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 What's your name again ? || Ft. Timothy O'Reilly

dirty talk ::  time off :: old stuff :: rps
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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
Invité
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Anonymous
Jeu 28 Jan - 22:12


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@Timothy O'Reilly &&& Anthea Kensley


☾☾ Quelque chose ne va pas. C'est la première chose dont tu prends conscience en t'éveillant, peu à peu extirpée de cette douce inconscience qu'est le sommeil contre ta volonté. Quelque chose ne va pas. Quoi exactement ? Tu n'en as pas la moindre idée et tu voudrais bien l'ignorer, mais t'en es bien incapable. La tête à moitié écrasée dans l'oreiller, tu ouvres péniblement les yeux, les refermant presque immédiatement. La lumière du jour est bien trop vive, bien trop éclatante pour t'être agréable, et n'apaise absolument en rien l'épouvantable mal de tête qui est le tien. C'est un grondement fort peu féminin qui s'échappe de tes lèvres tandis que tu étires le bras vers ta table de chevet, réalisant enfin que la source de ton inconfort est ton téléphone portable en train de vibrer et sonner sur cette dernière.

Où es-tu ???

Il s'agit là du dernier sms que l'on t'ai envoyé, précédé de près d'une vingtaine d'autres et autant d'appels manqués. Tu es chez toi, voilà où tu es. Dans ta chambre plus exactement - ce qui est tout de même assez étrange, tu imaginais plus te réveiller au mieux effondrée sur ton canapé, au pire par terre. Car elle est bien là l'explication de ton atroce mal de crâne : ta soirée d'hier a été bien trop arrosée d'alcool, et tu en payes le prix aujourd'hui. La chose est certes rare, mais point inhabituelle. Tu sauras bien t'en remettre. Tu songes, rien qu'un instant, à la réponse à donner à ce sms. Quelqu'un a pris la peine de s'inquiéter pour toi, la moindre des politesses serait de leur répondre... Mais au lieu de cela, ton portable retrouve sa place sur ta table de chevet. Tu apaiseras les inquiétudes du monde extérieur à ton égard plus tard.

Pour l'instant, il t'importe bien plus de faire disparaître ton mal de tête. Aussi décides-tu d'abandonner ton lit, agrippant par pur réflexe le premier vêtement te tombant sous la main pour t'en vêtir. Puis tu te stoppes net, fronçant les sourcils en contemplant le vêtement en question. Couleur sombre unie, bien trop grand pour ta frêle carrure... Autant dire qu'il ne s'agit guère du genre de vêtement que tu possèdes dans ta garde-robe.Comment est-il arrivé dans ta chambre ? La question se pose. Et tu n'as guère besoin de te torturer l'esprit bien longtemps pour y répondre, un seul regard vers ton lit te suffit. Tu restes quelques instants figée sur place, interdite, contemplant l'individu encore endormi dans ton lit. Et essayant, bien vainement, de ranimer tes souvenirs de ta soirée d'hier.



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Timothy O'Reilly
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Timothy O'Reilly
Since : 17/01/2021 SMS : 557
Lun 1 Fév - 19:46

WHAT'S YOUR NAME AGAIN ?
Y'a du mouvement tout contre toi. Tu ne comprends pas tout de suite de quoi il s'agit. Et à vrai dire, tu n'as pas même la force de t'interroger. Mais ça bouge. Et toi t'es incapable d'ouvrir les yeux pour voir de quoi ou qui il s'agit. Tu préfères rester immobile et impassible en espérant que le mal de crâne s'apaisera de lui même. D'autant plus que tu connais très bien le risque si tu ouvres les yeux trop vite. Tu vas rapidement être pris de nausée et il te faudra te plonger la tronche dans l'oreiller pour l'étouffer. Alors autant essayer d'éviter un tant soit peu la chose. Mais la personne à tes côtés continue de remuer. Voire, elle le fait de plus en plus. Aucune idée de ce qu'elle fait. Mais ça bouge bel et bien. Assez pour remuer le matelas. T'as les sourcils qui se froncent sous le coup d'une vague de nausée et il te faut inspirer et expirer longuement et profondément, pour chasser cette insupportable sensation.

A un moment donné, t'es quand même bien obligé de remuer, toi aussi. Et d'ouvrir les yeux pour voir où tu te trouves. Parce que t'as comme un doute. Ou plutôt, un vrai trou noir. Et la blonde que tu découvres assise de l'autre côté du lit, ne ressemble à aucune blonde que tu connaisses. Vos regards se percutent. Et la lumière ne semble se faire dans aucun de vos deux esprits. Echanges de regards. Silencieux. Dubitatifs. Un peu paumés aussi. Surtout toi qui es bien conscient que tu ne te trouves pas du tout chez toi. Et juste pour vérifier, ton regard se détourne pour observer les alentours. Ce n'est pas du tout une chambre d'hôtel. Aucun doute que c'est donc chez la jeune femme qui ... Porte l'un de tes tee shirt. Et ça te fait un peu froncer les sourcils. Tu la regardes comme  si elle était un extra-terrestre. « On est chez toi ? » Que tu l'interroges finalement.

Et tant bien que mal, tu te redresses. Position assise, mains en appuie sur le matelas. Dans le mouvement, le drap glisse pour libérer tout à fait ton torse nu et tatoué. Puisque de toute évidence, vous n'avez pas joué aux dés tous les deux, tu ne portes aucun vêtement. Contrairement à elle qui a justement enfilé le tee shirt que tu te rappelles avoir enfilé avant de sortir la veille au soir.  C'est après que tes souvenirs sont aux abonnés absents. Au cours de la soirée. « Tu t'rappelles de quelque chose ? Parce que moi, pas du tout ... » Que tu te permets, au passage, de lui avouer. Non pas que ce soit si grave que ça ... Mais quand même. Elle a l'air d'une gamine. T'en viendrais presque à te demander et à t'inquiéter, de savoir si elle est majeure. Il ne manquerait plus que tu te foutes dans ce genre de merde et emmerde. C'est bien le seul pas de travers que tu n'as jamais fait et que tu n'as pas du tout l'intention de faire.

@Anthea Kensley
Invité
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Jeu 4 Fév - 18:42


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@Timothy O'Reilly &&& Anthea Kensley


☾☾ Les bras croisés sur la poitrine, tu te mordilles la lèvre inférieure dans un réflexe nerveux. Tu es bien trop occupée à regarder l'homme présentement endormi dans ton lit, sans parvenir à en détourner les yeux. Peut-être que ton mal de tête y joue pour beaucoup, mais cette situation te paraît bien étrange : il y a un inconnu chez toi, dans ton lit, et toi, tu es juste là à le regarder. Tu n'oses pas esquisser le moindre geste, prononcer le moindre mot. Peut-être que tu n'as pas envie de le déranger. Ou peut-être que tu veux juste pouvoir, ne serait-ce pour quelques minutes encore, réfléchir à ton aise sur la situation. Songeuse, tu te rassois sur le rebord de ton lit. Non, tu as beau t'y forcer, te torturer les méninges pour y parvenir... L'endroit où vous avez pu vous rencontrer, de comment vous êtes tombés d'accord pour venir chez toi ou même son prénom, tu es bien incapable de te rappeler quoi que ce soit de la soirée d'hier. Et très honnêtement, tu as un peu de mal à déterminer ce qui t'ennuies le plus dans tout cela.

Toute occupée à réfléchir, tu tritures sans t'en rendre compte l'encolure de ce tee-shirt bien trop grand pour toi. Tu ne te rappelles absolument de rien. Cela pourrait t'inquiéter bien sûr, l'absence totale de souvenirs pouvant favoriser dans ton esprit l'intrusion de mille et une pensées, mille et un scénarios possibles. Tu ne te rappelles absolument de rien. Et pourtant, hormis ce désagréable mal de tête et une nausée que tu t'efforces d'ignorer au mieux, tu n'es pas plus mal à l'aise que d'ordinaire. Tu n'as pourtant guère le loisir de réfléchir bien longtemps, extirpée de tes pensées par le froissement de tes draps. Il y a du mouvement du côté de l'endormi. On est chez toi ? Tu te contentes d'hôcher la tête,  ne manquant pas au passage d'appréciant - et sans honte aucune - la vue qui s'offre à toi pendant que l'homme avec qui tu as passé la nuit observes ta chambre. Tu dois bien avouer que celle-ci n'a absolument rien de désagréable. Peu importe comment celle-ci s'est débrouillée, tu ne peux que remercier ton toi d'hier soir pour cela.

- Désolée, la seule chose dont je me rappelle est d'avoir commencé à boire seule dans un bar. Pour le reste, c'est un grand flou noir, réponds-tu honnêtement. Vous voilà tous deux bien avancés. Si tu avais passé la soirée avec quelques années, sans doutes aurais-tu pu faire appel à eux pour mettre un peu de lumière sur la soirée d'hier, mais seule ? Si le principe même à de quoi être d'une tristesse sans nom - quoique être seule ne parvienne guère à t'angoisser - il te prive également d'une source plus ou moins fiable fiable d'informations. Tu baisses les yeux vers le bas, brièvement. Et désolée pour le tee-shirt, j'ai pris le premier vêtement qui me tombais sous la main sans vraiment faire attention.

Car l'erreur est tienne, et ça ne coûte rien de s'excuser n'est-ce pas ? Peut-être devrais-tu te changer d'ailleurs, ce serait déjà ça. Un bon début pour, peut-être, dissiper ne serait-ce qu'une minuscule portion de cette gêne susceptible de s'installer ? Aussi abandonnes-tu ta place sur le lit pour aller t'enfermer dans ta salle de bain attenante à ta chambre, non sans prendre le temps au préalable d'aller farfouiller dans ton sac à main - qui s'est retrouvé tu ne sais comment sous ta chaise de bureau, son contenu à moitié étalé par terre - pour en extirper une objet que tu jettes à moitié sur ton lit. Ta carte d'identité. Car s'il est bien un désavantage à tes traits de poupée, et qui t'agace bien que tu sois forcée de faire avec, c'est qu'ils ne reflètent guère l'âge qui est le tien. Et tu n'es plus une enfant depuis longtemps désormais.
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Timothy O'Reilly
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Timothy O'Reilly
Since : 17/01/2021 SMS : 557
Sam 6 Fév - 18:32

WHAT'S YOUR NAME AGAIN ?
T'es pas assez idiot pour ne pas comprendre par toi même, que tu te trouves présentement chez la jeune femme assise au bord du lit. Et dont le regard est encore sur toi quand tu te redresses. Aucune idée de ce qu'elle pense en cet instant. Elle n'est pas la plus bavarde qui soit. Mais aucun doute qu'elle est perdue. « J'ai pas plus de souvenirs que toi. » Que t'avoues sans grande émotion. Mais pour le coup, ce n'est peut-être pas plus mal que vous soyez tous les deux dans le même cas. C'est que ça signifie surtout que tu n'as rien à te reprocher. Tu n'as pas profité d'une jeune femme qui était apparemment tout aussi ivre que toi. Tu espères juste qu'elle ne va pas se mettre à paniquer à l'idée que ça soit le cas en réalité. Tu n'as pas tellement envie d'avoir des problèmes. Non pas parce que tu es terrifié à l'idée de perdre ton boulot. Mais simplement par principe. Il y a des sujets avec lesquels tu ne plaisantes pour ainsi dire, pas du tout.

« Mais j'ai pas l'impression qu'on ait joué aux cartes cette nuit. » Que tu crois bon de préciser, avec ironie. Parce que vos fringues, à défaut d'être sur vos corps, ont tout l'air de traîner un peu n'importe où. Tu ne sais pas comment vous avez fait pour atteindre son lit. Mais vous l'avez fait. Et qu'importe l'état dans lequel vous vous trouvez maintenant. Vous êtes bel et bien dans un lit. Le sien. Pas chez une tierce personne. Ni dans un quelconque hôtel. Tu peux donc te rassurer un tant soit peu. Les choses auraient pu être pires que ça. Elles ne le sont pas. « C'pas très grave. » Que tu réponds également quand il est question de ton tee shirt qu'elle a sur le dos. Tu n'as pas l'intention d'aller te promener quand tu sortiras d'ici de toute façon. Tu vas plutôt aller t'enfermer chez toi pour te doucher, te sustenter et te reposer. Voire, carrément reprendre ta nuit.

Elle semble désireuse de commencer cette même liste la blonde. Qui quitte le lit et prend la direction de ce que tu imagines être une salle de bain. Mais au préalable, elle s'arrête devant un sac à main duquel elle extirpe un truc. Balancé sur le lit, dans ton champ de vision. Tu arques un sourcil de surprise et hésites. Mais très vite, ton besoin de te rassurer est plus fort que la retenue et la fausse politesse. Alors tu récupères la carte pour vérifier l'année de naissance qui y figure. Soupir de soulagement immédiat. « Bien ... Je n'ai donc rien fait d'illégal. Enfin pas ça en tout cas. » Grondement soulagé. Main portée à ton front et toi qui bascules la tête en arrière, paupières closes. « J'avais le droit de te sauter. Et j'en ai encore le droit. » Le soulagement qui te fait balancer les premiers mots qui te passent par la tête. Non pas que tu ais pour projet de le faire -à moins qu'elle même ne soit de cet avis aussi-. Simple constat que tu fais. Tu ne risques rien à l'avoir sauté. Et tu ne risqueras rien si tu recommences. Aujourd'hui, à l'occasion d'une autre soirée ou même jamais.

@Anthea Kensley
Invité
Invité
Anonymous
Mar 9 Mar - 22:58


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@Timothy O'Reilly &&& Anthea Kensley
☾☾ Tes cheveux follement décoiffés comme l'on pourrait s'y attendre après une nuit plus qu'agitée, tes traits tirés et conséquence directe d'une flagrante absence de sommeil réparateur, un teint pâle qui saurait presque t'effrayer si tu n'en connaissais pas la cause. Bien sûr, rien dont un coup de peigne, quelques heures de sommeil et un grand verre d'aspirine - et tout cela pas forcément dans cet ordre d'ailleurs - ne sauraient venir à bout mais pour le moment, c'est une image fort peu glorieuse que te renvoie ton miroir. Tu ne boiras plus jamais une seule goutte d'alcool. Voilà bien une promesse faite dans le vent. Qui, en s'éveillant avec une immonde gueule de bois, ne s'est pas aventuré à jurer pareille chose ? Jurant par la même occasion de manger plus équilibré, de se coucher plus tôt le soir pour un sommeil de meilleur qualité... Des promesses, rien que des promesses nullement destinées à être tenues. Rien que des mots vides de sens.

Bien... Je n'ai donc rien fait d'illégal. Enfin pas ça en tout cas. Tu as laissé la porte de ta salle de bain entrouverte, sans vraiment y penser. Ce qui ne te permet pas de totalement t'y isoler, quoique t'offrant la possibilité d'entendre tout ce qui est dit dans ta chambre. Rien fait d'illégal. Évidemment, entre deux adultes majeurs et consentants, quel risque pourrait-il bien y avoir ? Un soupir aux lèvres, tu t'arroses le visage pour le rafraîchir avant de porter l'une de tes mains dans tes cheveux. T'efforçant de leur redonner un semblant d'ordre. Un acte aussi simple qu'à l'utilité toute relative si tu cédais à l'envie de te recoucher jusqu'à ce que ton mal daigne disparaître mais soit... Te recoucher ou autre chose, ton programme pour le reste de la journée n'est pas encore clairement défini. J'avais le droit de te sauter. Et j'en ai encore le droit. Dans ton miroir, ton reflet aborde un petit sourire satisfait, tout en se mordillant la lèvre inférieure. La perspective d'éventuellement remettre ça est... tentante.  Très tentante. Car il te faut bien être honnête avec toi-même, ne serait-ce qu'un instant : tu n'es guère ravie que la nuit passée ne soit désormais rien de plus qu'un grand trou noir dans ta mémoire et par conséquent, tu ne serais pas contre à garder quelques souvenirs de ce qui à de fortes chances de n'être qu'une aventure d'un soir.

Mais en dépit de tes traits encore bien trop juvéniles - qui poussaient visiblement chacune de tes conquêtes plus âgées que toi à avoir quelques craintes jusqu’à ce que tu dissipent ces dernières - tu es une adulte parfaitement raisonnable. Et envie de souvenirs ou non, tu refuses de refaire quoi que ce soit sans avoir pris ton aspirine ! Et puisque tu y penses, alors qu’il s’agit rarement d’une de tes priorités les lendemains de soirées trop arrosées, il serait sans doutes bon que tu grignotes un petit quelque chose. Une adulte parfaitement raisonnable doublée d’une hôtesse de maison bien élevée, car tu n’oublies évidemment pas l’homme présentement dans ton lit. Homme vers qui tu retournes sans perdre un instant de plus, ayant passé suffisamment de temps dans ta salle de bain, pour t'installer à genoux sur ton lit.

- Donc, deux choix, si tu le veux évidemment : le premier consiste à être un tant soit peu raisonnables, la maison offrant le combo verre d'aspirine et petit déjeuner gratuit avant de jouer le match retour. Le second consiste à directement jouer le match retour. L'un comme l'autre m'allant parfaitement alors à toi de voir.

Car contrairement à ce que certains pensent de toi, tu n'es pas franchement du genre à imposer tes choix aux autres.

- Et, quel est ton nom déjà ?


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Timothy O'Reilly
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Timothy O'Reilly
Since : 17/01/2021 SMS : 557
Dim 21 Mar - 11:41

WHAT'S YOUR NAME AGAIN ?
Maintenant que tu sais -avec preuve à l'appuie- que la jeune femme est majeure, t'es rassuré. Mais au passage, pas contre l'idée de redécouvrir son corps puisque tu ne gardes aucun souvenir de ce qui s'est joué entre vous au cours de la nuit. Et vu les réactions qu'elle a eut au réveil, tu penses pouvoir en déduire qu'il en va de même pour elle. Elle ne se rappelle de rien. Et peut-être même qu'elle le regrette tout autant que toi. Pas le fait que vous ayez couché ensemble. Mais le fait qu'il ne reste pas grand chose de cette étreinte, dans les mémoires. Alors forcément que l'idée de remettre ça est bien là, installée dans un coin de ta tête. Et tu n'hésites pas à le dire tout haut alors qu'elle est en train de se rafraîchir dans la salle de bain. Et après quelques minutes, elle te rejoint du côté de la chambre et se hisse sur ses genoux, installée sur le matelas. Toi tu la regardes faire, sans mot dire. Dans l'attente de sa prise de parole.

Et tu l'écoutes te lister ce à quoi tu peux avoir droit. Le choix qui est le tien également dans tout ça. Pas de quoi réfléchir trop longtemps pour le coup. Mais de quoi te faire sourire tant elle semble avoir pensé à tout. Et tant elle a l'air de tenir à ton avis aussi, au passage. Ou elle refuse de faire un choix elle même, tu n'en sais trop rien. « Ce sera beaucoup plus intéressant si on prend la première option. » Parce que vous aurez quand même eus le temps de bien vous remettre de cette nuit d'ivresse quand même. D'être un peu plus frais et donc en meilleure forme pour réellement remettre ça et prendre bien le temps d'apprécier l'ensemble de l'étreinte. Parce que, en ce qui te concerne, t'as l'estomac en vrac et la bouche encore pâteuse. Alors te nettoyer le visage et manger et boire un truc ne devraient pas te faire de mal.

« Je fais un tour dans ta salle de bain, on prend un petit-déjeuner et une aspirine et on s'offre le match retour. Histoire de pas r'partir sans souvenir aucun. » Que tu conclus en portant ton attention sur son corps que t'es quand même bien curieux de prendre le temps de contempler, dévorer et posséder. T'es quand même bien curieux de découvrir par toi même ce que ça pouvait valoir cette nuit. Même si tu ne vois pas de raison pour que ça ne soit pas à la hauteur. « C'est Timothy. » Contrairement à elle, tu n'as pas eus à sortir le moindre papier d'identité pour lui prouver ton âge ou quoi que ce soit du genre. « On fait comme ça ? » Question un peu rhétorique alors que t'es déjà à quitter le lit pour te diriger vers la salle de bain qu'elle même vient tout juste de quitter.

@Anthea Kensley
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Lun 12 Avr - 23:56


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@Timothy O'Reilly &&& Anthea Kensley
☾☾ Toujours installée sur ton lit, tu joues à nouveau - et parfaitement inconsciemment - avec le tissu du tee-shirt qui t'enveloppes. Et en faisant cela, tu attends. Pas grand-chose très honnêtement, juste une simple réponse. Rien qu'un choix, entre les deux options que tu as proposées à l'homme installé face à toi. Rien qu'un choix entre A et B, rien de plus simple non. Mais quelque chose d'aussi simple n'en demeure pas particulièrement important pour toi. Tu n'as jamais été du genre à hésiter, encore moins à être indécise.  Ce n'est tout simplement pas dans ta nature. Tu sais exactement ce que tu veux et en général, tu t'arranges toujours pour l'obtenir. Le sexe n'échappe donc pas à cette règle quasi immuable, bien que tu ne sois jamais déterminée à obtenir ce que tu désires au point d'ignorer ce que pourrais désirer la personne d'en face. C'est bien un principe auquel tu ne dérogeras jamais : le sexe se fait à deux. Ou à plusieurs. Bref.

Ce sera beaucoup plus intéressant si on prend la première option. Bien, vous êtes donc tous les deux d'accord sur la suite des évènements. Tu n'attendais d'ailleurs pas d'autre réponse à ta proposition, et il est toujours agréable de savoir que tu n'es pas la seule adulte responsable actuellement présente dans cet appartement. Douche + petit déjeuner avec supplément aspirine donc. C'est donc pendant que ta conquête d'hier soir - Timothy - se glisse dans ta douche que toi, tu te glisses hors de ta chambre, non sans échanger ce tee-shirt qui ne t'appartiens pas pour une chemise de nuit aussi confortable que sage. Dans tous les cas, ce n'est pas comme si tu allais la garder bien longtemps. Tu n'oublies également pas de récupérer ton téléphone.

If you wanna be my baby, know I'm gonna drive you mad
Probably gonna call me crazy, I'm the best you've ever had, yeah
I can turn you on, on, on
Why your clothes still on, on, on ?


Et tout en tapotant quelques réponses laconiques aux sms reçus pendant la matinée, voilà que tu te mets à fredonner, n'ayant pour public que toi-même. Ce n'est nullement la présence de quelqu'un d'autre chez toi qui t'empêche d'être bien moins discrète qu'à ton habitude, toi qui te plais d'ordinaire à chanter avec un certain volume comme si tu étais seule au monde. Déranger tes voisins ? Celui de gauche est absent près de six mois par an et celui d'en face, en plus de travailler de chez lui, s'exerce deux heures au violon chaque jour alors l'un comme l'autre auraient bien peu de raisons d'émettre la moindre plainte à ton encontre. Non, tu ne tiens tout simplement pas à risquer d'aggraver ton mal de crâne, ce qui est une raison amplement suffisante de ne pas te la jouer cantatrice.

Et une fois dans ta cuisine, ton portable trouvant sa place à côté de la machine à café - que tu ne peux même pas utiliser, le café étant une boisson parfaitement déconseillée pour les lendemains de cuite - tu t'affaires donc à préparer de quoi grignoter, suffisamment pour vous caler l'estomac sans être trop bourratif. Avant de te mettre à rire toute seule : tu t'es réveillée sans le moindre souvenir de ta soirée d'hier, auprès d'un homme dont tu as oublié le nom (avant que celui-ci ne te le rappelle, bien évidemment), tu lui as piqué son tee-shirt avant de lui offrir l'accès à ta salle de bain et te voilà en train de préparer un petit déjeuner pour deux. La faute en revenant à ta gueule de bois ou non, comment ne pourrais-tu pas trouver la situation autrement que follement amusante ?
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