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 Give mama some sugar. (Huxley)

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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
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Ven 5 Fév - 3:08

(outfit) Huit heures et quart affiche ta montre, tu te prépares en prenant un petit peu ton temps. Ce soir, tu as rendez-vous au restaurant avec tes sœurs, ça c'est ce que tu as dit à ton mari pour lui cacher la vérité. Tu ne comptes évidemment pas retrouver ta fratrie ce soir, pourquoi faire ? qu'elles te parlent de leurs petites vies inintéressantes ? ce n'est pas la peine, tu as de meilleures choses à faire comme par exemple dîner avec Huxley, un ami de très longue date avec qui tu as couché un nombre incalculable de fois dans le dos de ton mari qui ne se doute absolument de rien, il se doute peut-être que tu as un amant seulement sauf que tu en as bien plus que ça, si seulement il savait. Tu es bien loin de penser à lui en ce moment même, il ne traverse même pas tes pensées ne serait-ce qu'une seule seconde, comme tes enfants d'ailleurs que tu n'as pas entendu depuis qu'ils sont rentrés. Tu enfiles ta robe, tes escarpins puis tu files dans la salle de bain pour ajuster ta coiffure et également te maquiller un petit peu, cherchant à te faire ultra sexy pour ce mec pour qui tu as ressenti quelque chose une fois, vous avez tous les deux décidés qu'il n'y aurait simplement que du sexe entre vous étant bien différents sur bon nombres de points. Une vingtaine d'années que vous vous connaissez, tu étais assez proche de sa sœur, sa disparition vous as beaucoup touché l'un comme l'autre, peut-être lui plus que toi à cause du lien de parenté. Une fois prête, tu quittes le manoir, le chauffeur qui t'attends juste devant. Un simple geste de la main à ton mari avant fermer la porte, rejoignant le véhicule pour t'y installer en donnant l'adresse du restaurant au conducteur qui mettra les gaz pour que t'y sois rapidement. Tu pensais retrouver Huxley devant, visiblement cette tête de nœud n'est pas encore arrivé. Oserait-il te poser un lapin ? Ce n'est pas son genre, à d'autres mais certainement pas à toi. Il commence à faire frais dehors, tu décides de l'attendre à l'intérieur, bien au chaud en prenant une table au premier étage. Tes yeux qui se baladent un peu partout, c'est lui qui a choisi l'endroit et il s'est clairement pas foutu de toi, c'est très chic. Tu viens poser tes fesses sur une chaise après que celle-ci ait été gentiment tirée par un employé, tu patientes en soufflant un bon coup, son retard qui t'agace et il doit le savoir.



@Huxley Fitzgerald
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Ven 5 Fév - 13:16

(outfit) La vieille bagnole apparaît au bout de la rue, contraste avec les dizaines de berlines luxueuses qui fréquentent ce quartier huppé de la capitale, paraît louche, attire les regards, surtout lorsqu'elle s'arrête devant l'entrée du restaurant le plus huppé du pâté de maisons. Le moteur tourne, personne n'en descend, personne ne vient, de longues secondes s'écoulent avant que la vitre côté passager ne s'abaisse sous l'action mécanique de la main du conducteur vautré sur le siège passager.

- Hé, tête de gland ! Le voiturier qui l'observait d'un air mauvais serre les dents, le fusille du regard, mais se trouve bien obligé de faire bonne figure. Alors il avance, rejoint le tas de ferraille et se penche pour en découvrir son occupant : un homme louche, barbu, cheveux en bataille et style vestimentaire douteux. Sérieusement, ça s'porte encore les chemises hawaïennes ? T’es gentil, tu m’l’abimes pas !
L’homme pas net se redresse en pestant contre la gravité, s’extrait de la caisse qui grince et la contourne avant de poser une main ferme sur l’épaule du gringalet légèrement démuni par autant d’assurance de la part d’un gars qui se fera refouler à l’entrée. Si j’lui trouve ne s’rait-ce qu’une rayure, tu vas r’gretter d’être né. Le regard du voiturier se pose sur l’immonde tas ferreux, se demandant s’il doit se réjouir de la voir déjà dans un pitoyable état, ou si ce même état lui vaudra les représailles annoncées par l’homme qui s’engouffre à l’intérieur du restaurant.

Dedans, c’est chic, c’est silencieux, ça joue du piano. L’horloge indique une heure avancée, souligne le retard de celui qui semble ne pas en avoir grand chose à foutre alors qu’il se présente au maître d’hôtel.
- Vous cherchez votre chemin, monsieur ?
- Fitzgerald, c’est monsieur Fitzgerald, et j’cherche rien du tout j’compte bien manger ici.
- Je crains que ce soit impossible, monsieur Fitzgerald, nous sommes complets ce soir et...
- C’est bien pour ça qu’j’ai réservé, pov’ cloche, si t’avais l’nez dans ton registre ça t’aurait évité d’me prendre pour un con. Le maître d’hôtel baisse les yeux et constate, avec regret, que cette chemise hawaïenne est pas prête de foutre le camp d’ici.
- Très bien...

Appelle un garçon qui accoure et guide l’irlandais au milieu des tablées peuplées de la haute société. Huxley ne passe pas inaperçu, s’en fout royalement, surtout lorsque ses yeux brillent soudainement à la vue de celle qui l’attend. Bon dieu c’qu’elle est bandante à s’être faite belle comme ça, pour lui. Sourire en coin, il tapote l’épaule du serveur.
- C’plus la peine, j’sais où j’vais. Et il perd pas de temps.
Ses pas se pressent jusqu’à la table, jusqu’à elle, jusqu’à Val, sa plus ancienne conquête, sa plus fidèle amante, celle qu’il a aimée un jour et, pour ça, a convenu qu’il ne fallait rien changer à leur relation qui dure depuis plus de vingt ans.
Il arrive derrière elle, dégage sa nuque de sa crinière blonde pour laisser ses lèvres y fondre avec appétit. Si tu savais l’effet qu’ça m’fait d’te voir t’faire belle pour moi... Mots murmurés, grognés au creux de son oreille avant qu’il ne se redresse, l’air de rien, ne prenne place en face d’elle et ne s’empare du menu qu’une serveuse lui tend. Alors, tu bois quoi ?
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Mer 10 Fév - 23:28

Tu t'impatientes, les minutes qui passent presque comme des heures. Est-ce qu'il va venir ? Vaudrait mieux pour lui, il risque de t'entendre et pas qu'un petit peu. Tu observes les alentours, les autres clients qui se marrent bien contrairement à toi, tu l'attends, te permet de lui envoyer un message pour lui demander ce qu'il peut bien foutre. Qu'est ce qui est plus important que toi ? La tête qui tourne vers la gauche puis vers la droite sans jamais apercevoir son visage. Tu as les yeux rivés sur l'écran de ton smartphone lorsque tu sens une main libéré ta nuque, la chaleur d'un baiser qui s'y dépose. Tu te laisses faire, tu as très bien compris qu'il était enfin là, c'est pas trop tôt, c'est pas comme-ci il était en retard d'une bonne trentaine de minutes. Il a bien de la chance que tu sois rester, tu hésitais à rentrer chez toi mais l'envie de le voir, de passer du temps avec lui qui t'auras permis de vaincre ton impatience. Tes yeux qui viennent retrouver les siens, les sourcils froncés qui exprime ton mécontentement, ce n'est pas son compliment qui va te faire oublier son manque d'assiduité. Il sait aussi bien que toi comment il va devoir se rattraper, le repas n'est que le début de votre soirée qui se poursuivra sans grande surprise à l'hôtel. Vous ne vous retrouvez pas pour une partie d'échec. Tu remarques assez vite son look négligé, sa chemise bien moche surtout. Tu te fous de ma gueule ? tu le reluques en grimaçant. Tu te pointes avec trente minutes de retard et en plus tu ressembles à un plouc ? Alors que toi tu es fraiche, tu as pris du temps pour te préparer, pour lui plaire, ce qui est réussi bien évidemment. On dirait bien qu'il va falloir que tu lui en achètes, des chemises, des bien plus belles que celle qui porte ce soir. Tu oublies tout ce qui se passe autour de toi, tes prunelles ne se détache pas du flic, que tu ne t'empêche pas d'imaginer à poil, tu l'as vu plus d'une fois sans ses fringues, si tu le côtoie toujours c'est parce qu'il te baise bien et parce que tu tiens à lui aussi. Fut un temps tu avais des sentiments pour lui, c'était bien plus qu'un ami pour ton petit coeur qui battait la chamade chaque fois que tu étais en sa présence. Me dit pas que tu t'es tapé une petite minette avant de venir ? t'espères pas, tu veux qu'il soit en forme pour toi, pour mieux te démonter plus tard. Je vais prendre le Richebourg 1966. Le vin le plus cher sur la carte, le meilleur que puisse t'offrir la maison quand on s'attarde sur la carte.



@Huxley Fitzgerald


Dernière édition par Valentina Whiteford le Dim 14 Fév - 0:58, édité 1 fois
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Ven 12 Fév - 15:46

Il le sent, ce regard plein de reproches qu’elle pose sur lui, cette brûlure qui devrait sûrement le faire culpabiliser. Il le sent, mais l’ignore, son attention portée sur le menu qu’il parcourt. Il l’apprécie, aussi, aime les femmes de caractère, aime celui que Valentina met en avant, qui monte, qui monte, puis qui explose. Comme le sien, en fait, c’est p’t’être pour ça qu’ça colle aussi bien entre eux, qu’ça détonne malgré leurs différences. Elle est d’la haute, il est d’la basse bien qu’sa lignée ait une certaine réputation dans l’milieu d’la pègre. Elle porte des louboutins, lui une de ses éternelles chemises hawaïennes. Elle respire la féminité, ferait bander l’server rien qu’à lever les yeux vers lui, quand Huxley a une tête à faire peu, un regard dérangeant et s’prendrait une claque de la serveuse s’il se montrait trop direct avec c’te pimbêche. Mais Val et Hux, c’est une histoire vieille comme le monde, un duo qui dure, un duo qui tient. Plus d’vingt ans qu’ils se foutent sur la gueule, elle avec ses grands airs, lui avec son langage de charretier, pour mieux se confronter, mieux s’affronter toute la nuit durant. Et nul doute que ce soir ne fera pas exception.

Elle le réprimande, il sourit sans lever les yeux, la voix tranchante de la belle blonde faisant l’office d’une caresse contre les oreilles de celui qui s’applique souvent à la faire sortir de ses gonds. Il la connaît par coeur, et la réciproque est vraie. Ils savent où appuyer pour se faire du mal, pour se faire du bien, visent toujours juste pour rappeler à l’autre à quel point ils se connaissent, à quel point ils auraient été faits l’un pour l’autre s’ils n’avaient pas choisi de s’aimer comme des amants plutôt que comme un couple. Et ça marche. Elle est sa relation la plus longue, aussi officieuse qu’elle soit, la plus régulière aussi et lui, s’il ne bat pas les années de mariages de la belle par le temps, les surpasse par la passion qu’il a toujours conservée envers celle à qui il se décide, enfin, à répondre.

- J’adore ta façon d’me dire à quel point j’t’ai manqué. Ses yeux se lèvent un instant de son menu. J’espère qu’tu m’le montreras avec autant d’enthousiasme.

Il réagit pas à la remarque sur sa dégaine, pas pour le moment en tout cas. C’est un sujet qui revient souvent sur la table avec ces deux-là, elle pointant du doigt ses goûts douteux et la pauvre facture de ses vêtements qui sont toujours les mêmes depuis une dizaine d’années. Ca le fait marrer, il en joue, mais ça explose toujours quand elle s’met à l’prendre pour un con -ce qu’il est, nous sommes d’accord. Alors lui, son truc, c’est sa satisfaction immense d’se faire une femme pareille depuis autant d’années. Aussi bandante, aussi importante, aussi friquée que Valentina, lui, le flic pourri jusqu’à la moëlle qui trempe dans les pires affaires londonniennes, entre les cuisses du gratin d’l’aristocratie, entre les jambes galbées de la seule femme qu’il a jamais vraiment aimée. Ca se voit, parfois, dans les attentions qu’il a pour elle et qu’il n’a pour aucune autre. Une simple main sur la hanche, des caresses qui n’ont pas d’autre but que de sentir sa chaleur sous sa main. Ils se sont résignés, ont conclu que leur relation ne dépasserait pas celle d’amants mais, de toutes ses conquêtes, elle est la seule pour qui il assume pleinement l’affection qu’il lui porte. Alors, lorsqu’elle évoque l’idée que son retard puisse être dû à une entrevue avec une jeunette, il jubile et pose enfin le menu devant lui pour lui adresser un sourire narquois.

- Ooooh que si. En témoignent ses cheveux en bataille, sa chemise mal boutonnée et l’état de la banquette arrière de sa caisse. Rien qu’un petit hors d’oeuvre pour me mettre en appétit. Elle était mignonne, elle était jeune, elle était fraîche, mais elle arrivait pas à la cheville de Valentina. Sa Valentina. P’t’être même qu’c’est elle qu’il a imaginé s’envoyer à l’arrière de sa bagnole, pour sûr qu’elle s’laisserait jamais prendre là d’dans, alors faut bien faire avec les moyens du bord quand on a une envie pressante. La jeunette, il la r’verra p’t’être pas. Valentina, en revanche, est pas prête d’sortir de son existence.
Elle fait son choix sur un grand cru, lui sur un whisky qu’il aura jamais les moyens d’payer. Ah, c’est lui qu’a lancé l’invitation ? Et il devrait avoir des scrupules à compter la laisser dégainer la carte bleue d’son cocu d’mari ? Il va s’priver, tiens…

- Et j’dois dire qu’ça fait son p’tit effet, j’ai foutreent faim. D’elle, à en juger par son regard qui la reluque sans aucune retenue, s’attarde sur son décolleté tandis qu’il se mord la lèvre inférieure. Il pass’rait bien au plat principal maint’nant l’irlandais, mais pour elle il fait l’effort de s’montrer un poil civilisé. Alors il reste assis et s’contente d’la mettre en appétit, elle aussi. Elle est jolie c’te robe, elle t’moule bien. J’espère qu’t’y tiens pas trop.
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Jeu 18 Fév - 3:45

Aucune place pour les mots doux, vous êtes comme chien et chat avec Huxley et cela depuis un bon moment maintenant pour ne pas dire une vingtaine d'année. Le seul homme que tu as retrouvés plus d'une fois sous la couette, tu te lasses beaucoup trop vite des autres même si tu dois avouer avoir apprécier la performance de certains jeunots. Tu étais une bonne amie de sa sœur jusqu'à ce qu'elle décède, une disparition qui aura pas mal rapprocher au point de vous retrouver fréquemment sous les draps encore aujourd'hui sans même que ton mari ne soit au courant. Il ne te fait plus aussi bien l'amour qu'avant, il faut bien que tu ailles voir ailleurs pour assouvir ton appétit sexuel. Tu te tapes des hommes qui ont l'âge de tes enfants, parfois des hommes un peu plus mature lorsque ton ami de longue date n'est pas trop disponible. Ce soir, il ne va pas uniquement se remplir la panse. Tu ne détaches pas ton regard de cette chemise hideuse, elle est vraiment dégueulasse et tu manques pas de lui faire savoir autant par tes paroles que par ton expression faciale au moment où il est arrivé devant toi. Tu me fais honte, putain. Comme si tu en avais pas l'habitude avec lui. Elle n'est vraiment pas de ton goût cette chemise, tu vas certainement le lui rappeler jusqu'à ce que tu puisses lui retirer et la donner à ta gouvernante pour qu'elle s'en serve comme chiffon. Tu passes ta commande au serveur, tu optes pour le Samundra Khazana Curry. Ce n'est pas tout le monde qui peut se payer un tel plat, il est très cher pour ce que c'est mais quand il s'agit de bouffe, tu ne comptes pas le moindre sous que tu peux y mettre. Tu repose la carte sur la table, tu l'as met en bout de table pour venir concentrer ton attention sur ton partenaire. Tu pensais à moins en baisant ta putain ? Gare à lui si la réponse s'avère être négative, tu peux à tout moment décider de le priver de desserts comme tu le faisais avec tes mioches sauf que celui-ci est bien différent. Il est aussi libre que toi, tu peux te faire baiser par n'importe qui d'autre comme lui peut se permettre de soulever d'autres nanas néanmoins ça t'emmerde de savoir que tu n'as pas l'exclusivité. Tu es clairement jalouse à ce niveau-là. Je la connais ? que tu demandes pour potentiellement lui faire un petit coucou dans les jours qui viennent, tu en serais capable. Tu ne lui ferais aucun mal, simplement tu lui ferais comprendre d'une manière un peu douteuse peut-être qu'il ne faut pas qu'elle marche sur tes plates bandes. Pas du tout. Je dois l'avoir en double ou en triple même. Tu achètes toujours tes fringues en plusieurs fois, surtout ce genre de robe qui ne t'ont pas coûté si cher que ça au final. Ton regard retrouve celui du flic tandis que ton pied droit lui se fraye doucement un chemin vers l'entrejambe de ce dernier que tu caresses à travers son pantalon, histoire de chauffer un peu ton amant.



@Huxley Fitzgerald
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mer 24 Fév - 0:26

Y’a vraiment qu’Valentina qui peut s’targuer d’se faire emmener au restau par ce connard fini qu’est Huxley. Son truc à lui, c’est d’tirer son coup quand l’entrejambe le démange, avec la première pépette qui passe, dans le premier recoin qui s’présente, avec les plus belles des putes qu’il peut s’offrir dans des hôtels douteux ou directement chez lui, chez elles. Il fait pas dans la dentelle, Hux, il cherche pas à faire plaisir, il cherche à plaire pour s’en donner à coeur joie ensuite, s’applique bien à en apporter à celles qui s’risquent à s’offrir ou à s’vendre à lui mais y met certainement moins d’finesse que quand il s’agit d’la gamine du boss, et encore moins d’Valentina. Valentina c’est pas la femme qui s’laisse embarquer pour se faire troncher dans les chiottes d’un bar, elle a un certain standing qu’elle lui rappelle en jugeant la chemise qu’il arbore et qu’il entreprend de reboutonner correctement sans se soucier d’être dans un prestigieux établissement. Valentina elle s’contente pas d’bouffer des queues, il lui faut du caviar avant, il lui en faut dessus, et une flûte de champagne qui l’attend sur un plateau d’argent. Et Huxley est prêt à tous les moyens détournés pour lui offrir c’qu’elle veut sur un plateau d’argent. Parce-qu’il ferait au moins ça pour la femme qui l’connaît mieux qu’il s’connaît lui-même, celle à qui il aurait certainement passé la bague plutôt qu’à cette harpie dont il est divorcé aujourd’hui. Mais son doigt à elle est déjà pris, sa lignée est déjà entamée et, surtout, elle est bien trop loin des merdes dans lesquelles il trempe jour et nuit. Qu’elle garde ses diamants et son dédain dégoulinant pour le bas peuple et la pègre, c’est encore l’meilleur moyen d’s’en préserver, pas comme Hux qui y fonce tête baissée et qui compte bien récupérer la part qui lui r’vient.

Il lui sourit, sourire de gros con qui sait très bien à quel point elle hait ses chemises, qu’a sûrement fait exprès d’porter celle là ce soir, juste pour s’mettre en appétit à voir c’regard suffisant posé sur lui mais qui devine très bien c’qu’il y a en dessous du vêtement.

- Et c’est pour ça qu’tu m’aimes. Il a aucun scrupules à balancer ce mot là avec elle, alors qu’il a une toute autre saveur que les fois où il le sort avec des nénettes ramassées ça et là. Ces dernières ont juste droit à son côté mégalo alors que Valentina, elle, sait qu’c’est vrai, ils le savent tous les deux, l’ont senti y’a des années d’ça et ça leur plane encore dessus depuis tout ce temps. Parce que ouais, il l’aime Valentina, p’t’être pas d’la même manière qu’il a pu l’aimer par le passé, mais certainement plus que toutes les gamines sur lesquelles il passe, certainement plus que lui-même. Son affection pour elle, il l’assume, il craint pas d’la lui montrer même si c’est pas tendre. Ca continue d’foutre la merde, parfois, ça crée des jalousies qui devraient pas avoir lieu d’être, ça fait avoir envie d’cogner ou d’nuire à tout c’qui touche l’autre, juste, parce-que. Y’a rien d’rationnel, y’a tout d’passionnel, et c’est à ça qu’ils s’raccrochent depuis vingt ans.

On leur apporte leurs boissons, on leur demande c'qu'ils boufferont, Huxley opte pour une pièce de barbaque saignante à souhait et refourgue le menu au serveur pour rapidement reporter son attention sur Valentina qui serre les dents, à Valentina qui doit déjà réfléchir à la manière d’évincer la gamine qu’il s’est faite y’a une heure. Ca s’rait pas la première, et certainement pas la dernière qu’la femme fatale ferait dégager du paysage pour s’accaparer toujours plus d’attention du flic, tout comme ce dernier sait jouer des poings, du chantage et des menaces pour faire se tailler tous les gamins qui posent leurs sales pattes sur elle. C’en est presque devenu un jeu, s’faire plaisir d’abord puis provoquer l’autre, voir à quel point ça l’emmerde. Et ce soir, ça fait pas exception.

- Pas une seule seconde. C’est faux, totalement faux, à une heure de retrouver sa plus ancienne amante, c’est qu’à elle qu’il pensait, et à tout ce qu’il avait envie d’lui faire, il a sauté la jeunette avant d’la laisser sur l’bas côté, tout ça pour pas faire languir plus longtemps celle qu’il veut irriter. Tu risques pas d’la connaître, c’est ton parfait opposé. La caissière d’la supérette au coin d’ma rue, p’tite brune, planche à pain. Tu parles, c’est une belle blonde plantureuse aux jambes infiniment longues qu’il s’est envoyée sur sa banquette arrière, qu’il a regardée dans les yeux comme s’il s’agissait d’sa bourgeoise. Il s’est p’t’être même trompé d’prénom à quelques reprises, il saurait pas dire, faudrait déjà qu’il se souvienne d’celui d’la caissière.

Huxley porte son verre de whisky à ses lèvres et en savoure l’arôme en même temps qu’son entrejambe s’fait aborder par le pied délicat de Valentina. Il sourit, il la regarde, écarte ses cuisses pour lui laisser l’champ libre quand sa main libre glisse sous la nappe pour venir ôter la chaussure à talon qu’il laisse tomber par terre avant d’aller profiter d’la délicatesse d’sa cheville. Heureux d’l’apprendre, parce-que j’vais pas lui faire de cadeau.


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Dim 14 Mar - 2:45

Tu sais bien que ça ne sert à rien de lui dire de faire un effort vestimentaire chaque fois que vous vous voyez puisqu'il ne t'écoute pas, il ne t'écoute jamais quand tu lui parle sérieusement et ça a tendance à te foutre souvent en rogne. Te voir dans cet état, ça lui plaît comme ça te plaît de lui faire péter les plombs de temps en temps. Vous ne parvenez jamais à vous faire la gueule bien longtemps, tu as besoin de ta dose, de le sentir en toi alors tu oublies très vite. Plus les minutes passent, moins tu penses à ce qu'il porte, à cette chemise qui te répugne tant. Tu passes ta commande et rapidement tes prunelles viennent se poser sur ton amant, yeux dans les yeux, tu saisis ton verre de vin que tu apportes à tes lèvres pour de délecter de ce liquide couleur à la teinte qui s'apparente au rubis. Moi, je t'aime ? Tu crois vraiment que je peux aimer un mec qui s'habille comme un sans abris ? Jamais de la vie. que tu lui lâches, il sait que tu ne penses pas un mot de ce que tu dis, en tout cas pour les sentiments à son égard, tu es totalement sincère à propos de son accoutrement. Tu le questionnes, tu veux savoir si pendant qu'il était en train de faire gémir sa pute, tu occupais ses pensées, s'il imaginait qu'il était en train de te sauter à ce moment-là. Sa réponse est négative. Je te connais Hux, tu sais ? Je sais reconnaître quand tu mens et quand tu dis la vérité et là disons que le détecteur de mensonges s'affole. Ensuite s'en vient la question sur cette fameuse nana, était-ce une connaissance ou une salope lambda ? Tu as envie de lui faire la peau, ce serait plus facile si tu connaissais son identité alors tu tentes de lui faire tirer les vers du nez. Tu fronces les sourcils alors que ton regard plonge sans celui du flic, la tête légèrement penchée. Comment peut-il faire pour passer d'une nymphette à une femme aussi élégante et charismatique que toi avec en plus des formes bien plus généreuses ? Tu avais une envie trop pressante de te vider les couilles pour te taper une fille qui n'as pas fini sa puberté ? Non parce que de ce que tu as pu voir les caissières ne sont généralement pas gâtées par la nature. En plus de ne pas avoir de formes, elles ressemblent au panneau stop. Le serveur revient vers vous, cette fois-ci avec deux plateaux, il en dispose un devant chacun de vous. Tu en profites pour lui demander une autre bouteille de vin, le même, celle qui est déjà présente n'est même pas encore terminée pourtant. Non, tu n'est pas alcoolique, tu aimes simplement profiter des bonnes choses et pour toi l'alcool en fait partie, ton foie n'est pas de cette avis. Ton pied qui se glisse discrètement entre les jambes de Hux, qui ne cesse d'être en mouvement pour lui provoquer une éventuelle érection. Tu veux le sentir se durcir pour toi à travers le textile, qu'il ne tienne plus en place. Je ne compte pas t'en faire non plus, chéri. Ton index qui se cale entre tes dents, un petit clin d'œil à ton amant. Tu as faim, très faim, et ce n'est pas ton plat qui va te rassasier.



@Huxley Fitzgerald
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mar 16 Mar - 15:20

Il faut au moins une femme de l’acabit de Valentina pour qu’le personnel de l’établissement se résigne à pas foutre Huxley dehors. Il faut au moins une fortune comme la sienne, ou plutôt celle de son charmant mari, un charisme comme le sien pour faire oublier qu’le style douteux du flic en face d’elle ternit l’image de l’établissement. C’est qu’elle doit la sublimer à elle toute seule, ou qu’son assurance de s’pointer dans un endroit pareil avec un homme qu’est pas le sien a tendance à intimider l’petit personnel. Ils sont si différents qu’on pourrait avoir du mal à croire qu’ça marche aussi bien entre eux, mais ils sont les seuls à savoir, les seuls à s’connaître aussi bien malgré ce monde entier qui les sépare et qu’Valentina lui rappelle en faisant, pour la énième fois, référence aux fringues que porte le flic. Huxley sourit, baisse la tête et constate avec amusement qu’les boutons d’sa chemise sont pas alignés tant il s’est hâté après sa p’tite séance à l’arrière de sa bagnole. Il relève la tête, lance un regard entendu à son amante.

- Et pas qu’un peu, ma belle. J’m’assurerai qu’tu m’le cries en boucle quand j’m’occuperai d’ton cas. Comme à chaque fois depuis plus d’vingt ans. Clin d’oeil, gorgée du liquide ambrée qui vient réchauffer sa gorge et ses ardeurs, ses yeux tombant sur le vertigineux décolleté de celle à qui il faudrait pas grand chose pour en faire la femme de sa vie. Juste un mari mort, une fortune qui lui tombe sur l’coin d’la gueule, et une autre sale gosse qui arrête d’lui trotter dans la tête jour et nuit. Hux n’a aucun scrupule à faire savoir à Val l’importance qu’elle a pour lui, même s’il l’fait à sa manière, même s’il insinue parfois l’inverse pour le simple plaisir d’la voir réagir. La blonde sait les sentiments d’l’irlandais à son égard, cette affection qu’il démontre pas d’la manière la plus convenable, encore moins la plus sentimentale. Elle le sait parce qu’il explose plus que de dès qu’il est question d’un autre qu’il sentirait trop proche d’elle, parce que ses mains calleuses peuvent pas s’empêcher d’se poser sur elle avec une tendresse toute relative qui disparaît sitôt qu’ils passent aux choses sérieuses. Et, plus que tout, elle le sait parce qu’il est toujours là, après toutes ces années. Et ça, c’est c’qu’il y a d’plus proche d’la fidélité chez un chien fou comme Huxley.

- On peut rien t’cacher. Qu’il glisse en la regardant par dessus le verre qu’il porte de nouveau à sa bouche avant d’le reposer devant lui. Il s’moque ouvertement d’elle, aime la voir répliquer dans l’instant, à chaud, lui prouver à quel point ça la fait chier qu’il se soit vidé dans une autre, à quel point ça l’emmerde qu’il ait pas été foutu d’la garder dans son froc avant d’la rejoindre, elle. C’est qu’l’idée d’la retrouver l’travaillait déjà trop, à l’irlandais, lui pesait tellement sur l’entrejambe qu’il s’est rabattu sur la première version discount d’Valentina pour s’vider un bon coup avant de n’se dédier plus qu’à l’unique, la vraie. Nan, t’as raison, j’ai pas été tout à fait honnête. Comme s’il pouvait l’être… Fausse culpabilité qui traverse son visage après qu’elle ait espéré qu’il se soit contenté d’une gamine pas formée pour tirer son coup. Ses paluches se lèvent et viennent s’placer juste devant son torse tandis que, sur son visage, se dessine un sourire victorieux. J’saurais pas t’dire si elle était majeure mais, putain, elle avait une paire de meules phénoménale. Mais rien qui fera jamais d’ombre à celle d’Valentina qu’il connaît par cœur et sous tous les angles.

Les plats arrivent, s’dévoilent quand s’lèvent les coupelles en argent. C’est petit, c’est gastronomique, ça fait jurer Huxley qu’est plus amateur d’un fish’n’chips topé à l’arrière d’un camion que d’assiettes aux trois quarts vides qui s’donnent des airs d'œuvre d’art. D’un autre côté, tant mieux, ça leur permettra d’passer à la suite plus rapidement, et ce pied sur son entrejambe lui fait déjà savoir qu’il prendra pas d’dessert. Pas ici en tout cas. Sa main caresse la délicate cheville avant d’l’empoigner quand ça commence vraiment à l’titiller. Hux mord dans l’premier morceau d’bidoche en posant sur Valentina un regard qui en dit long sur c’que ses caresses appuyées lui inspirent de pas catholique. Il durcit pas trop vite, merci l’coup rapide sur la banquette arrière qui l’rend à peine moins en chien, tout juste c’qu’il faut pour pas dégager c’te table pour y foutre sa belle Valentina. Impatiente à c’que j’vois... Au regard qu’elle pose sur lui, à ses mots équivoque, à ce doigt qu’elle mord. Huxley est pas mieux, s’en cache pas vraiment non plus, c’est pas comme si l’érection grandissante contre le pied n’était pas assez flagrante. Huxley se penche en avant, sa main libre venant trouver celle de la belle, posée sur la table. Elle la recouvre, elle y glisse ses doigts dans un geste qu’il aurait pour aucune autre aussi sciemment. Tu sais qu’ça m’coûte d’jouer l’gars civilisé quand j’ai juste envie d’te prendre, là, maint’nant ? T’as une mauvaise influence sur moi, bébé...

Invité
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Anonymous
Jeu 25 Mar - 1:35

Du bout de tes doigts de pied, tu ne cesse de caresser l'entre-jambe de ton amant qui commence à se durcir pour toi. La frustration qui peut très clairement se lire sur son visage et tu t'en amuses parce que tu aimes le voir souffrir, tu sais qu'il va vouloir te le faire payer et la manière dont il va s'y prendre te motive à autant cruelle avec lui. D'une main, tu saisis la bouteille de vin et de l'autre ton verre que tu viens remplir presque à ras bord. Tu bois plus que tu ne manges sachant que vos plats viennent de vous être servis. L'attente ne fut pas très longue bien que tu n'y prêtais pas forcément attention. Ce dîner, ce n'est qu'un prétexte pour faire les choses bien, pour passer un bon moment avec Huxley avant de vous retrouvez tous les deux complètement nus dans le même lit pour forniquer comme des porcs jusqu'au lever du soleil sans te soucier de l'autre mourant qui t'attendra bien sagement à la maison. Ton téléphone est éteint, tu ne comptes pas lui donner de nouvelles jusqu'à ce que tu rentres. Comme d'habitude, tu comptes l'embobiner, tu es tellement douée pour ça et il t'aime tellement qu'il n'y voit que du feu, qu'il boit toutes tes paroles sans jamais les remettre en cause. Tu as plutôt intérêt à être au niveau. que tu lâches au flic en ayant un peu en travers de la gorge qu'il s'est taper une nana avant de te rejoindre. Si il n'est pas au top de sa forme cette nuit, tu ne sais pas encore vraiment ce dont tu serais capable. Couper les ponts avec lui pendant un certain temps pour le punir ? Pour pas qu'il te voit, qu'il te touche, qu'il te baise comme il sait si bien le faire ? Cette idée t'enchante peu, cela voudrait dire que tu dois te passer de lui et même si tu ne lui avoues pas, tu ne peux pas, il le sait très bien. Je suis en position de force, fais attention chéri ! en appuyant un tout petit peu sur ses parties intimes avec ton pied, toujours entre les jambes du beau brun. Le sourire jusqu'aux oreilles en le regardant dans le blanc des yeux. Tu viens de délecter de la liqueur présente dans ton verre. La deuxième bouteille de vin arrive, tu repartiras certainement avec si d'ici là elle n'est pas totalement vide bien que ce ne soit pas autorisé. Tu peux te le permettre, tu restes Madame Whiteford tout de même. Qu'est ce que tu ne peux pas te permettre de faire ?  Qu'est ce que tu racontes ? Comment ça t'as aucune idée si elle était majeure ou non ? Tu as conscience de ce que tu dis pauvre con ? Tu ramènes ton pied à sa position initiale, ramenant ton escarpin par la même occasion pour le remettre. Tu me dégoûtes. mais pas assez pour ne plus avoir envie de lui. Tu attrapes tes couverts, prête à entamer la dégustation de ton plat quand Hux vient délicatement poser ses mains sur les tiennes. Si ça continue, tu vas rien prendre du tout, je te le dis. en lui lançant un regard noir sur un ton plus que sérieux, comme pour le convaincre que ce que tu dis est vrai alors que plus le temps passe, plus tu as envie de te faire prendre dans tout les sens par ton amant.



@Huxley Fitzgerald
Huxley Fitzgerald
got a fever, can you check ?
Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mer 7 Avr - 14:19

Les jambes écartés du flic laissent libre cours aux mouvements du pied fin et délicat qui masse son érection grandissante. Ça lui réchauffe les reins, ça assombrit ce regard qu’il pose sur elle sans qu’il puisse s’en détacher, ça imagine ses lèvres écarlates autour d’cette masculinité qui s’dresse pour elle, une chaise vide en face de lui pendant qu’elle mangerait autre chose que sa salade. Vingt ans, putain, vingt ans qu’il la voit dès qu’il en a l’occasion, vingt ans qu’ils baisent, vingt ans qu’ils prennent un pied phénoménal. Il ne viendra jamais, le jour où Huxley se lassera de Valentina, celui où elle cessera d’être la femme de sa vie, quand bien même il en arrive une seconde, plus jeune, plus récente. Mais c’est loin d’lui faire de l’ombre, à Val, bien au contraire, ces deux décennies cumulées n’ont fait qu’exacerber l’obsession de l’irlandais pour son corps, ses courbes et bien plus. Parce-qu’avec elle, Huxley s’contente pas que d’ça, quand il la prend, il la prend toute entière, avec son esprit acerbe et ses manières d’la haute, sa verve tranchante et sa fierté bandante. Il l’aime de corps et d’esprit et, pour le coup, elle est encore bien la seule avec qui il l’assume, à qui il le dit, à qui il le prouve malgré tout le plaisir qu’il prend à la faire sortir de ses gonds.

- Tu sais qu’j’te donne toujours tout, ma belle. Bien sûr qu’il sera au niveau, s’il doit bien s’donner à fond avec une femme, c’est bien avec elle et, si la jeunette qu’il a prise sur sa banquette arrière n’a fait office que de dévidoir pour lui donner les idées à peu près claires face à celle qui lui en donne trop rapidement des plus salaces, il compte bien honorer cette femme qui lui a passé la bague au doigt dans la plus grande intimité. C’est qu’elle lui pend encore au cou, cette alliance achetée à la dernière minute, celle qu’a scellé leur union condamnable, bien attachée au bout d’une chaîne dorée, elle la rappelle à lui quand il s’en fait d’autre et qu’elle s’balance, qu’elle s’invite dans son champ de vision, ne s’détachait d’son cou que quand cette foutue gamine rappliquait chez lui encore deux ans plus tôt. L’anneau s’voit pas, mais la chaîne s’devine sous le col de sa chemise que Valentina déteste tant, lui prouve encore et toujours qu’il lui restera dévoué, à sa manière, envers et contre tous.

Le pied de la belle appuie davantage sur son membre durci, lui arrache un grognement discret et un sourire sale qu’accentue le regard qu’il porte sur elle. C’est qu’il est à deux doigts de balancer leurs foutus plats par terre pour l’aimer ici-même, qu’importe s’ils ont à peine entamé les assiettes qu’on leur a amenées. Mais Huxley se retient, a bien fait d’se vider avant d’faire face à ce fantasme ambulant qui se refroidit lorsqu’il évoque la mignonne qu’il vient de s’envoyer. Il pourrait s’inquiéter du reste de la soirée, au lieu de ça il continue à sourire, à la regarder s’offenser, à en rire doucement. Hé, il est pas con Hux, il les aime jeunes mais les aime bien faites, alors s’il a certes pas vérifié la carte d’la jeunette, elle avait assez d’formes et d’assurance pour pas être une gamine à peine sortie d’l’adolescence.

- My, my, c’est ma plaisanterie douteuse qui t’fait cet effet ou t’es juste fâchée d’pas avoir été invitée à la fête ? La tendresse avec laquelle ses pouces caressent les mains de Valentina contraste avec les paroles évocatrices qu’il laisse glisser d’une voix rocailleuse. Ses mains s’resserrent doucement sur la douceur de celles de son amante, de sa femme quoi qu’on en dise. C’est qu’j’ai pensé à toi tout du long. Confie-t-il, malgré son regard toujours lubrique. Si j’étais venu les poches pleines, crois-moi qu’le restau entier connaîtrait ton nom tellement j’le répèterais en t’faisant honneur à même la table. L’satyriasis qui l’prend aux tripes, Hux est un homme de pulsions et a un mal fou à s’en défaire, surtout lorsqu’il s’agit d’Valentina. C’est p’t’être pas plus mal qu’elle ait retiré son pied, ça l’calme, un peu, à peine, juste ce qu’il faut pour qu’il reste un être civilisé. Allez bébé, fais-moi ton plus joli sourire et dis-moi où tu veux qu’on crèche ce soir.

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