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 Let's play + Anna

dirty talk ::  time off :: old stuff :: rps
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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
Invité
Invité
Anonymous
Mer 24 Mar - 20:11

Congé. Enfin. Plusieurs nuits à travailler sur des dossiers, plus chauds les uns que les autres. Ta nuque te fait mal. T’as besoin de te détendre et étrangement, tu ne trouves rien de mieux que d’aller de balader dans les rues de Londres, chevauchant ta bécane. L’air frais qui fouette tes joues, le haut de ta gorge. Tu grognes un peu, avant de t’arrêter prêt du port. Tu te gares avant de marcher un peu, allumer une clope et te poser contre les rambardes, fixant la Tamise qui est si calme à cette heure. Quelques touristes, rien de bien phénoménal. Le regard toujours en alerte, tu scrute chaque personne afin de t’assurer que tout se passe bien. C’est plus fort que toi. Le côté flic toujours activé. Tu fais craquer ta nuque, soufflante cette boucane épaisse par tes narines avant de reprendre ta route. La grande roue qui est illuminée, c’est beau. Ça fait briller le regard des jeunes et des plus vieux. Tu hausses un sourcil en voyant une bande de gamines, ados probablement qui tentent de prendre des photos d’elles. «B’soin d’aide les filles?»Bon samaritain, tu viens tendre la main pour récupérer le portable avant de prendre des clichés.

Tu les salue, avant de remettre les mains dans tes poches. T’as pas le look de flic aujourd’hui. Non. Jeans noir, t-shirt blanc et veste de jeans plus clair. Chapeau, cheveux libres qui flottent sur tes épaules. Bottines aux pieds. Le confort. Tu t’arrêtes au stand près de la grande roue. C’est étrange, mais ce soir, elle tourne. Il doit y avoir un évènement quelconque. Tu viens te commander une bière et un bretzel avant de reprendre ta marche. Tu viens ouvrir ton portable, réseaux sociaux et tout. Oh, tu pourrais envoyer des sms coquins à certaines de tes contacts que tu sais moins frileuses… Mais on dirait que ce soir, c’est un peu de silence, de liberté que tu as de besoin. Tu viens ranger ton portable dans la poche de ton jeans avant de venir te mettre en ligne pour la grande roue. Tu tapes du pied au rythme de la musique qui résonne avant de finir ton bretzel. Ta bière qui se vide bien moins vite que tu voudrais. Tu avances, venant payer pour le tour puis tu grimpes. On te demande si tu acceptes d’autre personne avec toi. Tu hausses les épaules comme réponse. T’en a un peu rien à foutre en vrai.

Tu te poses sur le banc. Avant de te positionner un peu mieux, une main dans la poche alors que l’autre tient ta bière. Tu en bois une gorgée avant que le manège ne reparte. Tu soupires, alors qu’une vague se fait dans ton verre, n’en renversant un peu. «Merde.» Tu grognes, secouant ta main. Tu ne portes pas attention à la demoiselle qui est avec toi. Tu veux que profiter de la vue. Rendue à mi- tour, un bruit sourd se fait entendre. La roue cesse brusquement. Tu échappes ton verre, tombant presque de ton banc. Tu lâches un juron, avant d’entendre des cris. Tu hausses un sourcil puis te lève avant de chercher à zieuter en bas. L’opérateur qui sort le porte-voix pour vous mentionner que le manège vient de tomber en panne et que vous ne devez pas paniquer. Tu soupires avant de te laisser retomber sur le banc. Tu retires ton chapeau, passant une main dans tes cheveux. Tu remets ton chapeau puis tu sors une clope, levant enfin les yeux sur la demoiselle face à toi. Tu te stoppes avant de rire un peu. «Cette soirée est de mieux en mieux…»
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Jeu 25 Mar - 21:05

LET'S PLAY.
Tu n'es pas influenceuse. Mais ça ne t'empêche pas de prendre quelques jolies photos pour alimenter ton compte instagram. Même sans être influenceuse, il te faut être un minimum active sur les réseaux sociaux pour t'assurer que tes fans restent dans les parages. Tu ne peux pas toujours compter uniquement sur tes apparitions à la télévision. C'est donc pour ça que tu as l'intention de faire un tour de grande roue ce soir. Tu veux faire de jolies photos de là haut. Et puis c'est tout simplement une activité que tu aimes bien. Elle est magnifique la vue de là haut, très clairement. Ce sera d'autant plus beau à cette heure ci, avec les lumières de la ville. C'est l'un des moments que tu préfères dans la journée. Quand le soleil se couche et cesse d'éclairer les rues et les habitations de ses doux rayons. Même si avec sa disparition, vient tout naturellement le frais du soir puis de la nuit. Tu prends donc le risque d'avoir froid en sortant à cette heure ci. Tu prends quand même la peine d'enfiler un manteau en fausse fourrure pour ne pas attraper la crève.

T'as le nez vissé sur ton écran de téléphone quand tu fais la queue. Un peu parce que tu dois rester connectée. Mais un peu, également, pour avoir le visage baissé et ainsi éviter de croiser trop de regards. C'est préférable quand il y a une telle foule autour de toi. Il suffit qu'un idiot te reconnaisse, pour que l'on vienne t'emmerder. Et tu n'as pas forcément envie de ça. T'as déjà ton lot de crétins qui te harcèlent, qui te courent après, qui cherchent à t'avoir ou même juste à te toucher. Il y a vraiment des dingues de partout. T'en es arrivé à un point où tu te méfies dès que quelqu'un t'aborde. Avec ou sans raison. Et si raison, peu importe laquelle en fin de compte. Tu te méfies de tout et de rien désormais. Jusqu'aux flics qui hésitent à prendre tes plaintes pour des raisons que tu ne piges pas trop. Sous prétexte que tu as une certaine notoriété, tu es apparemment supposée accepter que l'on vienne t'emmerder, te harceler, s'accrocher à toi et tu en passes des pires et des meilleurs.

Quand tu reviens un peu à toi et sors le nez de ton téléphone, c'est parce qu'une voix vient de te faire réagir. T'as foncé un peu sans réfléchir quand on t'a invité à prendre place. Maintenant tu réalises que la grande roue s'est arrêtée. Et qu'à côté de toi, l'un de ces idiots qui te font plisser le nez et t'arrachent des soupirs. « Et qu'est-ce qu'il y a de drôle là dedans ? » Contrairement à lui, tu ne trouves pas la situation drôle du tout. Il vient quand même de vous être annoncé que vous étiez bloqués. Situation déjà emmerdante à souhait. Par dessus le marché, t'es donc en sa compagnie. Pas la plus agréable de toutes. Mais pas la plus désagréable non plus. Il est flic. Tu n'es pas en face d'un détraqué donc. Normalement. Et pour ne rien gâcher, il est séduisant. Tout à fait ton type d'homme, s'il n'était pas idiot. Ce sont tous des idiots. « C'est ça que t'appelles une bonne soirée ? Tu dois décidément avoir un vie très ennuyeuse. » Que tu rouspètes en croisant les bras sur ta poitrine et en détournant bien volontiers la tête.
Invité
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Ven 26 Mar - 13:02

Difficile d’oublier un si joli minois. Non pas qu’elle était connue, mais en plus, elle était jolie. Tu te rappelles d’avoir pris une de ses plaintes pour harcèlement. Tu avais tout de même trouver ça cocasse. Qu’elle s’en plaigne alors qu’elle avait tout de même chercher un peu cette notoriété. Cela dit, tu savais qu’il pouvait parfois être désagréable de se retrouver toujours attaquer par un ordre de gens en transe qui adorait l’image que vous projetiez. On t’avait souvent arrêté dans la rue pour prendre des photos. Le physique et les tatouages imposants, le look peu classique. Pire quand tu portais ton uniforme de policier. Plusieurs se demandaient si c’était réellement ton boulot ou si tu faisais que mettre un uniforme pour le plaisir. Fallait être con pour faire ça. Qui aurait osé mettre un uniforme de flic que pour le plaisir de la chose? Bref, tu fis craque ta nuque, venant te caller contre ton banc puis tu viens coincer ta clope entre tes lippes. Tu l’allumes avant de souffler la boucane dans les airs, loin de son joli visage qui se tord sous la déception. Pire quand elle réalise avec qui elle est coincée. Ça te fait sourire. Tu passes une main sur ton visage puis tu hausses les épaules.

«Ça pourrait être pire. Tu aurais pu être coincée avec un de tes plus grands fans! Un fou furieux, un détraqué. Alors que je ne suis aucune intéressée par ta notoriété, princesse.» Tu viens tirer sur ta clope avant de souffler et pencher ton chapeau vers l’avant. Tu étires tes jambes, les croisant, cheville par-dessus cheville. «Profites en pour faire jouer tes fans! Demande leur d’envoyer des secours, parce que c’est pas le vieux en bas qui va le faire.» Toi, ça ne te tente même pas de sortir ton portable pour appeler au poste. Nop. Tu sais que si ça se sait, tes collègues vont te charrier et ça ne te tente aucunement. Autant profiter de ce bris pour te reposer. Tu bailles avant de revenir tirer sur ta clope. Tu n’es pas des plus bavards habituellement, alors tu risques de te la fermer. Tu fermes les yeux, prêt à roupiller, quand la grande roue émet un vacarme. Elle bouge un peu, mais rien de bien phénoménal. Tu soupires puis tu replaces ton chapeau avant de te lever debout pour regarder en bas. Un amas de monde qui commence à se faire. Putain, les touristes. Tu grognes puis tu regardes de nouveau ton acolyte de la soirée.

«Ouais, bah je sens que l’on va être coincé un moment, autant discuter. Parce qu’on va clairement se faire chier.» Tu te laisses tomber durement sur ton banc, faisant un peu balancer la nacelle. Tu souris, amusé. Comme si tu tentais d’effrayer la belle. Elle avait sûrement fait des choses plus effrayantes. Du moins, tu l’espérais pour elle, parce que sinon, sa vie craignait. Tu viens sortir ton portable avant de te rendre dans la section application puis tu télécharges une appli. Un jeu, vérité ou conséquence. Autant trouver un truc pour passer le temps. «Tiens, je te laisse lancer le jeu. On va se marrer. À moins que tu ne trouves pas ça assez classe pour la grande vedette que tu es… Je comprendrai que tu veux avoir la paix, chérie, mais bon… On va se faire chier si on ne fait pas un truc. Et je doute que t’aies envie que je te saute ici. Ton p’tit pourrait avoir froid. Ça serait triste que tu attrapes un rhume.» Tu te colles un sourire amusé. Elle doit bien se douter que tu te fou un peu de sa gueule. Parce que tu n’as pas beaucoup de respect, pour les gens qui s’expose autant…
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Sam 27 Mar - 18:43

LET'S PLAY.
T'es forcément très agacée de voir l'homme en compagnie duquel tu te trouves. Parce que tu ne gardes pas un très bon souvenir de lui. Pour ne pas dire que t'en garde même plutôt un très mauvais. C'est un idiot qui s'est amusé de ta situation et qui a refusé de la prendre au sérieux. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir tout fait bien comme il faut avec preuves à l'appuie et tout le bordel.  Mais ça n'a clairement été que du vent durant tout le temps qu'ont duré vos échanges. Puisqu'il a quand même été obligé de la prendre ta plainte. « C'est étonnant ... Parce que dans mon esprit, tu entres parfaitement dans la catégorie des "fou furieux et détraqués". » Que tu pestes froidement. Il ne te fera certainement pas entendre raison. Tu n'es pas du tout heureuse de te retrouver en sa compagnie et ses mots n'y changeront rien. En revanche, quand la roue semble se remettre un tout petit peu en mouvement, tu as un mouvement de panique. Rien de dingue. Mais tu lèves les yeux comme si tu t'attendais à voir votre assise se décrocher. Et tu enroules une main autour de la rambarde. Juste pour être certaine de te maintenir en équilibre.

« Et de quoi tu crois qu'on va discuter toi et moi, au juste ? » Que tu râles encore. Son idée n'est pas faite pour te plaire non plus. Tu ne te vois pas converser avec ce genre de personnage là. Mais tu lui offres un regard noir, bien volontiers, quand il remue et fait de nouveau balancer la nacelle. Quel gros balourd. « Moi je propose que tu te taises et que tu arrêtes de remuer. » Et tant pis si ça le fout en rogne. Il a beau être tout à fait le genre d'idiot que tu ne supportes pas, tu ne le penses pas spécialement être du genre à s'en prendre physiquement à une personne. Moins encore une femme. Lui dont le boulot ne prête pas à confusion.  Mais qui ne fait pas du tout de lui un ange pour le coup. Bien loin de là. Il te le prouve dans l'ensemble de son comportement. Et également de ses mots qui continuent de te faire voir rouge. Pour le coup, tu as juste envie de lui en coller une pour le remettre à sa place bien comme il faut. T'en as les mains qui chatouillent un peu. Pour autant, tu ne fais rien d'autre que de les enfoncer dans les poches de ton manteau. Et quand tu remues à ton tour, c'est pour t'éloigner davantage de lui.

Tu rejoins le côté opposé de la nacelle et poses tes fesses bien loin. « T'as aucune chance de le voir mon "petit cul". Ni ici ni où que ce soit d'autre. » Que tu réponds toujours sur le même qui témoigne bien de ton agacement en ce qui le concerne.  Et qui montre également bien ce que tu penses de sa personne. « Et t'as pas un jeu un peu plus intelligent à proposer ? A moins que ça ne soit hors de ta portée ? Apparemment on est quand même moins cons à la télévision que chez les flics ... » En tout cas, il ne donne vraiment pas une bonne image de la police. A lui tout seul, tout au contraire, il en donne davantage une image vraiment négative. Et c'est bien triste, puisqu'ils sont supposés être là pour protéger et faire se sentir en sécurité, tous les civils. Aussi bien les hommes que les femmes. Tu préfères croire qu'il est une exception. De ceux qui ont oublié la raison pour laquelle ils souhaitaient se lancer là dedans au départ ...
Invité
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Lun 29 Mar - 18:50

En vrai, cette fille t’énerve. Elle qui se pense meilleure que tout le monde avec ses airs de grandes dames de la téléréalité. Tu viens te poser pour éviter de faire balancer la nacelle encore plus. Elle te crache son venin à la tête. Rageuse. Tu lèves les yeux au ciel avant de ranger ton portable dans la poche de ton manteau. Tu viens planter tes poings dans tes poches, silencieux. Tu te rappelles d’elle. De sa plainte que t’as pas prise au sérieux. Ça doit être pour ça qu’elle rage autant la p’tite. Tu laisses ta tête tomber vers l’arrière puis tu grognes un peu. «Je ne suis pas que le con que tu crois que je suis, j’te signale. Ouais, ta plainte, j’m’en suis un peu foutue, parce que t’as quand même accepté d’être une tête d’affiche. Est-ce que je vais pleurer parce qu’on te dit que t’as un beau p’tit cul? Nah. Mais je serais le premier à défoncer la gueule d’un mec si on te touchait.» Ça c’est la partie totalement véridique de l’histoire. Parce que malgré ton côté machiste, tu avais un background qui t’empêchait d’apprécier que l’on touche à une femme sans son consentement. Tu secoues la tête avant de planter ton regard dans le sien, détaillant ses lèvres pulpeuses.

«J’crois que l’on est juste partit sur des mauvaises bases. Et le flic, n’est pas toujours l’homme. Comme je suis sûre que la meuf que j’ai vu à la télé, c’pas celle qui est d’vant moi. J’me trompe? T’as été 100% authentique et on a vu que tes beaux côtés? Parce que si oui… Damn… C’est pas le plus glorieux. Alors ouaip, avant de juger, tu devrais p’tête donner une chance au prochain.» Tu fais claquer ta langue à ton palais avant de venir sortir une nouvelle clope et l’allumer. Tu tires dessus puis tu fermes les yeux. T’en a assez pour ce soir. T’aurais dû rester dans ton lit, à dormir, te branler à la limite, mais merde que tu voudrais être n’importe où sauf là. Tu fais craquer ta nuque avant de tirer de nouveau sur ta clope. T’as pas grand chose à rajouter, si ce n’est qu’elle te plait. Mais tu penses que vaudrait mieux que tu te taises sur cette confidence. T’aimes l’assurance qu’elle dégage, son joli minois. Sa manière de te regarder avec dégoût. Ça te charme beaucoup. Tu te fais la promesse qu'un jour, tu auras la chance de lui payer ne serait-ce qu’un café. Derrière ton attitude de connard, t’as un cœur quand même. T’es pas le salaud qu’elle prétend que tu es.

Tu étends tes jambes avant de les croiser. Un bras derrière ta tête, l’autre qui reste libre le temps que ta clope continue de se consumer. Tu viens lécher ta lèvre inférieure avant de sortir ton portable pour zieuter les réseaux sociaux, mettre de la musique s’il le fallait. Tu n’allais pas passer ta soirée à te faire chier à tenter de la faire sourire. Tu soupires de nouveau avant de ranger ton portable puis remettre les yeux sur elle. «N’empêche, je dois te dire que t’as du courage. D’être venue le dénoncer le mec qui te harcelait. Si ma soeur avait eut le courage de le faire, elle serait encore avec nous.» T’as un léger sourire quand tu penses à Aimée. Elle aurait probablement honte de toi. De la façon que tu fonctionne envers les femmes. De comment tu t’es moquée de la d’moiselle à la tignasse de feu qui est en face de toi… Elle te manque Aimée. Son sourire de gamine, son nez retroussé, sa façon qu’elle avait de prononcer ton nom. T’as un léger sourire, préférant garder les bons souvenirs d’elle.

Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Jeu 1 Avr - 19:43

LET'S PLAY.
Il ne fait rien pour apaiser la haine qu'il provoque en toi. Tout au contraire. Il ne fait rien d'autre que de la provoquer toujours plus. Parce qu'il prend même la peine de te rappeler qu'il a rit lorsque tu as voulu déposer ta plainte. Comme si c'était normal. Comme si ton statut justifiait qu'il puisse ne pas te prendre au sérieux ... « Parce que faire le choix d'être une personnalité publique, justifie que l'on se fasse harceler par des pervers ? Qui prennent le temps de nous envoyer bon nombre de messages, pour nous signifier tout ce qu'ils ont l'intention de nous faire quand ils "nous attraperont" ? Tellement arriéré ... » Lui. Lui il est arriéré s'il pense ainsi. S'il s'imagine que c'est normal. S'il estime qu'une personnalité publique, doit accepter de se faire harceler de la sorte. Et doit accepter de vivre dans la peur aussi. Puisqu'il est bien question de ça. Jusqu'à présent personne n'est jamais allé au bout de ce genre de promesses lugubres et effrayantes. Mais ça ne veut pas dire que ça n'arrivera pas. Il suffit d'une fois qu'un type dangereux parvienne à s'infiltrer chez toi pour t'y attendre et/ou pour t'y retrouver. Une seule fois qui peut être la fois de trop.

Il tente quand même de te faire entendre qu'il n'est pas toujours celui que tu as rencontré ce fameux jour. Il te dit qu'il doit certainement en aller de même pour toi. Et ça t'arrache un soupir et un ricanement ironique. Parce que ça te fout sacrément en rogne qu'il tente encore et toujours d'avoir raison. « Ah parce que tu t'intéresses aux émissions de ce genre ? » Que tu balances sur un ton qui se veut cynique. Pour quelqu'un qui se permet de juger et de commenter, c'est quelque chose ...  Mais ce n'est pas non plus comme si tu t'attendais à quelque chose de plus mature et de plus réfléchis de la part de cet homme. Lui qui était quand même supposé faire preuve d'un minimum de bienveillance, quand tu es venu déposer une plainte. Mais qui, au lieu de ça, s'est contenté de te rire au nez. Purement et simplement. Tu ne vois pas bien comment tu pourrais passer à autre chose après tout ça. Alors tu ne te fais pas prier pour l'ignorer tout à fait quand le silence retombe. Vous vous ignorez l'un et l'autre et ce n'est pas plus mal. Toi qui finis par dégainer ton téléphone pour faire le tour de tes réseaux sociaux.

Tu daignes quand même relever la tête quand il reprend la parole. Mais c'est certainement parce que le sens de ses mots t'interpelle. Tu ne peux pas rester froide et insensible en devinant par sa confession, qu'il a perdu quelqu'un. Sa soeur. A cause du harcèlement. Raison de plus, pour toi, d'être surprise par le comportement qu'il a pu avoir à ton encontre. S'il sait ce que ça peut occasionner chez quelqu'un, pourquoi avoir réagit d'une façon aussi idiote ? « Qu'est-ce qui s'est passé ? » Que tu oses quand même l'interroger, en daignant ramener ton regard sur lui. Dans le fond tu ne sais pas du tout s'il a réellement envie d'en parler de façon plus approfondie, ou pas. Mais s'il ne le voulait vraiment pas, il n'aurait sans doute pas démarré cette conversation et abordé ce point précis.  Mais plutôt que de te rassurer sur sa personne, ça a plutôt le don de t'inquiéter un peu plus encore. Parce qu'il agit en idiot qui ne craint pas de mettre en danger une autre jeune femme, qui subit le même genre de chose que celle qu'il a perdu. Tu peines à croire qu'il s'agissait uniquement d'une maladresse.
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Sam 3 Avr - 17:16

TW; Mention de suicide, inceste, agression.

Tu la regardes un instant. T’es là à lui faire des confidences comme si c’était ta grande amie. Alors que non. T’as agit comme un con quand elle est venu te voir. Comme un véritable idiot. T’as jamais pensé aux réelles conséquences de tes gestes. De tes mots quand elle est venue. Ce jour-là, t’as pas pensé à Aimée, ta sœur, son visage blafard, alors qu’elle se balançait au bout d’une corde. Tu secoues la tête pour chasser cette image avant de froncer le nez. T’aurais aimé qu’elle s’ouvre la trappe. Qu’elle dénonce votre père. Tu aurais aimé bien des choses. Mais ce n’est pas arrivé. Tu tires sur sa clope avant de l’écraser contre le banc puis tu te redresses, posant tes coudes sur tes cuisses. Tu t’éclaircis la gorge puis tu la fixe. «Mon père… Il a abusé de mes soeurs… Et la petite dernière, Aimée… Elle n’a pas supporté.» Tu détournes le regard, un peu perdu avant de grogner, t’éclaircir la gorge. «Elle a préféré mettre fin à sa vie au lieu de le dénoncer...» Tu soupires puis tu viens passer ta large main sur ton visage. Tu te sens encore plus con maintenant que tu l’as dis à voix haute.

«Elle doit avoir vachement honte de moi en ce moment. De voir que je ne t’ai pas prise au sérieux.» Tu fronces le nez avant de faire craquer ta nuque. Tu prends une profonde inspiration. T’as l’impression que tu vas chialer. Parce que c’est toi qui l’as trouvé, la gamine. Tu viens passer une main sur ta nuque puis tu la fais craquer. «Il te harcèle encore, ce connard? Si oui, j’aimerais avoir son nom. Je vais lui rendre une petite visite.» Tu souris faiblement. Comme si c’était une façon de te faire pardonner, de prendre en charge la plainte, mais surtout une façon de lui prouver que tu n’es pas un connard fini. Que si tu n’as pas pris sa plainte au sérieux, c’est surtout à cause de l’influence des autres. De tes partenaires qui ne croient pas que les femmes soient réellement victime d’harcèlement. Tu oses enfin poser ton regard sombre sur elle. Tu souris légèrement. Elle est belle. Ses lèvres pulpeuses, son petit nez retroussé. Tu aimerais qu’elle sourit, parce que son sourire dans l’émission, il était merveilleux.

Tu viens te redresser pour regarder en bas. C’est l’énervement au sol. Les gens cherchent comment faire descendre. Les pompiers arrivent. Clairement, vous allez bientôt descendre. Tu viens te rassoir, te posant sur le même banc qu’elle. «J’suis désolé. Sincèrement de m’être foutu de ta gueule. J’suis un macho, tête brûlée, un mec et puis, j’avais pas envie de me faire emmerder par le collègue… Ouais, c’est mal. Parce que ouais, il aurait pu t’arriver un truc grave… Mais j’suis content de voir que t’as l’air en forme… Mais voilà… Tu n’hésites pas… J’vais te laisser mon numéro. Il arrive quoique ce soit, tu m’appels et je débarque, ok?» Tu lui fais un clin d’oeil avant de choper son portable de ses mains pour venir directement dans ses contacts et y inscrire ton numéro. Elle peut bien beugler parce que là, t’es littéralement dans sa vie privée, mais au moins elle aurait ton numéro pour pouvoir t’appeler en cas de problème. «Au faites, je m'appelle Oleks...» T’as un léger sourire puis tu lui rends son portable avant d’être traversé d’un frisson. Le vent s’est levé et même si tu t’es pas du genre à avoir froid, le vent te transperce le corps.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Dim 4 Avr - 13:50

LET'S PLAY.
Tu te tends aussitôt qu'il commence son récit. Et cette fois, tu es quand même bien obligée de tourner la tête pour poser le regard sur lui. Et tu l'écoutes avec attention. Parce que tu ne peux évidemment pas demeurer sourde à ses confessions. A ses mots. A ses révélations le concernant. Lui et sa famille. Ses soeurs. Son père. Tu peines à déglutir alors que tu l'écoutes. Alors que tu réalises un peu plus encore par quel genre d'horreurs doivent passer certaines personnes. Tu ne sais pas quoi dire alors qu'il explique tout ça. Mais sans doute qu'il n'y a justement rien à dire. Parce qu'à sa façon, il te fait saisir qu'il revient de loin et t'explique même pourquoi il a choisit ce métier là. A sa façon également et sans doute même sans s'en rendre compte, il te fait saisir la raison pour laquelle il a eut tout l'air de minimiser ton problème. Et tu comprends que ça a pu paraître bien peu de choses par rapport à ce que ses soeurs ont subit. « Personne n'a encore pris la peine de prêter attention à ma plainte. Alors bien sûr qu'il continue. » Ton ton est un peu moins mordant cette fois. T'es presque rassurée de constater qu'il n'est pas uniquement un enfoiré sans coeur et sans sentiment. Ton avis sur lui a radicalement changé. Ou est au moins en train d'évoluer ...

Il remue encore pour vérifier ce qu'il se passe en bas. Et toi tu te contentes de regarder en silence. Ne le perdant de vue que lorsqu'il vient prendre place à tes côtés. Tu ne tournes pas la tête vers lui. Tu te contentes de rester sagement à ta place. Bras croisés sur ta poitrine. Tu soupires quand même un peu quand il s'impose pleinement à toi. En attrapant ton téléphone pour rentrer lui même son numéro dedans. Sans te demander ton avis. « T'es aussi un idiot qui prend beaucoup de place. Dans tous les sens du terme. » Que tu marmonnes en récupérant ton téléphone que tu enfonces dans la poche de ton manteau. « Comment tu peux être à la fois une tête brûlée et un emmerdeur, mais aussi quelqu'un qui craint le regard et le jugement de ses collègues, Oleks ? » Que tu l'interroges tout à fait sérieusement. Cette fois, en posant de nouveau les yeux sur lui.

« Tu ne tiens tête qu'aux femmes ? » Que tu l'interroges tout à fait sérieusement. Tu n'es pas -encore- dans le jugement. Tu te contentes de vouloir comprendre son fonctionnement. Parce qu'il s'avère être plus complexe et profond que prévu. Même si tu n'arrives pas non plus au point de songer qu'il est intéressant le grand tatoué. Mais ton regard sur lui a encore une chance de changer. D'évoluer pour quelque chose d'un peu plus positif. Tout ça parce qu'il a accepté de se confier un tant soit peu. Et d'expliquer maladroitement pourquoi il a eut ce comportement d'idiot. Quand un coup de vent te fait frissonner, tu refermes les pans de ton manteau tout contre ton corps. Il est doux, épais, confortable. Et il a quelque chose de très réconfortant aussi. « Et je suppose que tu n'as pas besoin que je me présente en retour. Tu ne m'as d'ailleurs pas répondu. T'es vraiment du genre à regarder de la télé réalité ? » L'image t'amuse un peu. Parce que tu ne l'imagines pas du tout être de ce genre de là. Et surtout, ce serait d'autant plus culotté de sa part, de t'avoir jugé pour ton métier, comme il l'a fait.
Invité
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Anonymous
Lun 5 Avr - 21:52

C’est vrai que tu prends de la place. Que tu es pas mal imposant dans ton genre. Mais ça te fait plaisir qu’elle le mentionne. Tu avais toujours fait attention à ton physique. Ne pas prendre de poids ou tout simplement faire beaucoup trop de muscu. Bien entendu, ça te flatte qu'elle remarque ta plastie que tu entretiens. Un léger sourire alors que tu t’assures que ça bouge en bas avant de t’imposer sur le même banc qu’elle. Sans demander la permission, tu viens attraper son portable pour y mettre ton numéro. «Repasses au poste, cette fois je vais prendre ta plainte et mieux la gérer, je te le promets...» Ce n’est pas une fausse promesse cette fois-ci. Tu comprends bien t’occuper de sa plainte et t’assurer que tu puisses prendre soin d’elle d’une certaine manière. Tu n’as pas envie qu’elle se mette en danger. Tu avais été un idiot, mais bon… On a tous le droit à une deuxième chance dans la vie. Tu fronces le nez quand elle te demande comment tu peux tenir tête aux gens ainsi et avoir autant peur. Tu t’éclaircis la gorge avant de passer une main sur ta barbe.

«Parce que c’est ainsi… Avoir la reconnaissance de ses collègues est la meilleure chose qui peut arriver. Je t’assure… Quand t’es flic, si tu montre tes blessures, tes faiblesses… Tu es traité comme de la merde...» Tu poses ta tête sur le dossier du banc avant de faire craquer ta nuque. «J’regardais parce… Que t’es jolie. Que c’est agréable à regarder. Que t’es intelligente, drôle et ce sourire, putain, ce sourire...» Tu rigoles un peu avant de fixer le ciel. T’as parler à coeur ouvert, comme si c’était une normalité de lui dire tout ce qui te passait par la tête. Elle pouvait bien te trouver idiot, mais tu savais aussi qu’elle n’était peut-être pas totalement insensible à ton charme. Enfin, tu espérais qu’elle ne soit pas insensible. Tu tournes la tête vers elle, avant de l’analyser. Son regard, son nez retroussé. Elle est jolie. Très jolie. LA rondeur de ses lèvres, la profondeur de son regard. Tu aimerais y plonger plus d’une fois. Tu oses te demander de quoi elle a l’air, quand elle jouit. Quand elle soupire de bien être, que son corps se cambre sous la pulpe de doigts masculins. Ça t’arrache un léger sourire, un début d’érection même.

Tu éclaircis ta gorge avant de détourner le regard avant de te redresser et jeter un œil à l’heure. «Ouais, il va falloir qu’ils se bougent le cul si on veut dormir au chaud ce soir!» Tu souris doucement puis tu la regardes, encore, comme tu ne pouvais pas retirer ton regard de son visage. Elle marque un peu plus ton esprit. C’est fou comment les fesses ont un pouvoir inestimable. Comment elles peuvent rendre un homme faible et complètement en besoin d’elles. Ça t’effraie de savoir qu’elle pourrait te rendre complètement faible. En besoin d’elle. Tu te redresses, avant de changer de banc. Le besoin de mettre cette distance entre vous. Évitez que tu aies envie de fondre tes doigts sur ses joues pour goûter à ses pulpeuses. Te perdre dans ses yeux. Tu viens sortir une nouvelle clope que tu allumes. T’as besoin de ça pour calmer tes envies, tes ardeurs de mâles Alpha. Oh, tu n'iras pas jusqu’à la forcer, mais tu n'hésiteras pas à te montrer entreprenant, à lui faire comprendre que tu as envie d’elle, de sa chaleur… Cela dit, tu préfères te concentrer sur ta clope.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Mar 6 Avr - 11:00

LET'S PLAY.
Tu n'es pas bien certaine d'avoir encore envie de faire un saut au poste de police. Peut-être que tu vas plutôt devoir contacter un service de garde du corps pour avoir quelqu'un qui veillera réellement sur toi. Plus que ne semblent être capable de le faire les policiers en tout cas. Eux qui préfèrent rire d'une plainte comme la tienne, plutôt que de la prendre au sérieux et de s'assurer que tu vas bien. On ne peut pas dire qu'ils se soient vraiment inquiétés de ton état après cette visite qui n'a pas duré longtemps. « Je n'ai vraiment pas l'impression que la police puisse y faire quoi que ce soit. » Que tu finis par soupirer en croisant de nouveau les bras sur ta poitrine. Fermée à l'idée d'avoir d'autres semaines à vivre avec cette peur au ventre. Celle qui ne te quitte plus à chaque fois que tu "oses" mettre les pieds dehors à la tombée de la nuit ou avant le lever du jour. Tu t'attends toujours à le voir sortir de l'ombre et d'un coin discret, pour te tomber dessus. Et ainsi profiter du fait qu'à ces heures ci, il n'y a pas grand monde au dehors.

Tu as moins encore envie de revenir au commissariat, quand tu comprends pourquoi il a joué au con la première fois. C'est idiot comme excuse. Il est le cliché même du mâle alpha qui traite mal les nanas et les respecte à peine, juste par fierté devant les autres hommes. De quoi t'exaspérer, te faire soupirer et te faire lever les yeux au ciel. C'est exaspérant. Il est exaspérant. Typiquement le genre d'homme que tu évites comme la peste. Et à la fois, il arrive à te surprendre. Il t'arrache même un rire léger quand il semble s'extasier sur ton sourire. Il a ainsi droit à un peu plus qu'un simple sourire. Même si c'est bien involontaire de ta part. Il vient de te prendre de court, tu ne peux le lui cacher pour le coup. « Voilà qui est un peu plus agréable à entendre que "t'es bonne". » Entre autres commentaires que tu as déjà eus à entendre et à subir. Qui sont rarement peu plaisants et valorisants. Et qui sont même, parfois, parvenus à te mettre assez mal à l'aise. Alors tu n'es pas déçue d'avoir enfin droit à autre chose. Et tu oses espérer qu'il ne dit pas ça uniquement pour endormir ta méfiance.

Mais tu le sens ensuite, son regard insistant, qui reste accroché à ton visage. Comme tu sens qu'il tente de se contenir en détournant les yeux. Tantôt pour regarder ce qui se passe en bas. Tantôt pour s'éloigner de toi et aller se griller une clope sur l'autre banc. « J'ai presque l'impression de te mettre mal à l'aise ... » Que tu ne tardes pas à commenter. Petit sourire amusé au coin des lèvres à l'idée que ce soit le cas. Parce que tu aimes bien cette idée en fin de compte. Parce que ça te donne des idées et des envies. Tu aimes l'idée qu'il soit peut-être en train de lutter contre lui même. Tu préfères ça à un homme qui te tombe dessus sans prévenir et t'impose un baiser ou des attouchements, dont tu passerais bien. « Tu ne dois pas avoir l'habitude des femmes qui te tiennent tête ... » Que tu t'amuses un peu. Et c'est à ton tour de te lever. Parce qu'il te semble que ça ne remue pas des masses en bas et que tu auras le temps de le voir et de le sentir, quand il y aura enfin du mouvement. Alors tu choisis de t'approcher de lui. Tu le débarrasses de sa clope que tu abandonnes sur le sol, pour l'écraser de ton talon. Et parce que t'es bien obligée d'admettre que la différence des carrures entre vous, est quelque chose que tu trouves sexy, tu viens t'installer sur lui. Passant tes genoux de part et d'autre de ses cuisses. Installée à califourchon, ton bassin sur le sien. Que tu te gardes bien de remuer pour l'instant. « Et des femmes entreprenantes ? »
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Mar 6 Avr - 18:34

T,as besoin de bouger. Incapable de rester en place. Comme si tu avais besoin de te changer les idées pour ne pas plonger sur ses lèvres. Tu souris quand elle te remercie, à sa façon, du compliment. Oh, bien sûr que tu aurais pu user des compliments loin d’être agréables auxquels elle doit faire face. Cela dit, elle réussit à lire en toi. Non pas qu’elle te met mal à l’aise, mais elle te rend plus fébrile. Ce n’est jamais réellement arriver. Tu as toujours été celui qui dominait. Qui prenait les devants, peu importe la nature de la relation qui s’en venait. Tu la détaille, avant de te lever, t’étirer. Tu viens prendre place sur l’autre banc après avoir jeté un œil un bas. Clairement, vous en avez pour un moment à être enfermé dans cette nacelle. Tu passes une main nerveuse sur ta barbe avant de venir t’allumer une clope. La fumée qui remplit tes poumons, tu réussis à trouver un semblant de paix intérieur. Déchiré entre l’envie de lui dire des obscénités et l’envie de lui dire la tendresse. Elle réveille des besoins primaires en toi. Tu tires une nouvelle fois sur ta clope, alors qu’elle e lève à son tour. Sa phrase qui résonne dans ton crâne.

«Effectivement, on me tient rarement tête… Mais c’est… Séduisant.» Tu éclaircis ta gorge avant de suivre son mouvement. Elle s’approche, à pas de loup. Tu te redresses un peu avant de la regarder écraser ta clope de son talon. Elle ne se gêne pas. Elle prend place sur tes cuisses. Tu sens cette chaleur qui s’anime dans ton ventre. Tu détournes le regard un instant, cherchant où poser tes mains sur elle. Sagement, tu les poses sur son dos, trop hautes pour que ce soit naturel. Tu éclaircis sa gorge. Ses mains sur tes épaules, son corps parfait à ta disposition, son visage proche. Son souffle qui se mêle au tiens. Tu frémis, avant de grogner. «J’aime que l’on me tienne tête. Encore plus quand la demoiselle sait ce qu’elle veut.» Tu souffles, comme un bœuf. Parce que oui, elle fait grimper la chaleur en toi. Putain, elle va t’avoir à l’usure. Une main qui quitte son dos pour venir caresser sa joue, sa lèvre inférieure. Tu rêves déjà d’y plaquer tes lèvres, mais tu ne fais rien. Tu lèches ta lèvre avant de glisser ta main dans son dos.

Sans attendre, tu la rapproches un peu plus, lui faisant sentir ton sexe qui ne cesse de gonfler dans ton jeans. Ta main encore sur sa joue, que tu glisses vers sa nuque. Tu hausses un sourcil avant de venir poser tes charnues sur les siennes. Elle goute sucré. T’aimes ça. Tu ne forces pas trop, tu ne la maintiens pas captive non plus. Elle pourrait te repousser et tu la laisserais faire. Tu souris contre sa bouche alors que tes doigts tatoués se sont perdus dans sa chevelure de feu. Le palpitant qui crochète. Tu oses te dire que tu pourrais facilement faire ta vie avec ce genre de femme. Tu romps le baiser, avant de poser ta tête sur le dossier de ton siège. «Ces lèvres sont encore mieux en vrai, wow.» T’oses pas ajouter que tu aimerais bien y voir ton sexe s’y glisser, déformer son si jolie visage pour qu’elle te fasse l’amour orale. Rien que d’imaginer ça, ton sexe pulse dans ton jeans, cherchant à plus. Décidément, tu auras du mal à calmer tes ardeurs cette nuit. Tu soupires avant de poser tes larges mains sur ses hanches pour la repousser un peu. Tu veux la respecter, alors tu dois te battre contre tes démons.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Mar 6 Avr - 23:44

LET'S PLAY.
T'es quand même un peu surprise par le comportement soudain qu'il adopte le tatoué. Il met finalement de côté ses airs d'ours mal léché pour se révéler être capable d'un peu d'empathie et de douceur. Et ça, tu dois bien reconnaître que c'est plutôt agréable. Que t'es bel et bien tentée de lui faire confiance quand il répond de cette façon et adopte ce genre de comportement. Et tant pis s'il fait tout ça en tout état de cause, pour justement endormir ta méfiance. Apparemment, tu vas tomber dans le panneau. Parce que c'est quand même bien tentant quand ça vient d'un mâle aussi sexy qu'il l'est. Forcément qu'avec des compliments aussi respectueux, t'es tentée de lui ouvrir tes cuises. Et finalement tu constates qu'il peine à trouver quoi dire et comment se comporter, le tatoué sexy. Il hésite un peu plus encore alors que de ton côté tu continues de gagner en assurance. Finalement, il n'est pas habituée aux femmes qui sont capables de lui tenir tête comme t'es en train de le faire. « Je n'ai pas peur des hommes comme toi ... » Que tu crois quand même bon de lui faire remarquer. Quand bien même ça semble être une évidence en cet instant.

Parce que t'es déjà à te caler sur ses cuisses comme si tu avais été invitée à le faire. Tu prends place et tu dois bien admettre que c'est pas mal confortable. Même si, pour l'instant, tu es encore sage et tu évites de te frotter à son bassin. T'es persuadée qu'il suffirait de pas grand chose pour qu'il bande. Il te fait sourire quand il semble hésiter. Pour finalement aller poser ses mains sur ton dos. Il se refuse à te toucher plus sérieusement. Décidément, il se révèle réellement sous un tout autre jour. Et c'est pour le moins agréable à constater et à sentir. Et quand ses mains remuent sur toi, c'est plutôt pour venir se perdre sur ton visage aux traits légèrement arrondis. Joliment arrondis. Et tu continues de te laisser faire, parce que c'est toujours aussi agréable cette façon qu'il a de te montrer son respect. Mais ça te pousse à te demander ce que ça peut donner quand il perd le contrôle. S'il se fait aussi animal que son apparence le laisse à penser. Tu espères que c'est le cas. Si tu détestes les hommes trop sûrs d'eux et macho au possible dans la vie de tous les jours, tu peux accepter quand ils se lâchent à juste dose dans ce sport qui se pratique à deux.

Enfin, il attire ton visage au sien. Tu suis le mouvement et réponds plus que présente. Tout comme tu le fais contre son bassin. Parce que tu la sens parfaitement la dureté, maintenant. Et que la tentation est trop grande pour que tu la fasses terre. Tu fais donc tanguer ton bas ventre. Quitte à t'y brûler les ailes. C'est presque un réflexe hors de ton contrôle. Tu te frottes chaudement. Tu appuies juste comme il faut pour apprécier la pression de son érection grandissante, contre ton coeur palpitant. Le baiser demeure étonnamment tendre. Et, lui aussi, empreint de beaucoup de patience et de respect. Ses mains sur toi restent délicates. Semblent se refuser à t'empoigner trop vivement et à te donner l'impression oppressante d'être sa captive. Tu enroules tes bras autour de son cou et réunis ainsi tes mains contre sa nuque, sous l'épaisse chevelure qui lui offre des allures de sauvage. Malheureusement, il s'échappe à ce baiser avant que les choses sérieuses n'aient pu démarrer. C'est voulu de sa part bien sûr. Il garde le contrôle à tout prix. Et tu respectes et apprécies beaucoup trop cela, pour insister ou t'en plaindre. « Et encore, tu n'as rien vu. » Que tu taquines, dans un rire léger. Tu le libères finalement de l'emprise de tes cuisses, en te laissant basculer sur le banc à ses côtés. Quand bien même il a su éveiller le brasier en toi et semble être dans le même état, tu te refuses à le pousser à bout.
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Mer 7 Avr - 17:18

Tu tentes de rester chaste. Tu ne veux pas qu’elle croit que tu es un gros con. Un mec désagréable qui ne pense qu’au cul. Qu’à son propre plaisir avant celui de sa partenaire. Pourtant, tu ne t’empêche pas de poser tes mains sur son dos, avant de les glisser vers sa nuque pour mieux appuyer ton prochain geste. Tu poses tes lèvres sur les siennes. C’est doux, affreusement tendre. Oh, bien entendu, elle commence à bouger le bassin. Elle t’arrache un grognement. Ça t’allumes. Tu soupire contre ses pulpeuses, avant de laisser ta tête tombée vers l’arrière, reprenant ton souffle. Tu souris quand elle te répond. Bien sûr que tu n’as rien vu. Tu la regardes, qui glisse sur le côté, se posant à côté de toi. Tu remercies le ciel qu’elle ne portait pas de jupe, parce que tu l’aurais remonté avant de la prendre. Parce que oui, tu as une érection qui palpite dans ton jeans. Tu soupire avant de venir la placer, afin d’être moins coincé. Tes doigts qui la replace, lui montrant un peu la taille de ton sexe pour le coup. Tu fais craquer ta nuque avant de sourire. Doucement, tout doucement, tu viens passer un bras autour de ses épaules, la collant à toi.

Tes doigts glissent sous son menton pour le relever puis tu reviens capturer ses lèvres. Elle a bon goût. Elle va bien finir par te rendre fou d’elle. Un sourire contre sa bouche, ta large main qui glisse sous son manteau ouvert, effleurant sa poitrine au passage, avant de glisser sous son débardeur. Tu caresses la peau de son ventre, ses côtes. Tu oses même glisser sous son soutien-gorge, venant attrapé un téton sous tes doigts. Tu l’effleures, le caresse tendrement avant de rompre le baiser. «Putain… Tu comprends pas l’effet que tu me fais…» Pourtant, tu calmes ce côté animal. Tu restes doux, tendre dans tes mouvements. Tu descends tes lèvres sur sa mâchoire avant de venir faire rouler son téton entre tes doigts. Si tu te montres entreprenant, c’est bien parce que tu as l’impression qu’elle se montre plus que réceptive à tes caresses. Tu grogne avant de remonter son débardeur, dévoilant sa poitrine sur laquelle tu laisses ta langue glissée. Personne ne peut voir ce qui se passe dans la nacelle et ça te convient. Tu viens passer tes lèvres autour de son téton que tu suçotes avant de le mordiller, cherchant à lui arracher un gémissement.

Puis sans crier gare, tu recules, replaçant son soutien-gorge puis son débardeur. Tu éclaircis ta gorge avant de faire rouler tes épaules pour te détendre. «Pardon, c’était déplacé.» Tu ne le penses pas vraiment. Ça te plait même d’imaginer que sa culotte ait commencé à se tremper sous tes caresses. Tu la regardes encore, amusé. Tu n’as pas envie que la grande roue soit relancée. Non, tu aimes bien plus l’idée que tu pourrais la sauter à même la nacelle. Que tu puisses la faire glisser sur ta longueur. De sentir la moiteur entre ses cuisses. Tu souris doucement à cette pensée, puis tu éclaircis ta gorge avant de passer tes bras derrière ta nuque. Tu t’étires avant de la regarder de nouveau. «Tu en dis quoi, d’aller manger un de ces quatre? Genre, souper, ciné… Peu importe, ce que te tente… Ça pourrait être sympa, non?» Tu hausses un sourcil, amusé puis tu masses un peu tes cervicales. L’envie de replonger sur ses lèvres est bien trop présente, tout comme cette érection qui refuse de crever. Ça te fait mal d’y penser, parce que tu ne pourras pas la calmer aussi facilement que tu le voudrais.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Mer 7 Avr - 20:50

LET'S PLAY.
Tu as à peine le temps de l'embrasser et de remuer ton bassin sur le sien pour constater par toi même sa dureté, qu'il s'échappe. Tête basculée vers l'arrière pour mettre fin au baiser. Si tu n'appréciais pas sa retenue, tu serais sans doute en train de râler et de t'en plaindre. Mais du coup tu ne le fais pas. Et le laisses plutôt faire. Tu le libères donc bien vite pour le laisser tranquille. Même si tu ne te prives évidemment pas de le regarder s'ajuster tant bien que mal dans son pantalon. Et tu es bien obligé d'admettre pour toi même, que ça te met littéralement l'eau à la bouche. Même si, encore une fois, tu prends sur toi pour ne pas montrer grand chose. Et quand de lui même il revient à toi, c'est pour te faire relever la tête et t'embrasser avec toujours autant de tendresse. Il est vraiment déroutant. Et ce n'est pas fait pour te déplaire. Même lorsqu'il glisse une main sous ton menton pour s'emparer de l'un de tes seins, il le fait avec des gestes lents. Comme pour te laisser l'opportunité de l'arrêter et/ou de te reculer si ça venait à te déplaire. Mais ça ne te déplaît pas. Tout au contraire.

Tu te tends d'anticipation quand sa main remonte sous le tee shirt pour glisser sur la dentelle qui recouvre ton sein. Ta main, elle, se perd dans les cheveux longs du mâle et s'y accroche en réponse aux tourmentes qu'il offre à ton corps. « Je pense en avoir un bel aperçu ... » Que tu réponds d'une voix chaude et un peu trouble. T'as le palpitant qui s'affole encore dans ta cage thoracique. Et plus il taquine la pointe tendue, plus tu sens les décharge électrique qui pulsent dans ton bas ventre. Tes muscles internes qui se crispent à l'idée de l'accueillir, juste là, bien au chaud. Ce n'est pourtant ni le lieu ni le moment et tu le sais. Il te coupe tout à fait le souffle et le sens de la réalité, quand il perd plutôt son visage sur ta poitrine. Sa langue joue tendrement. Et ça a bien vite fait de t'arracher un gémissement de plaisir. T'es trempée. Tu serres les cuisses dans l'espoir de canaliser les choses. Mais c'est en vain, bien sûr. Pourtant il s'échappe aussi soudainement qu'il a mis fin au baiser un peu plus tôt. Et ça te fait rire, quand il remarque que c'était déplacé. « C'était plus excitant que déplacé. » Même si tu n'es pas fan du risque d'être surpris. Parce que pour toi qui es un peu connue, ça peut vite devenir un gros problème.

T'es sage quand même, toi aussi. Parce que tu te recules un peu sur le banc pour éviter les frôlements. Mais tu poses ton avant bras sur le dossier et ta joue contre ton poing fermé. Pour pouvoir encore le regarder. Le contempler. Ou même carrément le dévorer du regard pour le coup. « C'est un rencard ? » Que tu l'interroges très sérieusement. Parce qu'il aurait pu se contenter de te sauter ou de prévoir ladite sauterie. Au lieu de ça, il te demande si tu veux sortir avec lui. Pour ce genre de sortie que s'offrent les gens qui s'essaient à une relation suivie. C'est surprenant, un peu. Tu ne t'attendais pas à ça de sa part, surtout. « Je serai libre une fois que nous serons sortis de cet enfer, si tu veux. » Que tu ne te fais quand même pas prier pour lui indiquer. Déjà curieuse de savoir s'il va réellement aller au bout de cette invitation ou s'il va se défiler. D'autant plus que vous ne savez pas encore combien de temps ça va leur prendre pour vous sortir de cette nacelle.
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Mer 7 Avr - 22:27

Elle te plait, la demoiselle à la chevelure de feu. Si tu as osé embrasser sa poitrine, ton corps en redemande. Si fort, bordel. Tu aimerais que tes doigts se perdent entre ses cuisses qu’elle semble serrer un peu plus. Ça te fait sourire de la voir aussi réceptive. Si tu savais qu’il n’y avait aucun risque l’on vous surprenne, tu serais possiblement déjà entre ses jambes, en train de la dévorer. De la savourer. Tu soupire, reprenant place contre le banc, après avoir replacé sa poitrine dans leur armature. Tu fais craquer ta nuque puis tu hausses un sourcil à sa question. «Bien sûr que c’est un rencard. Tu crois quoi? Que je veux t’amener chez moi que pour te baiser?» Tu secoues la tête avant de venir prendre l’élastique à ton poignet puis tu viens retirer ton chapeau pour nouer ta longue tignasse. Tu la fixes un instant, en insistant, avant de sourire dans ta barbe. Elle est encore plus belle à la lueur de la nuit. T’es presque hypnotisé. Tu en veux plus, tu en réclame plus. D’elle, de sa personne, pas que de son cul. Si tu sembles être un grand con, t’es relativement doux comme homme.

Tu viens éclaircir ta gorge puis tu l’attires contre toi pour qu’elle soit plus près. Tu souris avant de lui attraper les fesses, la soulevant pour qu’elle soit de nouveau sur tes cuisses. Ta large main qui se perd sur sa nuque pour venir l’embrasser de nouveau. Cette fois, tu brises la barrière de ses lèvres. Ta langue caresse la sienne avec envie, alors que ton autre main vient contre le bas de son dos pour l’empêcher de prendre la fuir, parce que t’as pas fini avec elle. Vous êtes dans une nacelle, où personne ne peut vous voir, à moins que celle d’en haut regarde en bas, vers la vôtre. Alors tu peux en profiter un tout petit peu. Tu souris contre ses pulpeuses puis tu oses, aller un peu plus loin. Ta main qui fait sauter la ceinture de son jeans, ainsi que le bouton. Tu recules ton visage, gardant ta main sur ta nuque. «Et si tu prenais ton pied, maintenant… Que toi?» Tu souris, amusé. Oh, bien entendu, tu ne lui as pas demandé son avis, mais vu comment elle a été réceptive quand tu as embrassé son sein, tu te dis qu’elle le sera fortement avec ce que tu allais lui faire.

Ta main tatouée se perd dans son jeans, effleurant sa féminité. «Hm… Il fait chaud...» Si tu t’étais retenu depuis le début pour la respecter, là, tu avais qu’une envie, lui virer son jeans, sa culotte et la prendre avec vigueur… Mais tu devais te contenter de la faire jouir avec tes doigts. Tu reviens l’embrasser doucement. Si quelqu’un vous voyait, vous aviez l’air d’un couple en train d’échanger un baiser. Tu souris doucement contre sa bouche, alors que tu viens repousser la couture de sa dentelle pour la caresser directement. Tu viens mordiller sa lèvre. «J’espère que le rencard tiendra toujours après ça...» Tu lui fais un clin d’oeil. Parce que oui, t’as envie de l’avoir avec toi après ça. D’aller manger, d’apprendre à la connaître plus. Elle te plait, on va pas le nier. Tu fais glisser ton pouce contre sa perle, y faisant de doux mouvements. «C’est toi qui mène la danse ma jolie… Si tu veux que j’arrête, j’arrête… Si tu veux plus… Dit le moi.» Tu n’allais pas la pénétrer, que caresser son clitoris pour lui arracher des vilains frissons. Rien de plus pour le moment, pas temps qu’elle n’aura pas demandé.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Jeu 8 Avr - 16:46

LET'S PLAY.
Tu échappes un rire bref quand il te répond très clairement concernant cette histoire de rancard. Il t'amuse cet ours quand même. Parce qu'il est franc, cash, ne tourne pas autour du pot. Parce qu'il a deux facette aussi. Il est tout autant capable de douceur qu'il semble capable d'être une brute épaisse. Ce dernier point étant en parfaite adéquation avec son apparence. Géant à la barbe bien fournie et aux tatouages pour le moins nombreux. Mais il n'est pas juste une brute épaisse et il continue de te le prouver. « Arrête de faire comme si ce serait si surprenant que ça. » Parce que même si tu ne mets pas tous les hommes dans le même panier, tu es bien placée pour pouvoir dire qu'un paquet oublie de faire preuve d'un minimum de respect à ce niveau là. Et que ce même paquet ne semble aspirer qu'à se taper le plus de nénettes possibles. Et pour le coup, celui là te plait suffisamment pour que tu acceptes s'il n'avait rien souhaité de plus. Tu es libre de faire ce genre de choix. Et parce qu'il part plus sur un rancard, tu veux bien le suivre également. Parce qu'il te rend curieuse en plus de tout le reste.

Et tu te laisses encore faire quand il referme ses larges mains sur toi, pour te faire revenir sur ses cuisses. Il t'amuse toujours autant avec ses manières de rustre. Tu trouves ça très sexy en fin de compte. Ses gestes sont plus fermes et plus exigeants cette fois. Et ça continue de bien te plaire. Si ce n'était pas le cas, il faut bien admettre que tu l'aurais déjà arrêté. Sa question fait naître un petit sourire coquin au coin de ta bouche. Parce que l'idée est forcément très tentante et que tu ne refuserais pas qu'il s'occupe de toi. Plus encore s'il n'attend rien en retour. Parce que t'es également bien tentée de le faire languir pour lui appartenir pleinement, dans un endroit plus propice à ce genre de jeu. « Tu m'as l'air bien sûr de toi ... » Que tu le taquines/provoques ouvertement. Sans pour autant lui donner l'impression de ne pas le vouloir. Parce que tu te laisses faire quand il s'en prend à ton jean qu'il ouvre de ses doigts experts. Et tu te laisses encore faire quand sa main disparaît dans le vêtement.

De nouveau, tu réunis tes mains sur sa nuque alors que ses lèvres retrouvent les tiennes. Sa remarque parvient à t'arracher un rire délicat et sincère. « Ca dépend ... Si tu es doué ou non. » Que tu prétends, amusée. Bien que ce soit effectivement tentant d'envisager ou non la suite, en fonction de ce qu'il sait faire de ses doigts. Mais il t'électrise déjà rien qu'à frotter son pouce contre ton bouton de plaisir. C'est plutôt (très) bon signe pour la suite. « Montre moi ce que tu sais faire avec tes doigts. » La réponse est claire. Tout comme ton bassin que tu remues juste assez pour lui faire saisir le message. Lui faire comprendre que tu attends la suite avec impatience. Que tu veux pouvoir apprécier les caresses de ses doigts, tatoués eux aussi. Et il ne peut que constater comme tu es déjà moite à la seule idée de la suite. Et hâte de voir par toi même ce que ça pourra donner quand vous aurez réellement plus de temps pour jouer ensemble à ces jeux d'adultes.
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Jeu 8 Avr - 20:33

Tu souris. «Je suis littéralement offusqué Miss Castillo» Les cheveux que tu remontes, tu retournes te perdre sur son visage que tu trouves parfait. Elle est si menue. Ça te fait rire la différence de carrure entre vous. Toi, large et imposant, elle, toute délicate. Elle pourrait se briser dans tes larges mains d’ours. Tu fais craquer ta nuque. Est-ce vraiment le temps de profiter d’elle, de son corps? Hm… Possible. Tu crois que tout est possible quand on veut. Tu souris un instant avant de la réquisitionner. De la ramener sur tes cuisses. Elle est si légère. T’aimes ça. Tu pourrais facilement la maintenir dans les airs pendant que tu la pénètres. Cette simple idée te fait vriller le cerveau. Tu la vois déjà nue, contre le mur, toi qui la maintient, qui la fait gémir. Tu grognes contre ses lèvres que tu embrasses avec envie. Elle pourrait être le genre de femme que tu as de besoin dans ta vie. Le genre de femme que tu veux dans ta vie. Pas nécessairement pour faire des gosses, non, mais pour vivre une vie d’amour et de bon sexe. Rien de mieux que du bon morning sexe.

Tu souris alors que ta main glisse dans son jeans. Tu la sens qui se tend, encore plus quand tu viens faire rouler sa perle avec ton pouce. Tu soupires quand elle te réponds positivement et qu’elle ondule le bassin contre ta main. Sans hésiter, tu viens tirer sur sa culotte. Tu pourrais la briser et la sortir de là, la garder en souvenir. Tu sens ton érection grandir juste en y pensant. Ton sexe palpite dans ton jeans et tu te sens à l’étroit, mais tu as promis. T’occuper d’elle Tes lèvres viennent glisser sur son cou, emplacement où tu laisses une agréable succion. Trace de ton passage. Tu soupires contre sa peau alors que ton index glisse le long de sa fente humide. Doucement, tu bouges le doigt, formant des cercles à son entrée. Hors de question de la pénétrer dans l'immédiat. Tu veux qu’elle découvre une autre façon de faire l’amour. Le vent souffle un peu plus, te forçant à la coller un peu plus à toi pour la tenir au chaud. C’est à ce moment que tu viens enfoncer deux doigts en elle. «Putain… J’pourrais te soulever là et ça glisserait comme dans du beurre.» Tu viens lécher le suçon que tu lui as fait avant de soupirer contre sa peau.

Tu les bougeais doucement, mais là, tu commences un va et viens contre sa féminité. Tu pourrais la faire rebondir contre tes doigts. Tu souris, alors que tu viens enfoncer un troisième. Encore plus étroit. Ça te fait grogner. Tu laisses ta tête tombée contre sa poitrine, que tu rêves encore de lécher. Sans réellement attendre plus, tu tires sur son débardeur pour y glisser ta tête et venir sucer son téton qui est déjà réveiller. Tu le lèches, le mordille. Elle va bien te rendre fou de son corps cette fille. Tu veux qu’elle prenne son pied, c’est vrai. Mais tu ne peux t’empêcher de vouloir aussi prendre ton pied, à ta manière. Tes doigts se font plus demandeurs. Plus désireux. Tu accélères la cadence, gémissant avec elle. «Vas-y ma jolie, laisse toi aller, tout doux… Relaxe tes muscles...» Tu sais que plus qu’elle s’abandonne, plus il y a de chances qu’elle prenne son pied, qu’elle soit totalement libre de ses gestes, de ses mots. Tu souris, avant de revenir prendre sa nuque pour enfoncer ta langue dans sa bouche, sans jamais ralentir.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Ven 9 Avr - 10:39

LET'S PLAY.
Sa remarque te fait seulement lever les yeux au ciel. Parce que t'es bien consciente qu'il exagère carrément. Mais que ça a surtout le don de t'amuser dans le fond. Il joue sur plusieurs tableaux. Lui qui arrive à être sexy et adorable tout à la fois. T'es bien incapable de faire autrement que d'apprécier le tout. Plus encore quand, de ses larges mains, il te ramène sur lui. Tu te laisses faire, le sourire sur les lèvres et le palpitant qui commence sérieusement à faire la fête dans ta cage thoracique. Non pas qu'il provoque des sentiments. Mais bien parce que sa main se fait taquine dans ton jean. Et que son doigt s'en prend à ton bouton de plaisir, avec une douceur suffisante pour ne provoquer que le plaisir. Et toi, tu te laisses faire avec grand plaisir. Te mordant la lèvre inférieure, pour retenir des plaintes enjouées, tant bien que mal. Tu ne veux surtout pas qu'il s'arrête. Mais tu ne tiens pas non plus à ce que l'on vous voit faire pour le coup. Tu ne t'exhibes à bonne dose et que pour faire le show quand tu es filmée et payée pour ça. A ton insu, c'est tout de même beaucoup moins drôle.

Tu te laisses toujours autant faire quand il perd sa bouche au creux de son cou. Où il provoque inlassablement ta peau. De longues minutes durant, pour faire apparaître certainement une ébauche de suçon. Tu te laisses faire, alors même qu'il marque ta peau. Sans doute parce que tu es troublée par son doigt qui continue de se faufiler entre tes cuisses. Il te frustre encore un peu, à refuser apparemment de glisser son doigt en toi. Mais tu ne fais rien non plus pour précipiter la chose. D'autant plus qu'il ne tarde pas à enfoncer deux doigts en toi, t'arrachant un gémissement au passage. Soit, tu es bien assez trempée pour que la chose ne soit pas plus compliquée que ça. Mais sa remarque a le don de t'arracher un rire léger. « La comparaison n'est pas sexy ... » Que tu ne peux quand même t'empêcher de lui faire remarquer. Remuant encore ton bassin, pour l'empêcher de s'arrêter. Il est hors de question qu'il cesse son petit manège alors que ses doigts te font déjà tant de bien. Le premier va et vient fait d'ailleurs courir un frisson le long de ton échine.

Et finalement, il enchaîne assez rapidement en glissant un troisième doigt en elle. Tu palpites tout autour de lui. Réflexe des muscles internes qui réagissent à l'intrusion. Tes doigts se collent à sa nuque. Appuient tout à fait dessus quand son visage est contre ta poitrine, pour l'y presser plus encore. De leur côté ses doigts, remuent de plus en plus furieusement dans tes chairs intimes. Dansent en toi pour t'offrir toujours plus de sensations. Et clairement, ça fonctionne. Ca vrombit dans les tympans. T'es à peine consciente des mots qu'il souffle. Toute concentrée que tu es sur les sensations provoquées au sud de ton corps. Et c'est quand il enfonce sa langue dans ta bouche, que tu libères tout à fait la boule de tension qui atteint son apogée. L'orgasme se répand dans tout ton corps, t'arrache quelques brefs tremblements et te fait te crisper fort autour de ses doigts. Avant que ton bassin ne se recule pour y échapper, à la présence de ses doigts qui n'ont que trop torturés et provoqués l'extase. Quant à ton gémissement, tu l'étouffes tant bien que mal contre sa bouche.
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Ven 9 Avr - 20:48


Tu n’en peux déjà plus. De sa fleur qui se serre autour de tes doigts. De sa chaleur. Tu souris contre sa bouche alors qu’elle te mentionne que la comparaison est loin d’être sexy. Tu hausses un sourcil puis tu grogne. «T’as quand même rit à ma connerie, alors cesse de te plaindre, ma bichette.» Sans attendre plus longtemps, tu viens enfoncer deux doigts en elle. Tu soupires encore alors qu’elle semble déjà apprécier les manœuvres que tu fais. Il est évident qu’elle aura la culotte trempée lorsque vous allez sortir de cette nacelle. Tu fais craquer ton cou avant de plonger sur le sien pour y laisser ta trace. Comme si tu marquais un peu ton territoire. Comme si l’idée qu’elle refuse votre rencard te terrorisait. Et que pour cette raison, tu lui laissais un souvenir bien visible. Elle semble appréciée, que par son bassin qui remue contre ta main. Ses doigts qui empoignent ta nuque te font frémir. Tu aimerais bien sentir ses ongles te griffer le dos alors que tu la baise sans aucune délicatesse. Enfin, bien entendu, tu serais tendre avec elle, parce qu’elle est menue, mais un bon coup de bassin n’a jamais fait de mal à personne. Et tu ne pourrais pas retenir à tout jamais ton côté bestial.
 
Tu lui ordonnes de se relaxer, de s’abandonner aux sensations que tu lui procure. Elle est belle. Encore plus quand elle se retient de gémir son plaisir. Tu lâches son téton pour venir l’embrasser, laissant ta langue s’enfoncer dans sa bouche sans aucun avertissement. Elle crée une danse avec son homologue. C’est à cet instant qu’elle lâche prise. Jouit sur tes doigts. Tu souris tendrement, avant de rompre le baiser. Elle recule le bassin, forçant tes doigts à se retirer. Tu grognes un peu, posant ta main sur ses fesses pour la ramener vers toi, glissant à nouveau tes doigts en elle. «Je n’ai pas fini…» Tu reprends les mouvements, plus doux. Alors que tu sens encore son orgasme qui pulse sur tes doigts. Tu reviens l’embrasser, juste assez longtemps pour sentir les vibrations de l’orgasme qui se calme. Tu retires doucement tes doigts, effleurant son bouton de chair. Ta main quitte son jeans. Gourmand, tu apportes tes doigts à ta bouche. Tu viens les lécher, la goutant par le fait même. Tu souris, satisfait. Elle a un gout doux amer. Un gout qui te plait. Rien pour aider à calmer ton érection.
 
Gentleman, tu viens reboutonner son jeans et refaire sa ceinture. Tu n’allais pas la laisser se démerder seule quand même. Tu essuie tes doigts encore humides contre ton jeans avant de la regarder. «Après ça, si tu me dis que tu veux pas le rencard, c’est que t’es une putain de tarée.» Tu souris, avant de craquer ta nuque. Doucement, tu la soulèves pour la reposer contre le banc à tes côtés, puis tu te lèves. Tu étires ton corps, te mettant face à elle. Tu ne peux pas cacher ton érection, qui est bien là, dans ton jeans, à sa vue. Tu viens sortir ton paquet de clope puis tu en sors une avant de l’allumer. Tu tires dessus, avant de te laisser tomber sur le banc en face d’elle. Tu commences à avoir hâte de sortir d’ici pour aller prendre un morceau avec elle et surtout pour libérer les tensions qui affût dans le sud de ton corps. Ta clope au bout des lèvres, tu la fixes, croisant les jambes. Elle est encore plus belle, les joues rosées, le cœur battant. Tu peux facilement l’imaginer, nue, étendue sur un lit, cambrer alors que tu la lèches et que tu lui fais le même traitement qu’il y a quelques minutes.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Sam 10 Avr - 22:21

LET'S PLAY.
Il te fait rire de nouveau avec sa réponse. Tu n'es pas bien certaine qu'il s'agisse d'une plaisanterie pourtant. Tout comme le surnom atypique qu'il t'offre. Mais qu'importe tout ça dans le fond. Il t'amuse tout en te faisant du bien. Il est pas mal doué quand même. Surtout parce qu'il arrive assez rapidement à te faire oublier ce qui te fait rire ou te tend chez lui, avec ses caresses. Caresses de plus en plus précises, puisqu'il enfonce deux doigts en toi. De quoi t'arracher une vive plainte, tout de suite. Mais c'est bien la suite qui te tue le plus, évidemment. C'est bon et douloureux à la fois. Douloureux, parce que c'est vif et puissant. Parce que ça te tombe brutalement dessus. Parce que tout ton corps se tend et supplie pour toujours plus. Et tu penses évidemment à ce moment où vous allez vous rencontrer de façon plus intime encore. Parce que tu comptes bien lui ouvrir la porte de ton appartement, pour qu'il percute ton bassin du sien. Pour qu'il te possède avec la rage qu'il y a forcément dans ce corps large et haut. Tu ne peux imaginer qu'il soit capable uniquement de tendresse. Ce serait trop dommage.

Mais tu en doutes moins encore alors qu'il a autant de facilité à te faire jouir. Et qu'il t'offre un retour à la réalité, en douceur. Ses doigts continuant leur danse avec plus de lenteur, pour te raccompagner. T'es à bout de souffle, t'as un petit sourire au coin des lèvres et autant dire que t'es satisfaite au possible. Quand il retire enfin ses doigts, c'est pour les porter à ses lèvres. Tu le regardes faire, un petit sourire toujours bien en place sur ta bouche. Parce que c'est diablement sexy la gourmandise que tu lis et vois sur son visage et dans son regard en cet instant. Et que ça te donne encore plus envie de lui. Et il est sympa le tatoué, il prend le temps de refermer ton jean et de reboucler ta ceinture. Tu te laisses faire bien sûr, le regard toujours sur son visage. Mais sa remarque te fait plisser le nez. « C'est comme ça que tu parles aux nanas que tu veux charmer ? » Que tu ironises en reposant tes fesses à même le banc.

Et de son côté, il se relève. Pour se griller une nouvelle cigarette et s'installer sur le banc en face du tien. « Ca va, c'est pas trop inconfortable ? » Que tu l'interroges en désignant son entrejambe, d'un coup de menton. Tu espères bien que ça l'est. Il mérite bien de souffrir un peu pour être ce bourrin qu'il sait un peu trop bien être à ton goût. D'autant plus que ce n'est qu'une histoire d'heures avant qu'il ne puisse se soulager entre tes cuisses. A moins qu'il ne te fasse changer d'avis par son comportement, entre temps. C'est une possibilité aussi ça. Parce qu'il a l'air capable de tout. Mais fort heureusement pour lui, le temps passé à lutter contre ses propres mauvaises manières, devrait être un peu ralenti. Puisque tu sens qu'en bas ça s'active un peu plus sérieusement. Assez pour que la grande roue se remette peu à peu à tourner. Lentement. Plus que d'ordinaire. Mais sûrement.
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Dim 11 Avr - 0:11

T’as un sourire quand l’orgasme prends place en elle. Ça te fait plaisir de la voir réagir ainsi aux caresses que tu lui as offert. Comme si c’était un cadeau du ciel. Tu grogne un moment avant de faire craquer ta nuque. Avec délicatesse, tu laisses une dernière caresse sur sa fleur puis tu viens refermer son jeans, ainsi que sa ceinture. Tu es un peu gentlemen quand même. Tu la poses sur le banc à côté de toi avant de hausser les épaules. «Hey, ma bichette, je t’ai déjà séduit, du moins, j’ai séduis ton entre-jambe, nah? Tu préfères un autre aperçu?» T’as un sourire au moment où tu te poses sur l’autre banc en face d’elle. Le cou qui craque encore, tu viens allumer ta clope puis tu soupire de bien-être. Sa question t’arrache un léger rire. «Ça t’intéresse vraiment? Parce que pour de vrai, j’ai hâte de virer ce jeans qui me compresse la queue, quoi.» Faut pas se leurrer, si ça continue, tu vas avoir les couilles bleues! Tu aimerais bien qu’elle se mette à genoux pour la prendre entre ses lèvres, mais bon. Tu ne veux pas qu’elle se sente attaquée, alors tu ne dis rien de plus.

La grande roue finit par faire un petit mouvement. Tu fronces les sourcils. Tu es tout de même soulagé de la voir enfin bouger. Tu reposes ton regard sur elle, avant de sourire. «Mon invitation tient encore, Anna. Je n’ai pas envie de jouer le connard avec toi, étrangement. Tu devrais presque te compter chanceuse.» Tu souris encore, amusé. C’est vrai qu’elle a un truc qui te calme, qui t’apaise. Elle a su percer une partie de ta carapace. Tu ne te vois pas nécessairement la basculer afin de la dominer. Non. Tu pourrais lui faire l’amour. La coucher doucement sur le lit, te maintenir avec un bras, alors que ton autre remonterait sa jambe pour un meilleur accès. Putain plus tu penses à ça, plus tu sens ton sexe pulser. Tu pourrais jouir, sans même qu’elle ne te touche. Après, ton boxer serait dégueulasse. Autant penser à autre chose. Tu détournes le regard avant de finir de consommer ta clope. Bien que la grande roue tourne vachement lentement, vous arrivez presque à la fin du tour. Doucement, tu te relèves, venant à côté d’elle. Ton bras qui se pose sur ses épaules.

Doucement, tu viens relever son visage pour l’embrasser avec tendresse. C’est affreusement bon. Tu souris contre sa bouche. «J’pourrais étrangement m'habituer à cette bouche.» Tu viens la caresser avec ton pouce avant de reculer doucement. Vous arrivez enfin en bas. Le vigil qui s’excuse milles fois, alors que toi, t’es perdu dans son regard. Tu finis par te lever, prenant sa main doucement pour l’aider à descendre. Tu viens passer ton bras autour de ses épaules, ignorant les collègues que tu croises, puis tu avances pour sortir de la foule avec elle, prêt à menacer peu importe qui l’importune. «Alors, je te ramène où? Chez moi? Au restau? Chez toi, qu’est qui te ferait plaisir?» Tu la regardes, gardant ton bras autour de sa nuque. Tu ne lui as pas demandé son autorisation, mais tu comptes bien prendre ce droit, enfin… Jusqu’à ce qu’elle te le retire. Tu regardes l’heure avant de t’étirer. Tu ne dirais pas non à aller chez elle, récupère du linge et la ramener chez toi. Tu es à l’aise avec elle, peut-être même un peu trop pour que tu lui proposes de venir chez toi, comme ça.
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Dim 11 Avr - 22:58

LET'S PLAY.
Tu fronces un peu les sourcils lorsqu'il utilise une fois de plus, ce surnom un peu stupide. Que tu ne comprends pas bien. Parce que tu ne saisis pas tout à fait à quel moment vous êtes devenus à ce point intimes et proches tous les deux. S'il pense vraiment que le fait que tu l'ais accepté dans ton pantalon, lui donne le droit à tout. Dont le droit de croire que vous êtes soudainement quelque chose tous les deux. Impossible de savoir à quoi il pense. Mais tu n'as pas plus envie que ça de l'interroger là dessus. « Non merci. Pas tout de suite. » Que tu lui réponds très sérieusement, en haussant les épaules. Plus tard peut-être. S'il continue de bien se comporter. Tu n'es pas sûre qu'il soit capable de le faire bien longtemps ceci dit. Il a tout de la brute épaisse qui ne sait pas tout à fait se mesurer pour le coup. Et mine de rien, toi tu t'intéresses à ce qui se passe dans le sien de pantalon. Tu lui demandes si ce n'est pas trop inconfortable. Quand bien même tu penses connaître la réponse à cette question.

Tu ne prends pas la peine de lui répondre. Tu n'as pas l'intention de te foutre à genoux ici et maintenant pour le soulager de ta bouche. Un peu de dignité et de respect pour toi même. En revanche, tu lèves les yeux au ciel quand il prétend que tu dois te considérer comme chanceuse. Tu ne sais pas trop quoi en penser pour le coup. Tantôt il est presque adorable. Tantôt il se comporte comme un abruti fini. « Chanceuse que tu t'intéresses à moi ? Pourquoi ? T'es genre un prince charmant c'est ça ? » Que t'es quand même bien obligée d'ironiser. Parce qu'il te donne le bâton pour se faire battre. Même lui ne peut pas le nier. Lui qui est de nouveau à profiter d'une clope, assit en face de toi. Clope bien vite terminée. Pour lui permettre de retrouver sa place à tes côtés. Où il a vite fait de récupérer ton visage. Puis, surtout, ta bouche caressée et embrassée par la sienne. Tu te laisses faire. Sourire qui s'étale quand il commente la chose. « Même quand elle dit des choses que tu n'as pas envie d'entendre ? » Que tu demandes, amusée.

Et arrive enfin le moment où vous êtes libérés de cet enfer de grande roue. Tu ne te fais pas prier pour quitter la nacelle en compagnie de monsieur l'armoire à glace. Pas dérangée par son bras réconfortant et rassurant sur tes épaules. Tu te sens forcément moins en danger, en compagnie d'un homme de ce genre à tes côtés. Presque un garde du corps. « On va au restau ! Ensuite, selon comment ça se passe ... On avisera ! » Parce que tu n'es pas certaine que ça se passera bien. Et que tu ne sais pas encore si tu préfères le ramener dans le confort de ton appartement ou si tu seras assez courageuse pour aller t'enfermer avec lui, chez lui. C'est toujours la vraie question qui se pose quand vient le moment de passer la nuit en charmante compagnie. Surtout pour toi qui a une certaine notoriété et ton lot de timbrés accrochés aux basques. Il te faut toujours y réfléchir à deux ou trois fois avant de faire quoi que ce soit. En sachant que tu aurais (trop) vite fait de te foutre en danger.
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Lun 12 Avr - 2:49

Elle est brillante cette femme. Ça te fait rire, sourire. Tu lui mentionnes que tu pourrais facilement être pris dans ses filets à la belle. Tes doigts sous son menton, tu en profites pour embrasser ses pulpeuses. Tu caresses sa joue, ses lèvres puis tu l’aide à se redresser alors que vous arrivez enfin en bas. Tu la gardes contre toi. Elle est si petite la belle demoiselle. Ça te charme. Tu embrasses sa tempe avant de la presser un peu plus contre toi quand on vous remarque. Après c’est simple. Toi, le grand ours et elle, la jolie princesse. Tu fais craquer ta nuque avant de la détailler. Tu hoches la tête. «Vas pour le restau! J’ai la dalle. Tu veux manger quoi ma princesse?» Tu la traite comme si c’était ta petite copine. Parce que c’est ce que tu dois faire. Parce que ça ne changera pas. Tu vas être comme ça avec elle. Doux, brusque, maladroit. Tu passes une main sur le haut de ton crâne puis tu viens la regarder. «J’ai ma moto par contre… J’espère que tu n’es pas trop peureuse ma jolie...» Tu souris avant de la serrer un peu plus contre toi.

Tu continues de marcher vers la sortie, Il y a du monde. C’est impressionnant de voir une grande roue s’arrêter. Alors valait mieux que tu quittes rapidement. Tu savais que la belle était un visage dit public alors plus tu attendais, plus il y avait des risques qu’elle se fasse remarquer, donc toi aussi. Tu te rendis vers ta bécane, la tenant encore contre toi. D’une main tu lui tends ton casque, alors que de l’autre, tu viens démarrer la harley. Le ronronnement de la moto est magnifique. Tu lui fais un clin d'œil. «Tu as déjà fait de la moto? Je te promets de ne rien faire de dangereux… Je veux juste que l’on s’éloigne un peu de la foule avant… Je n’aimerais pas que l’on soit déranger.» Tu lui souris encore avant de venir enfourcher ta bécane et attendre qu’elle prenne place derrière toi. Tu n’as pas de casque, mais tu n’as pas peur. Tu connais très bien les routes sinueuses de Londres et surtout beaucoup de chemin. Tu attends qu’elle passe ses bras autour de toi avant de démarrer. Tu poses une main chaleureuse sur les siennes puis tu roules vers un petit restau que tu aimais bien.

Rendu à destination, tu viens l’aider à descendre de la moto puis tu fais la même chose, avant d’éteindre l’engin. Doucement, tu viens caresser sa joue. «T’es… ravissante, même les cheveux défaits.» T’as un sourire puis tu replaces une mèche de cheveux puis tu reviens vers elle. Ton bras passes autour de ses épaules puis tu reprends la route vers l’entrée du petit restau. T’as l’habitude de te rendre là. Tu as l’habitude de venir manger à cet endroit avec tes potes du boulot. Tu souris doucement, demandant une table pour deux. «J’espère que ça va te plaire… J’adore ce petit restau. Le personnel est chaleureux.» Tu viens te poser à la table, attendant qu’elle fasse de même puis tu viens lui caresser la joue encore, du bout du pouce. «Je suis incapable de ne pas avoir envie de te toucher… Ta joue, ta peau… Si douce… On t’as dit que tu étais magnifique?» Tu espères qu’elle ne te prenne pas pour un psychopathe, mais c’est presque ça… Tu es si tactile avec elle...
Annalicia Castillo
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Annalicia Castillo
Since : 16/02/2021 SMS : 291
Lun 12 Avr - 20:39

LET'S PLAY.
Tu fais un peu la moue alors qu'il continue de te traiter comme une vraie princesse. Tu ne sais toujours pas comment réagir avec lui. Tu ne sais que penser de lui non plus à vrai dire. Parce qu'il contourne et évite la discussion. Tu pointes du doigt un peu trop précisément, t'en es bien consciente. Mais si tu es habile pour ça, il l'est tout autant pour détourner l'attention. Et ça te fait rager silencieusement, autant que ça t'amuse. Chacun son talent il faut croire. « Du moment que ce n'est pas un truc trop chic où deux haricots nagent dans cinq millimètres de sauce, tout me va. » Parce que tu ne sors certainement pas dans des restaurants pour ce genre de repas. Mais tu te doutes qu'il en va de même pour lui. Tu ne l'imagines vraiment pas s'installer à la table d'un truc ultra guindé. Où il faut être discret et bien habillé. Mais le simple fait de l'imaginer dans un truc du genre, t'amuse. Alors t'es persuadée que non, ce n'est pas ce qui l'intéresse. « Tu plaisantes ? J'adore ça ! » Même si tu ne possèdes pas de moto toi même, ça ne sera pas ton premier voyage, accrochée au dos de quelqu'un.

Une fois que vous arrivez devant l'imposante Harley, il te tend son casque que tu récupères sans rechigner. « Très bonne idée. » Parce que toi non plus, tu ne tiens vraiment pas à attirer l'attention sur toi. Et sur vous. Il suffit qu'une personne te reconnaisse et t'accoste, pour que bon nombre d'autres aient la même envie. Or, tu n'es pas d'humeur pour ça. Surtout si ça se termine en vrai bain de foule. Et pour couronner le tout, en compagnie d'une montagne de muscles qui risque de ne vraiment pas apprécier et supporter la chose. Et qui pourrait bien perdre patience. Surtout s'il se rend compte que beaucoup de "fans" profitent des selfies et des autographes, pour poser leurs mains sur toi. Que ce soit pour tripoter "innocemment" tes cheveux qui attirent et intriguent. Ou carrément des mains sur ta chute de reins. Tu ne te laisse évidemment jamais faire. Mais ça ne les empêche pas du tout d'essayer, à tous les coups ou presque. Or, tu penses vraiment que ça pourrait le faire vriller ça.  Non pas par jalousie. Mais en raison de son métier et de son passé.

Tu ne te fais donc pas plus prier pour prendre place dans son dos et enrouler tes bras autour de sa taille. Soit, tu n'en fais pas tout à fait le tour. Il est large. Tu es petite et menue.  Mais c'est agréable, il te faut bien l'admettre. Comme le sentiment de liberté qui vient avec une balade en moto. Même si celle ci est de courte durée. T'es déjà à redescendre, une fois qu'il est arrêté devant un petit restaurant. Tout à fait le genre que tu apprécies et dans lequel tu aimes à te rendre. Ton regard est dirigé dans cette direction, quand finalement le tatoué te rappelle à lui par une douce caresse et un compliment qui te fait sourire.  Et tu le suis pour prendre place à une table. De nouveau, interrompue dans ta découverte des lieux par sa main qui caresse tendrement ta joue et ses mots qui complimentent. Peu de personnes ont le pouvoir de te garder silencieuse aussi longtemps. « Tu veux la vérité ou un mensonge ? »  Que tu t'amuses en attrapant déjà le menu pour zieuter dedans. « Que me conseilles-tu de prendre ? »
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