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 Beautiful Gift ft Lina

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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
Invité
Invité
Anonymous
Dim 28 Mar - 21:48

Outfit

Tu n'en étais pas à ta première réception. Tu venais d'une famille aisée et la place de doyen de ton père vous avez toujours mené à paraître en société mais il est vrai que c'était depuis ces dernières années que tu y allais pour d'autres raisons. Le champagne et le cognac y étaient toujours bon , les petits fours délicieux et la conversation pour quelqu'un d'aussi curieux que toi pouvait s’avérer passionnante. Tu ne te leurrais pas, tu avais ton cercle d'amis proches mais lorsque ces derniers te présentaient à d'autre ce n'était pas pour que tu leur fasse ton show de maître conférencier. C'était car tu avais avec toi tes jolies vestales, tes jolies étudiantes qui cherchaient à se payer leurs années à l'université sans devoir nettoyer des tables dégoûtantes à mc do mais plutôt en se donnant à de riches hommes influents. Tu gardais le contrôle -oh comme tu aimais ce mot-. Elles savaient que tu ne les enverrais pas avec des vieux dégueulasses. Elles étaient trop belles, et tu avais trop envie de les avoir encore dans ton lit pour les salir. Tu préférais le faire de ta propre luxure.

Tes deux protégées sont déjà loin avec les deux chanceux quand un de tes potes, et meilleur client arrive vers toi « Beau, mon ami... je ne t'ai pas assez remercié pour la dernière fois. Alors pour ton anniversaire, même si il est un peu dépassé... » « Oh non pas de connerie de surprise. Si c'est une bonne bouteille, je dis pas non mais si ce n'est pas ça, oublie moi... »  « Crois moi tu ne voudras pas de bouteille après ce que j'ai prévu pour toi. » Tu hausses un sourcil , d'autant plus lorsqu'il te refile une clef et te dis que ça t'attends dans la plus grande suite du deuxième étage. « Si c'est une connerie.. tu ne verra plus la couleur d'une des petites culottes de mes filles. Te voilà prévenu » Tu prends une clope dans ta veste et te dirige vers la chambre. Cette dernière est encore dans l'obscurité et c'est sur un fauteuil voltaire que tu préfères attendre. Lorsque la porte s'ouvre , tu n'es pas déçue...Tu aimais tout les corps féminins et celui ci attirait ton regard en tout point. Svelte, harmonieux, de belles jambes, de beaux seins et un visage qui regroupait autant l'enfer que le paradis... « Vous vous êtes trompée de chambre mademoiselle ? »

@Lina Wheeler
Lina Wheeler
got a fever, can you check ?
Lina Wheeler
Since : 17/02/2021 SMS : 109
Lun 5 Avr - 0:11

Ce soir, tu ne danses pas mais tu n’es pas là pour rien. L'escort girl en toi reprend ses habitudes, soignant son image devant le miroir avec l'intention d'en faire languir plus d'un au cours de cette soirée. Tu te prépares, déposant quelques goutes de parfum au creux de tes poignets et de tes seins. Délicatement, tu enfiles une robe cocktail, suffisamment éclatante pour attirer les regards à cette réception. Un verre à la main, tu te pavanes parmi les invités, te mêlant à quelques discussions peu intéressantes. Un homme que tu connais bien te prend à part, désireux de faire appel à tes services. Ravie, tu lui fait part de ta disponibilité dans un sourire complice. Il te paye bien, même plus que tu ne lui demandes parce qu’il est chaque fois plus satisfait encore que les fois précédentes. Tu t'attends à ce que ce soit pour lui mais il t'annonce qu'il a décidé de remercier quelqu'un. Un ami qui lui est cher, et qui venait de fêter son anniversaire sans avoir eu de cadeau à la hauteur, qu'il te précise. Il n’ajouta pas d'exigences particulières, te faisant confiance pour lui offrir le meilleur de ce que tu avais a lui donner. Parfaitement conscient de ta manière de travailler pour l'avoir testé plus d'une fois. Tu as seulement comme consigne de rejoindre son ami dans la fameuse suite du deuxième étage, la plus luxueuse. Celle qu'il te réserve à chaque fois sauf que cette fois il ne te remet pas directement les clefs, préférant les confier à l'homme chanceux.

Discrètement tu t'éclipses avant que quelqu'un d'autre ne vienne à toi, ton agenda était déjà bouclée pour ce soir. C'était toujours bien plus agréable de travailler avec des clients réguliers, tu savais à quoi t'attendre et eux n'étaient jamais déçu. Tu prends quelques minutes pour aller dans la chambre où tu avais entreposé tes affaires pour le début de soirée. Retirant cette robe pourtant si élégante pour enfiler une tenue plus légère et toujours plus affriolante. Ce morceau de tissus qui masque seulement les parties les plus précieuses de ton corps, celles qu'il veulent tous goûter. Lui seul aura ce loisir là ce soir. Il ne devrait plus tarder alors tu décides de quitter cette pièce pour te rendre à l'étage du dessus, comme convenu. Tu franchis cette porte, découvrant un homme dans la pénombre, confortablement installé sur un fauteuil. « Oh je ne crois pas non, mais si jamais ma présence vous dérange je peux disposer... ». Tu écartes les pants de ton manteau pour l'inciter à faire le bon choix et lui donner un aperçu de ce qu'il s’apprêtait à recevoir s'il t'acceptais auprès de lui. Tu ne portais pas de ruban rouge autour de ton corps mais c’était tout comme. « Toutefois, il paraît que j’ai un cadeau à transmettre et il serait bien inconvenant de votre part de me laisser m’en défaire seule. ». Tu t’approches de ce fauteuil en velours et tu viens déposer une main sur son épaule, la laissant ensuite s’aventurer à la naissance de son torse.


Invité
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Anonymous
Mar 13 Avr - 23:16

Cela faisait longtemps que tu ne fêtais plus particulièrement tes anniversaires . Tu n'avais aucun soucis avec ton âge bien évidemment. Tu avais l'avantage d'être un homme, le poids des années avait une emprise différente sur toi. Le jour où les premières mèches de cheveux blancs pointeront le bout de leurs nez, elles ne feront s'assurer encore un peu plus ton charme.La vie était injuste mais tu estimais que c'était un juste retour des choses car le charme féminin lui pouvait provoquer guerre et mort. Il était essentiel qu'il passe, qu'il se métamorphose autrement. Car si toute les femmes étaient comme celle qui vient de rentrer dans ta suite : plus aucun homme sur terre, ou femme disposant de goût similaire ne seraient plus capable de travailler. Tous voudrait marquer la peau de porcelaine de leurs crocs et entrer dans la douceur de ses cuisses jusqu'à la faire chanter . Toutefois tu restes calme : tu vis dans la tentation en enseignant à l'université et il s'agirait de ne pas faire de faux pas si la jeune femme n'est pas ton cadeau. Tu lui demandes d'abord si elle ne fait pas erreur et à sa voix toute aussi sensuelle que son corps et à son manteau qui s'écarte tu pries pour qu'il n'en s'agisse pas d'une. Tu souris et elle s'approche confirmant qu'elle est bien là pour toi . Ton regard fixe ses longs doigts élégants sur ton torse et les tiens quittent l'accoudoir pour frôler ses cuisses. « Je ne croyais pas avoir d'aussi bons amis. » Tu ne la caresse pas vraiment mais tu la dévore déjà des yeux. La retenu avec laquelle tu arrives au fin tissus rouge n'est rien comparé à ce que tu commence à ressentir d'envie pour la jeune femme. « Je ne pourrais supporter que vous vous retrouviez en si mauvaises postures. » De nouveau tes lèvres se retroussent en la regardant .

« Tu peux venir ici » dis tu en la poussant délicatement à califourchon sur tes genoux. Tu profitais souvent des services d'escort mais c'était uniquement les tiennes, cela changeait tout. Vous aviez tous ensemble un lien particulier. Tu ne doutais pas un instant qu'elles agissaient tout aussi délicieusement avec vos clients mais ta position actuelle avait quelque chose de grisant . Une fois ses fesses joliment positionnées sur toi, tu la tiens délicatement par les reins, ta paume droite remontant sur sa nuque où sa nuisette est retenue dans un savant nouage très facilement retirable. « Comment dois je t'appeler cette nuit ? » Tu tires légèrement sur ses longs cheveux blonds « Et comment veut tu qu'on te traite ? » Tu avais bien une idée , et même des centaines pour dire vrai sauf qu'il était hors de question de faire passer un mauvais moment à une femme, même qui se vend.
Lina Wheeler
got a fever, can you check ?
Lina Wheeler
Since : 17/02/2021 SMS : 109
Ven 16 Avr - 22:30

Ton apparition à cette réception est de courte durée, ta soirée est déjà toute tracée et tu ne tardes pas à rejoindre la suite dans laquelle tu étais attendue pour la nuit. Un homme qui venait de souffler une bougie de plus, tu n'en savais pas plus sur sa personne. Sensuellement, tu laisses retomber au sol le manteau qui dissimulait jusqu'ici ta tenue sexy. L’homme en question ne se gêne pas pour en profiter, ne perdant pas une miette du spectacle que tu lui offrais. En t'approchant de lui, tu détailles ses traits et tu remarques qu'ils ne te sont pas totalement inconnus. Tu l’avais bien repéré une fois ou deux parce qu'il fréquentait les mêmes soirées auxquelles tu te montrais. Il te semblait avoir entendu dire qu'il était professeur d’histoire, enfin un professeur certainement plus sombre qu’il n’en avait l’air. En voilà un qui devait faire de l'effet à plus d'une de ses élèves en tout cas. Avec un physique pareil tu étais toi aussi chanceuse finalement ce soir, ne finissant pas la soirée avec un vieux pervers tout juste encore capable de bander.

Il semble bien surpris du traitement de faveur qui l'attend et tu lui retournes un sourire avant de déduire : « Il faut croire qu'ils tiennent suffisamment à vous pour se soucier de votre plaisir. ». Toi aussi tu comptais bien t'assurer qu'il profite de son cadeau et qu'il ne soit pas déçu de cette soirée. Tu avais une réputation à tenir qui plus est, ainsi qu'un client fidèle à contenter. En douceur, il effleure ta peau, approchant de tes cuisses sans oser les toucher davantage. Il ne cesse de te sourire avec envie, semblant plus que ravi de son cadeau. Un instant tu contournes le fauteuil pour être dos à lui pour venir attiser son désir et titiller sa curiosité. Légèrement tu te penches au dessus de lui, faisant tomber quelques mèches de ta chevelure ondulée le long de son épaule. « On m’a dit qu’un bel homme avait fêté son anniversaire il y a peu de temps... », que tu lui confies en laissant tes mains se balader sur son torse. Docilement tu reviens sous ses yeux pour prendre place sur ses genoux, glissant une jambe de chaque côté de lui. De ses doigts il vient taquiner la dentelle se trouvant au niveau de ta nuque, comme s'il était encore hésitant à retirer le précieux tissu dès maintenant. Tu le laisses maître, il pouvait tout aussi bien choisir de savourer encore un peu cette vue. Le professeur avait cette délicatesse rare. Celle de prendre soin d'une femme et de la considérer dans toute sa personne. L'attention est appréciable. Ce n'est pas le cas de tous tes clients, bien au contraire certains te voyais simplement comme une vulgaire morceau de viande, ne prenant pas la peine de t'adresser la parole si ce n'est pour t'insulter. « Tu peux m'appeler Shantel. Et toi, ton p'tit nom ? », souffles-tu enjôleuse. Autant savoir dès maintenant le prénom qu'elle aurait à gémir toute la soirée. Parce qu'ils adoraient ça pour la plupart et que ça les rendait fou de t'entendre crier leur nom. Lentement, tu viens glisser tes mains sur les pants de sa veste, cherchant à lui retirer cette épaisseur qui devait lui tenir bien trop chaud à l'heure actuelle. « Je suis là pour satisfaire tes désirs, alors fais moi tout ce qui te plaira. », que tu murmures en ancrant ton regard dans le sien. Le client est roi alors il peut bien faire ce qu'il veut de toi, il n'a qu'à demander pour que tu t'exécutes dans la minute. Lui laissant le temps de formuler ses souhaits ou de prendre les devants, tu commences simplement par onduler ton corps en dessus de lui, offrant ainsi une petite danse des plus exquises.


Invité
Invité
Anonymous
Dim 16 Mai - 22:24


Tout le monde connaît ce moment où les invités chantent -happy birthday- et débarque avec un gâteau. L'heureux élu doit attendre patiemment la fin de la chanson et souffler les bougies sous les applaudissements alors qu'il ne veut qu'une chose : déballer son cadeau et faire fie des convenances. Et bien ce soir tu avais le droit au cadeau sans le folklore . Que demandais de plus ? De la chantilly à lécher sur le bout de ses seins ? L'idée serait à développer mais pas ce soir. Pour le moment tu sembles surtout être la proie alors qu'elle tourne autour de ton fauteuil -celui de l’hôtel pour être plus exacte- et qu'elle pose ses doigts sur ton torse -c'est bien le tien pour le coup- Elle connaît l'art de la séduction et si tu étais en recherche d'une autre vestale dans d'autre domaine , nul à douter que tu la voudrais dans ton équipe -mais non Beauregard, ce n'est pas The Voice version The escort et tu ne dois pas te retourner avec perte et fracas mais juste profiter du parfum de ses cheveux retombant sur mon épaule- Oui vraiment très douée. « A vous voir maintenant, je pense que je ne l'ai pas fêté aussi dignement que je pourrais le faire désormais »

Elle revient face à toi et tu ne peux t’empêcher de la préférer sur toi, joliment à califourchon . Tes doigts ont oeuvré en ce sens tout en délicatesse. Tu ne la brusque pas, pas encore ou peut être jamais. L'art du sexe est multiple. Tu peux l'aimer tout autant dans la douceur de deux corps qui se découvrent que dans la rudesse de deux corps qui s’apprivoise. Chaque femme est différente et même si tu es professeur, tu sais qu'on ne cesse jamais d'apprendre. Elle te dit son prénom, du moins celui qu'elle veut bien te donner et tu penches la tête pour bien observer ses traits. « Jolie prénom d'emprunt. Tu aurais put en trouver un encore plus doux et gracieux qui t'irait encore mieux mais je suis certain que ton vrai prénom est plus beau. Un prénom court, féminin. Des L. des I ou peut être des A... » Tu aimes tenter de deviner même si tu sais que tu ne trouveras jamais et qu'elle se sentira de toute façon plus à l'aise sous une couverture. Ton pouce caresse sa mâchoire jusqu'à sa bouche que tu fixe « Mais soit Shantel. Je t’appellerai ma douce de toute façon et toi Beauregard. Tu peux te contenter de Beau si ton souffle s’égare » Tu la pousses un peu plus sur ton bassin en riant « Parais je prétentieux ? »

Elle, ne l'est pas. Tu la crois volontiers quand elle murmure être là pour satisfaire tes désirs. Ces derniers sont nombreux et se multiplient à chaque respiration qui soulèvent sa poitrine et que ses hanches ondulent sur toi «Pour commencer, tu vas continuer ainsi. Tu te débrouilles très bien. » Une main sur ses reins glisse dangereusement vers ses fesses mais apprécie surtout de sentir la façon dont elle bouge. La seconde emprisonne sa nuque et la masse tout en écoutant le bruit de sa chevelure qui tangue de gauche à droite sur la soie de sa nuisette. Tu soupires « Magnifique ma douce » Tu te penches pour embrasser sa clavicule, remonter tes lippes à son cou et son oreille puis sur la ficelle de son haut. Tu tire dessus lentement pour que ça soit à cette même terrible vitesse que ses seins se dévoilent auréolés d'une pointe de rose qui te nargue déjà . Tes deux paumes s'accordent pour les les cueillir, apprécier la rondeur en reprenant des baisers sur sa peau avant d'y avouer une exigence qui est pourtant très naturel « Défais moi de ma pression » Et comme si ce n'était pas assez explicite tu donnes un petit coup de rein pour coller ton sexe déjà rudement mis à l'épreuve et prêt à lui aussi avoir de l'attention « Et partageons ce moment à deux. »
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