce visage qui hante tes pensées et tes rêves chaque jour. Puis, tu te serres contre lui, passant ses bras autour de son buste pour l'enlacer. Silence un moment. Paupières closes. Tu profites des battements de son cœur pour apaiser tes angoisses. Tu rouvres les yeux mais gardes la tête posée contre son torse. « Et si... Et si elle avoue tout, tu feras quoi ? » que tu questionnes finalement en resserrant ta prise autour de lui, cette question qui te brûle les lèvres depuis le début.



Dernière édition par Charlie Alvarez le Mer 7 Avr - 12:19, édité 1 fois
William Evans
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Lun 5 Avr - 16:49

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Plus vous en parlez et plus tu ouvres les yeux. Et même si tu as du mal à imaginer ta meilleure amie amoureuse de toi, toutes les preuves sont devant toi pour te prouver cette hypothèse que ta petite amie à lancer. Pourtant, tu ne peux pas réaliser ce contact, ou plutôt, tu ne veux pas. Tu fais les cent pas, remet tes cheveux en place une bonne quinzaine de fois, masse tes tempes en même temps que ton tambourine. Nathasha et toi avaient toujours été très honnêtes l’un envers l’autre et tu imagines mal qu’elle ne t’ait pas avouer son amour si jamais celui-ci existe vraiment. Mais Charlie a raison, ce n’est pas facile de te dévoiler, et sûrement encore plus avec quelqu’un dont on est extrêmement proche. Même si tu ne le montres pas, tu écoutes Charlie expliquer les faits comme si elle se trouvait à la place de Nathasha. Tu te surprends quelques secondes à être ravi de la voir prendre sa défense. Mais ce sentiment est de courte durée. Si tu trouves Charlie absolument géniale pour cette réaction face à la situation, t’as encore beaucoup de mal à apaiser tes pensées qui se bousculent dans tous les sens. Coupe de champagne à la main, tu en donnes une à Charlie mais tu remarques qu’elle ne boit pas. Toi, tu finis le verre d’une traite. Comme si l’alcool allait t’aider à trouver la solution de cette situation qui te perturbe.

Tu la rejoins dans la cuisine alors qu’elle pose sa coupe de champagne sur l'îlot central, toujours perdu, ne trouvant pas les mots pour apaiser la situation. Parce que même si tu te retrouves perdu dans une amitié que tu vois voler en éclat, tu ne peux pas négliger ta petite amie qui se trouve devant toi et avec qui tu as prévu de passer un merveilleux week-end. Avec cette femme que tu veux voir tous les matins en te réveillant. Comme si elle pouvait lire dans tes pensées, elle s’approche de toi et doucement, sur la pointe des pieds, elle vient embrasser tes lèvres. Tu poses tes deux mains sur sa taille pour la garder près de ton corps, un besoin évident de l’avoir près de toi. Ton coeur qui s’emballe chaque fois qu’elle prononce un je t’aime, un sourire qui illumine ton visage. Malgré tout, tu te sens tellement chanceux de l’avoir à tes côtés, même dans des moments comme celui-là ou elle aurait toutes les raisons de s’énerver. Vos regards se retrouvent quelques secondes, le temps d’apaiser complètement cette tension dans ton coeur. Elle a un pouvoir inestimable sur toi. « Je ne veux pas la voir, je veux rester avec toi. » Tu prononces simplement alors qu’elle vient se blottir contre ton torse. Tu glisses tes deux mains dans ses cheveux, profitant du contact de son visage contre toi. Hors de question de la laisser ici pour aller confronter ta meilleure amie. Il ne vaut mieux pas que tu y ailles maintenant, pas à chaud comme ça. Parce que même si elle t’aime réellement, faire semblant d’être quelqu’un d’autre devant Charlie, ça, tu ne l’accepteras pas. Tu fermes tes yeux en posant ton menton sur sa tête alors qu’elle s’exprime. Une question à laquelle tu n’as pas encore eu le temps de penser. Il est clair que tu n’as pas de sentiments de ce genre pour elle. Tu en as ? En fait, t’en sais rien. Mais tu sais une chose : tu aimes Charlie, et de tout ton être. Soudain, tu te rends compte à quel point elle doit avoir besoin d’être réconfortée elle aussi. « Je ne te quitterai pas, si c’est ta question. » Tu murmures doucement, ton souffle faisant voler quelques mèches de cheveux de la belle. Tu la serres un peu plus contre toi, tes bras qui l’entourent et qui l’empêchent maintenant de bouger d’un centimètre. Tu as tellement besoin de sa présence et ça te rassure de l’avoir si près de toi. C’est certain, tu n’as besoin que d’elle. Tu te recules finalement, tout en la gardant contre toi mais pour capter son regard ténébreux. « Je t’aime Charlie, je t’aime à la folie et ça ne changera pas. N’importe qui peut avoir des sentiments pour moi, je n’aurai toujours d’yeux que pour toi. » Tu dis simplement avant de te pencher pour attraper sa bouche contre la tienne, un baiser tendre, amoureux, sincère. Ce besoin de lui prouver qu’elle est ton tout et que tu ne veux qu’elle. Qu’importe si Nathasha est amoureuse, qu’importe si tu te poses beaucoup de questions sur ce que tu ressens pour elle, ça ne changera jamais le fait que Charlie est la seule à te rendre heureux. « Tu veux manger quelque chose ? » Tu demandes finalement. A la base, vous veniez pour cela et il y a beaucoup de plats préparés dans le frigo pour la satisfaire. Seulement, t’es presque certain qu’elle a perdu l’appétit au moment même où elle a aperçu ta meilleure amie sur ce cadre dans le couloir.
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Mer 7 Avr - 12:46

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L'évidence qui saute aux yeux, tu l'énonces sans détour. La meilleure amie de William amoureuse de lui. Ce que tu redoutais depuis le début. Cette relation étrange et fusionnelle qui est la leur, leur passé commun. Leur relation plus intime. Évidemment qu'elle est amoureuse de lui. Comment pourrait-il en être autrement ? Et c'est bien ça qui te fait peur depuis le début, en sachant qu'elle fait partie intégrante de sa vie. Et tu te demandes, comment l'homme d'affaire n'a pas pu le voir plus tôt. Car même si tu ne connais pas cette fille, que tu ne sais rien à son sujet ni comment elle est avec lui, tu ne peux que trop bien imaginer les regards qui ne trompent pas. Tu énonces les faits, le fond de ta pensée, alors que tu te rapproches de William pour te blottir dans ses bras, comme pour te rassurer. Et parce que tu ne parviens pas à le regarder alors même que tu t'exprimes. Tu ne l'empêcheras pas d'aller voir Natasha si c'est ce qu'il veut, même si tu préférerais qu'il n'y aille pas. Que ce soit aujourd'hui, demain ou un autre jour. Moins il passe du temps avec elle, et mieux tu te portes. Surtout que tu n'es pas certaine que confronter la jeune femme soit une bonne solution. Certes, ce qu'elle a fait est déplacé et tu te sens idiote d'être tombée dans le panneau. Mais tu préférerais laisser couler plutôt que la mettre face à ses fourberies. Le truc, c'est que tu as peur aussi que tout ça ne fasse réfléchir William. Que se retrouver face à la brune lui fasse prendre conscience de ses sentiments pour elle. Qu'il ne se perde dans tout ça et la choisisse elle plutôt que toi. Tu as le cœur qui se serre et le ventre qui se tord à cette pensée, tes bras qui se resserrent encore plus autour de lui. William décrypte en un instant ton attitude, lisant en toi comme dans un livre ouvert, t'offrant des paroles rassurantes et réconfortantes. Et pourtant, ce nœud dans ton ventre ne veut pas partir. Le brun se détache un peu, afin de mieux te regarder. Tu lèves la tête, plantes tes yeux dans les siens. Tu sais qu'il est sincère et qu'il pense chaque mot. Puis il se penche pour t'embrasser. Baiser auquel tu réponds volontiers. Pourtant, une petite alarme dans ta tête ne cesse de retentir. « Sauf que ce n'est pas n'importe qui... » que tu souffles en guise de réponse, avec un sourire triste avant de te décher de lui. « Et si on changeait de sujet ? » que tu demandes alors, balayant d'un coup ce problème épineux auquel vous êtes confronté. Tu ne veux plus parer de ça. Tu veux profiter de chaque instant en sa compagnie. Surtout que votre week-end ne fait que commencer. Deux jours entiers où tu l'as pour toi toute seule.

William semble d'accord, te demandant alors si tu as faim. Tu hoches positivement la tête avant de te rendre vers le petit coin romantique qu'il a installé. Tu n'as faim évidemment, même si tu n'as rien mangé. Mais tu vas faire un effort. Pour lui, pour vous. Tu ne veux pas gâcher d'avantage ce moment. Vous vous installez, alors qu'il a rapporté encore plus de nourriture. « Pamela pensait que tout Londres venait ? » que tu demandes sur le ton de l'humour en voyant la quantité de choses préparées. Bien plus que ce que tu pensais. Vous avez largement de quoi tenir tout le week-end et bien après. Tu prends quelques canapés, commence à les grignoter en silence. Un silence un peu pesant et qui ne fait que te faire tergiverser. Tu te forces à manger, offrant de temps en temps u sourire à William qui fait de même. Puis, tu le regardes à nouveau. Peut-être un peu trop longtemps. William semble le remarquer, te lançant un regard l'air de demander ce qui t'arrive. Sans un mot, tu poses ce que tu avais dans la main. Te mettant sur les genoux, tu avances ainsi jusqu'à lui, presque féline. Quelques pas et tu te retrouves à sa hauteur. Regard plongé dans le sien, et toujours sans rien dire, tu saisis les pans de ton haut de pyjama et le retires, laissant ainsi ta poitrine généreuse totalement nue. Et avant que le brun ne puisse dire quoique ce soit, tu attrapes son visage des deux mains avant de te pencher pour l'embrasser avec passion.

William Evans
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Mer 7 Avr - 17:26

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T’es heureux, vraiment heureux d’être aux côtés de la femme que tu aimes ce soir, tu as besoin de sa présence et tu ne pourrais être plus heureux. Malgré tout, tes pensées se focalisent sur ce qu’il vient de se passer. Sur ces révélations qui te font te poser des millions de questions. Sur ta meilleure amie que tu ne voyais pas ainsi. Des années qu’elle n’est que ta seule amie féminine dans ton entourage. Oh oui, tu as beaucoup de monde qui te tourne autour, parce que ton statut est immense, parce que tu es riche et que tu as de l' influence dans un monde populaire. Mais tu as très peu de personnes aussi proches de toi. Elle te connaît sur le bout des doigts, elle sait tout de ta vie, de ton passé, de ce que tu aimes et ce que tu détestes. Et pourtant là, tu te sens si éloignée d’elle. T’as cette impression de ne plus la connaître. De ne plus savoir qui elle est. Encore moins savoir ou te positionner dans votre amitié. Des questions qui ne veulent pas quitter ton esprit. Tu rassures tout de même Charlie. Parce qu’il y a bien une chose dont tu es sûre : tu l’aimes et tu ne veux qu’elle. Sa réponse te fait souffler. Oui, Nathasha n’est pas n’importe qui mais elle ne gâchera jamais ta relation avec Charlie. Elle quitte tes bras lorsque tu proposes de manger un petit bout puisqu’à la base, vous venez ici pour manger, parce qu’elle avait faim. Elle hoche la tête, et tu prends quelques nouveaux plats pour les apporter dans votre petit coin douillet que tu as préparé plus tôt. Tu poses tout avant de t’asseoir en face d’elle, commençant à grignoter quelques petits fours. T’es pas affamé mais tu sais qu’il faut manger pour garder la forme. Elle fait de même, commentant la quantité exorbitante de nourriture. « Elle ne peut pas s’empêcher de faire autant, elle prend soin de moi. » Tu réponds alors. « De nous maintenant. » Tu ajoutes, corrigeant ta phrase. Charlie et toi allez vivre ensemble ici désormais mais tu continueras d’employer Pamela pour l'entretien et les repas. Elle t’est indispensable. Silence qui s’installe entre vous. Pesant, interrogateur. Petits sourires que vous échangez, sans savoir quoi vous dire, la situation vous ayant peut-être mis dans un malaise. Regard malaisant et constant qu’elle garde sur toi, tu lui lances tes yeux plein d’interrogations, ne comprenant pas la raison de cette insistance visuelle. T’es presque inquiet, parce que tu ne sais pas ce qu’il se passe dans sa tête à ce moment-là.

Au lieu de parler, elle se déplace telle une féline pour venir jusqu’à toi. Tes yeux ne lâchent pas les siens, ou peut-être quelques secondes, le temps à Charlie de retirer son t-shirt. Évidemment, tu ne peux pas résister à regarder le haut de son corps que tu aimes tant, l’admirer et constater une nouvelle fois sa beauté. Tu n’as pas le temps de réagir qu’elle vient poser ses lèvres sur les tiennes pour un baiser passionné. Elle tombe sur toi dans la pression de cet échange et ton dos rencontre le sol tandis qu’elle s’allonge sur ton corps. T’approfondis le baiser, vos langues se trouvent, tes mains se posent sur ses hanches puis glissent dans son dos pour la serrer contre ton corps. Et même si elle est la plus belle femme du monde, ton esprit n’a pas la tête à aller plus loin que des baisers. Tu veux être près d’elle, mais pas de cette manière. Pas maintenant du moins. Vos lèvres se séparent pour reprendre vos souffles et tu souris contre elle. « Charlie je t’aime, mais pas maintenant. » Tu dis simplement, une main qui passe dans ses cheveux pour replacer une mèche de ses cheveux derrière son oreille, heureux. « Tu me combles, crois moi j’ai envie de toi tout le temps, mais là, je ne peux. » Tu dis en te redressant, la gardant contre toi. Elle est maintenant assise sur toi et tu ne comptes pas la laisser quitter ton corps maintenant. Même si vous ne faites pas l’amour, rien ne vous empêche de profiter de l’autre autrement. Tu déposes de doux baisers sur sa bouche, plusieurs d’affilés. « On pourrait parler un peu. » Tu dis, un besoin de l’entendre, d’entendre sa voix, de vous parler, de vous confier sans gêne, sans honte avec juste l’ambition d’apprendre encore à vous connaître. Parce que même si vous vous aimez, vous en êtes qu’au début de votre relation et vous avez encore à vous découvrir. Et tu sais déjà que tu aimeras tout d’elle. « Dis moi trois choses que tu n’as jamais faites mais que tu rêves de faire. » Tu murmures contre sa bouche, caressant sa joue de ton pouce en attendant avec impatience sa réponse.

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