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 Not Business Affairs (Hux/Clo)

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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
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Mar 16 Mar - 22:18

Outfit @Huxley Fitzgerald


Clover est assez fière de son stratagème. Elle passait devant la vieille Jane , la tête aussi haute que l'était la robe sur ses cuisses. Immédiatement le jugement fût présent. La secrétaire l'avait connu adolescente, sans responsabilité et continuait de penser -à tort- qu'il ne faudrait toujours l'en gratifier. Elle savait surtout qu'il fut une époque toute les raisons étaient bonnes pour faire voltiger sa petite culotte par mont et par vaux. Le fait que la jeune femme ait grandis lui avait échappé mais pas que sa libido était toujours aussi envahissante sur ou sous des bureaux de travail. Clover évitait bien évidemment de se laisser aller quand ça pouvait nuire à sa carrière ou au développement de l'entreprise. Mais le sexe avait ses raisons que la raison ignore... Compliqué d'être une jeune femme sexuée et une femme d'affaire respectée.

Attendant les jambes croisées au bureau de son père au plus haut étage de la Moore Uk, elle étudiait pour patienter quelques curriculum vitae mais son esprit était à toute autre chose. Il était à penser à Hux qui ne devrait plus tarder.  Elle avait remarqué sur l'emploie du temps de son père qu'il avait rendez vous avec le policier ce soir et ça l'avait travaillé toute la journée qu'elle avait passé en sa compagnie jusqu'à ce qu'il doive partir d'urgence. « Quel dommage ! » avait elle glissé alors qu'elle avait immédiatement vu une opportunité « Il te reste peu de rendez vous, je m'en charge seule et j'annule ceux que tu dois honorer en personne » Ou pas. Car celui avec Huxley , même si elle ne savait pas vraiment les affaires qui les liaient, elle comptait l’honorer lui !

Jane fait sonner l'interphone intérieur pour annoncer l'arrivé du rendez vous sans préciser que c'est Clover derrière. Parfait. « Laissez le entrer » Elle s'était levée, avait redescendu un peu la fermeture éclaire de sa robe pour en dévoiler un peu plus de son décolleté. Assise désormais sur l'immense bureau du paternel, lorsqu'il pénètre.... la salle, elle pousse du bout de ses cuissardes la chaise « Bonjour monsieur Fitzgerald. Je suis désolée Monsieur Moore ne pourra être ici mais je me suis proposé de discuter avec vous de quelques accords... privées ! » Le sourire de la brunette était aussi large que ses fesses, et c'était pas peu dire.
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Ven 19 Mar - 11:37

(outfit) Le building qui écrase les passants de toute sa hauteur, le genre de bâtiment dans lequel on rentre pas en étant n’importe qui. Y’a qu’des tailleurs et des costumes trois pièces là dedans, des salaires mirobolants et des bagnoles de luxe dans l’parking souterrain. Ca pue le fric, ça pue la bourgeoisie, ça foule les marches devant l’entrée principale à grand coup d’chaussures pointues et d’talons aiguilles. ‘Pis y’a une paire d’écrase-merde qui étale un mégot  à même le sol et qui monte les marches en prenant son temps, quand toutes les autres godasses sont pressées. Mais pas celles d’Huxley. Huxley, il prend son temps, s’fait doubler par les cadres en costume cravate et les secrétaires en jupes crayon, mate quelques culs au passage, sourire narquois aux lèvres. Il fait tache dans l’paysage, pourtant personne a l’air de l’calculer, tous ces foutus gratte-papiers sont bien trop l’nez dans leur agenda. Y’a qu’la sécurité qu’a les neurones qui s’touchent quand il franchit, enfin, l’immense porte vitrée menant dans le tout aussi imposant hall d’entrée.
Sol en marbre, murs en marbre, ça en jette, pas comme le trench délavé et la chemise douteuse que porte le flic qui vient certainement pas là dans l’cadre du boulot. Pas d’insigne à la ceinture, juste un flingue fourré dans son jean, bien dissimulé sous sa chemise et son manteau. Un gars d’la sécu l’approche, l’interroge. Il se s’rait pas un peu perdu pour s’retrouver là ? Son responsable se pointe, lui fout une main sur l’épaule en l’sommant d’fermer sa gueule et d’laisser passer l’homme louche, ordre du grand patron. Hux s’fait adresser un regard curieux, méfiant, nargue l’gardien d’son plus beau sourire et lui adresse l’plus beau d’ses doigts en s’dirigeant vers les ascenseurs. L’avantage quand on a une dégaine pareille, c’est qu’on vous y colle pas, aucun risque qu’la boîte en métal s’retrouve bondée avec lui à l’intérieur. Y’a bien une jolie blonde en tailleur qui s’y trouvait avant qu’il y rentre et qui s’retrouve trop gênée pour en sortir à présent, mais elle fait profil bas quand l’regard de l’irlandais pèse sur elle.

- Joli ch’misier. Qu’il commente simplement avant d’se retourner vers la porte en attendant la fin d’l’ascension. L’employée sort avant lui, le laisse atteindre les sommets tout seul, et Huxley s’pointe au bureau d’la secrétaire d’monsieur Moore où Jane l’accueille avec la même tronche de six pieds de long qu’elle lui adresse à chaque fois.
- Toujours aussi contente d’me voir, Jane ! Allez, c’est pas en faisant cette tronche qu’t’arriveras à m’traîner dans un placard, j’ai des standards, merde !....Elle est pas là, la gamine ?
La secrétaire s’offusque, répond pas et s’contente d’attraper son téléphone pour annoncer l’arrivée de l’irlandais. Huxley attend pas plus, s’dirige vers le bureau de papa Moore où il a été convoqué “de toute urgence”. Hux est pas un chien qu’on siffle, mais vus les billets qu’le patriarche Moore fait pleuvoir au moindre service qu’il lui demande, c’était la moindre des choses que d’rappliquer pour voir ce dont il est question. ‘Pis s’il peut croiser l’héritière dans les couloirs au passage, ça serait toujours ça d’pris, quoiqu’en disent Jane et l’regard noir qu’elle lui a lancé quand il a évoqué la bombe brune.

Huxley pousse les portes du bureau et s’arrête soudainement en découvrant ce qui l’y attend. Des courbes surnaturelles, posées en évidence sur le bureau en bois massif du padre, une Clover dans une position déjà bien évocatrice qui, visiblement, n’attendait que lui, un trèfle qui peut qu’parler à son coeur irlandais, m’enfin c’est qu’un petit plus parce que tout l’reste en elle suffit à l’mettre au garde à vous.
- Mam’zelle Moore ! Huxley sourit, regard entendu posé sur la jeune femme tandis qu’il referme les portes derrière son dos et la reluque de haut, en bas avant d’s’avancer et de s’affaler dans la chaise en face d’elle, genoux écartés, bras étendus sur les accoudoirs. Légèrement en contrebas, il a une vue imprenable sur c’qu’elle cache à peine et, à en juger par cette lueur lubrique qui lui traverse le regard, le spectacle est à son goût. Étrangement, j’suis pas déçu... Laisse courir son regard sur ce corps moulé dans c’te robe qui laisse pas beaucoup d’place à l’imagination, l’arrête sur c’décolleté vertigineux qu’il peut pas croire avoir été ouvert sans arrière pensée aucune, puis s’décide à l’quitter pour lever les yeux vers les yeux bruns d’la jeunette dont il pourrait être le père. C’est pour moi qu’tu t’es faite belle come ça ?

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Jeu 25 Mar - 18:18

La jeune femme avait bossé plus qu'il ne le fallait dans la journée. Lorsque la majorité de ses camarades de classes profitaient de leurs temps libres, elle se retrouvait souvent à devoir gérer des responsabilités dans une entreprise cotée en bourse avec tout un tas de regards sur elle -et  pas toujours sur ses courbes- Alors oui quand l'occasion se présente pour qu'elle se détende un peu , elle ne comptait guère s'en priver. L'occasion se présentait en la personne de Huxley. Le type ne payait pas de mine quand on le voyait débarquer sauf si on espérait un reboot de Magnum . Toutefois il devait bien cacher son jeu. Si il bossait avec le père Moore c'est qu'il était compétent. C'était bon à savoir mais ce n'est pas ce qui intéressait la demoiselle dans l'immédiat. Elle savait surtout qu'il était excellent amant, qu'il avait une verge de bonne taille et un humour qui rendait le sexe encore plus... cocasse.

Elle était bien contente de pouvoir prendre la place de son pére pour ce rendez vous là en particulier . L'endroit ne devrait pas être associé à une pulsion lubrique sauf que là, elle était déjà là et que quitte à avoir les cuises humides autant que ça soit d'un plaisir partagé. Elle n'était pas mécontente non plus de la réaction de l'agent de police. L'étonnement avait vite laissé la place au sourire. Ouf, elle aura sans doute le droit à son coup vite fait. Immédiatement elle l'invite à s'asseoir de manière bien trop sensuelle pour être honnête. Si elle recevait tout les hommes de la compagnie comme ça elle pourrait dire adieu à son héritage. « Ravie qu'une entrevue avec moi ne vous dérange pas alors » Elle pose le bout de son talon entre les deux jambes écartées de Hux et le remonte pour se situer à plat tout prêt de ses bijoux de famille. « Je ne savais même pas que je te verrais. Tu es la cerise sur le gâteau de cette journée éreintante. Par contre... » Elle redescend encore un peu la fermeture éclair de sa robe pour en dévoiler encore de son imposante poitrine et un bout d'emballage de capote . Elle l'avait mis un peu plus tôt en l'attendant « Il est vrai que ta présence a crée chez moi un trouble certain et une envie de … respirer plus librement on va dire. »

Clover laisse son buste partir en arrière pour appuyer sur l'interphone « Jane les affaires dont nous avons à nous entretenir sont extrêmement importantes, veuillez ne laissez rentrez personne. Vous serez payé en heures sup si vous le faite correctement » L'accord mit un certain temps à venir. Sans doute Jane essayait elle de recomposer l'hypocrisie de mise dans le monde du travail. L’héritière reposa ensuite son attention sur Hux « D'ailleurs est ce que je saurais un jour qu'est ce que tu fabriques pour nous  avec mon père? » Tout en parlant elle dessine sur son décolleté quelques voluptueuses formes de l'index pour voir si le regard de son interlocuteur y est attiré. « J’espère que ce n'est pas pour le même genre de petites … non épaisses, larges et... suintantes affaires que nous traitons »
Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mar 30 Mar - 17:31

C’est loin d’être la première fois qu’il pose son cul dans ce fauteuil, Huxley, alors qu’ça fait déjà quelques années qu’il rend des “petits services” au père Moore, moyennant finances. C’pas la première fois qu’il s’assied là, c’est sûr, mais c’est bien la première fois qu’il a la trique dans l’bureau du patriarche. C’est qu’il est pas tellement bandard le vieux, face à celui qui tape que dans l’jeune éphèbe efféminé quand l’occasion s’présente et qu’il a pas une paire de seins à s’mettre sous la dent. Et aujourd’hui, on lui en sert sur un plateau d’argent, au sommet d’un building de luxe, dans un bureau trois fois plus grand qu’son appart’ de merde. Rien qu’le bureau sur lequel est posé l’divin postérieur de Clover doit valoir plusieurs fois son loyer, c’est dire s’il devrait ne rien avoir à foutre dans un endroit pareil. Et pourtant… Pourtant, il y est accueilli comme le messie, comme le sauveur d’la demoiselle en détresse qu’a l’entrejambe qui l’réclame. Elle aurait fait ça avec un autre gars qu’aurait eu rendez-vous avec son père ? P’t’être bien, Hux est pas là pour juger après tout, les filles faciles c’est son créneau, et plus encore quand il s’agit d’bombes atomiques comme celle qui invite son pied entre ses deux cuisses écartées.

- Avec une vue pareille, j’vais certain’ment pas m’en plaindre... Sourire narquois, regard rivé sur le pied qui s’approche plus encore d’son entrejambe qu’a pas perdu d’temps pour commencer à s’dresser. C’est qu’il est réactif, l’irlandais, toujours prêt à satisfaire ces dames, notamment celle-ci qu’a le chic pour l’rendre opérationnel en moins d’temps qu’il lui en faudrait pour ouvrir totalement cette foutue fermeture éclair. Mais il est joueur, Huxley, il résiste encore un peu, pose son regard lubrique sur cette poitrine qu’elle dévoile encore un peu, sur cette capote qui en dit long sur c’qu’elle désire de lui. Profite d’tes poumons ma belle, parce-que tu risques d’manquer d’air une fois qu’j’aurai commencé avec toi... Parce-que c’est clairement pas la tendresse qu’elle lui inspire, juste une sauvagerie animale, un besoin viscéral d’assouvir ses plus bas instincts, d’grogner en la sentant autour de lui, en l’entendant crier l’bien qu’il compte lui faire. Quoique, les cris dans c’bureau c’est p’t’être pas une bonne idée, faudra qu’il songe à lui foutre sa paluche sur sa belle petite bouche.

Elle s’penche en arrière, Hux s’fait pas prier pour river ses yeux sur c’qui s’dévoile un peu sous sa robe, étendre un peu plus son sourire mais s’contenir encore un peu. Clover demande à c’qu’ils soient pas dérangés, et ça l’arrange bien, pas besoin d’se soucier d’une porte qui s’ouvrirait et les surprendrait, c’est qu’ça lui ferait une mauvaise publicité à lui, ‘pis ça rendrait la jeune Moore plus difficile d’accès. Et vu les échanges dont ils ont pris l’habitude, il trouverait vraiment ça dommage.
Clover s’redresse, l’regard du flic s’relève, pas plus haut qu’les seins qu’elle parcourt du bout des doigts en s’questionnant sur la raison d’ses visites à son daron. Mais d’tout c’qu’elle dit, il entend qu’les allusions à c’qu’il a d’conséquent dans l’pantalon et qu’elle encaisse toujours comme une reine.

- Ça, ça risque pas, ma belle, j’ai jamais eu d’telles envies avec ton paternel dans c’bureau... Sans prévenir, Huxley s’lève et dégage son manteau qui s’retrouve en vrac sur l’fauteuil qu’il occupait avant d’se ruer sur la jeune femme qu’il allonge sans ménagement sur l’austère bureau du chef d’entreprise sur lequel il grimpe à son tour. Redressé au dessus d’elle, Hux se hâte à défaire la boucle d’sa ceinture et à défaire l’ouvertur d’son jean avant d’plonger sur Clover dans un soupir brûlant. Par contre, toi, j’compte bien t’prendre dans chaque recoin d’cette pièce. Sur ce bureau, dans l’fauteuil du boss, à même la moquette ou contre la baie vitrée, son cul ou ses seins écrasés contre le verre pendant qu’il la fait jouir. Tu sais parler à c’que j’ai d’épais et large... Lâche-t-il contre ses lèvres en libérant ce dont il est question. Mais il est pas encore question de hâter les choses, la jeune Moore s’est assurée qu’ils seraient tranquilles, c’est bien l’moment d’prendre son temps, d’baiser sa bouche, ses seins, son ventre, ses mains, avant d’se glisser entre ses cuisses qu’son membre caresse dans un avant goût de c’qui l’attend. C’est chaud, c’est doux, ça donne envie d’aller plus loin, d’monter plus haut, mais ça s’contente d’la caresser pendant qu’une main descend plus encore la fermeture d’la robe, libère cette poitrine qui éclôt une fois à l’air libre et dont il s’empare avec avidité, pendant qu’ses lèvres percutent celles d’la belle dans un baiser sauvage, possessif, prometteur, qu’il interrompt qu’pour ces quelques mots : Tes seins m’rendent dingue...

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Ven 9 Avr - 21:49

Clover aimait le luxe, le confort, elle aimait les grands lits où son petit corps mais ses larges fesses et seins avaient de la place. Elle adorait les paysages paradisiaques que seuls une poignée d'élu pouvaient s'offrir. Celle qui est surnommée Caprice par se propre mère a pour réputation de n'accepter que le meilleur. Oui mais étrangement quand c'était pour ce qui lui tenait vraiment à cœur et à corps elle était prête à quelques concessions :  du cambouis sur ses fringues à cause des courses, du vin tachant sa dernière robe lors d'une soirée trop arrosée, un endroit insolite pour coucher sinon. Le bureau, le marbre froid, tout n'était pas particulièrement désagréable mais clairement pas  le nid douillet parfait pour une baise en bon et due forme. Qu'à cela ne tienne elle n'attendait en rien du bon et due forme avec Hux, elle l'en croyait même incapable : c'était ce qu'elle  recherchait le plus chez lui. Aussi n'était elle pas particulièrement subtile . A quoi bon ? Ça finissait toujours en mêlée à moitié nue entre eux. Encore une fois il lui promet de lui couper le souffle et c'est clairement pas en jouant au bingo. Elle prends donc une grande inspiration, mouvant sa poitrine en même temps « J'ai du coffre Hux, il va falloir y mettre beaucoup d'effort »

Elle s'assure qu'ils sont seuls, qu'ils ont le temps pour réaliser les fantasmes que ce grand bureau peut lui inspirer. La jeune femme le questionne sur ses relations avec le propriétaire des lieux alors que son bas ventre aurait plutôt tendance à vouloir penser à tout sauf à son paternel . Elle le provoque encore avec le mouvement de son index sur ses seins mais également avec le choix de ses mots. Et en un instant ça dégénère . Huxley se léve , se défait d'une couche de vêtement et renverse le corps de l'héritière sur le marbre. Cette dernière ravale un petit rire et écarte les cuisses pour bien l'y accueillir. Il commence déjà à  libérer son sexe de son carcan. Elle se cambre et noue ses bras derrière la nuque de son amant occasionnel . « Prouve que tu en as encore l'énergie car tu sais que je peux être insatiable. » Ses lèvres sont à quelques centimètres des siennes lorsqu'enfin son gland reprends sa liberté « Et tu sais ce que j'ai de chaud et humide. Ça fait très bon ménage. » Coup de langue bien dosé sur ses lippes puis elle passe une ses mains entre eux pour écarter le tissus de son string et elle aussi faire un pas vers lui, vers leurs désirs.

Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mer 14 Avr - 12:01



Dernière édition par Huxley Fitzgerald le Lun 10 Mai - 11:27, édité 1 fois
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Lun 3 Mai - 21:27

Huxley Fitzgerald
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Huxley Fitzgerald
Since : 14/01/2021 SMS : 88
Mer 26 Mai - 13:25

Y’a pas à dire, des deux Moore qu’il fréquente, y’en a bien une des deux qu’il préfère, et de loin. Y’en a une qu’a des seins à s’damner, une bouche qu’est du plus bel effet autour d’sa trique, un cul à malmener, un sens des affaires bien particulier. Clover est une aberration pour le milieu des affaires, pourtant, ressemble davantage aux escorts qui le fréquentent sans jamais y plonger, agit comme ces filles faciles qui cherchent qu’à profiter du luxe et des richesses des gars qui les emploient. Mais la Moore est bien au-dessus de ça, parce qu’elle a déjà c’que les autres convoitent. Un empire à hériter, une fortune à dépenser, elle n’a rien à prouver, si ce n’est à elle-même, baise parce qu’elle en a simplement envie, jusqu’à branler un foutu flic ripoux et fauché avec ses seins dans l’bureau même d’son paternel dont elle s’est débarrassée pour arriver à ses fins. Et ça lui plaît, à Hux, cet esprit aussi pervers que l’sien, cette volonté désintéressée, si ce n’est par ce qu’ils font dès qu’ils en ont l’occasion.

Et quand ils le font, ils le font bien, le font sale, sans aucun scrupule pour le propriétaire du bureau contre laquelle vient s’appuyer la main libre de l’irlandais, l’autre enserrant encore la crinière brune tandis qu’il baise seins et bouche dans un concert de grognements et de soupirs brûlants, d’un rire qui s’y mêle doucement aux paroles de la brune sulfureuse.

- C’est beau, autant d’dévotion. Il est narquois, mais il aime c’t’idée qu’la jeune Moore soit du genre à rappliquer sur un simple coup d’fil parce qu’il a juste envie d’s’enfiler la partie d’son corps qu’elle lui proposera. ‘Suffit d’demander, et à en juger par la rapidité avec laquelle il s’est rué sur elle plus tôt, la réciproque semble être une évidence.

L’regard lubrique de l’irlandais perd pas une miette du spectacle qu’elle lui offre, dont il est spectateur autant qu’acteur, de ses yeux sombres posés sur elle aux coups de reins qui s’répètent, à cette érection qui glisse entre ces seins pour finir dans sa bouche. Pantalon sur les chevilles, encore vêtu d’sa chemise hawaïenne, il a qu’les jambes et le cul à l’air, son membre s’trouvant bien au chaud contre la chair d’l’héritière qui reçoit sa déclaration avec amusement. Elle a pas tord, il a l’amour facile une fois qu’il a la trique.

- Qu’est-ce que tu veux, j’suis un sentimental. Son sourire carnassier et son regard licencieur posé sur elle font perdre toute crédibilité à ses propos, y’a rien d’sentimental dans la manière dont il la prend, dont il savoure ce spectacle pornographique plus qu’érotique, dont il abat ses reins plus fort encore, dont son membre glisse plus fort entre les chairs qui le maintiennent. Elles s’raient pas un peu jalouses ? S’amuse-t-il dans un grognement, n’attendant aucune réponse de la belle dont il maintient la bouche autour de son membre de cette main derrière sa tête, le temps de quelques délicieuses secondes.

Puis Hux s’retire dans un énième son guttural, d’sa bouche, d’ses sein luisants d’leurs fluides mêlés, son membre tendu l’étant tout autant et pointant vers ce visage fin dont il s’empare d’une main, invitant la belle à s’relever. L’irlandais l’embrasse goulûment, sauvagement en s’y collant, en la poussant, la retranchant contre la baie vitrée contre laquelle il la retourne et l’écrase sans ménagement, poitrine plaquée contre le verre offerte au panorama londonien tandis qu’ses main relèvent doucement, lentement, la robe moulante d’l’allumeuse jusqu’au dessus de ses  hanches. Faut pas qu’elles s’en fassent, j’ai assez d’amour pour toi toute entière. Et là, tout de suite, pour ce cul qu’il empoigne, cette fente contre laquelle glisse son membre alors qu’il sort une capote d’la poche de sa chemise. Il sort jamais sans, sait jamais qui il est susceptible d’croiser au détour d’un rendez-vous. Le latex s’déroule sur son membre, sa salive s’pose sur une main libre qui vient lubrifier c’que vient enfin trouver sa queue. Salut toi... Regard rivé sur la croupe à laquelle il s’adresse, celle dont il nargue l’entrée jusqu’à la pénétrer doucement, lentement, dans un râle évocateur et l’emprise grandissante de ses mains tenant les larges hanches qu’elles rapprochent toujours plus de son bassin. Hmpf… J’suis pas loin d’demander ton cul en mariage. Mots glissés contre l’oreille de Clover d’une voix rauque, s’contenterait bien dudit cul en guise d’alliance sur cette trique qui y prend ses aises. Dis-moi qu’j’ai l’temps d’te prendre partout avant qu’ton paternel revienne.

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