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 besoin de chaleur / leander

dirty talk ::  time off :: old stuff :: rps
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THE WRITERPUTS THE HOT IN PSYCHOTIC
Reece Baxton
got a fever, can you check ?
Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Lun 15 Fév - 14:28

t'es frustré de fou en t'engageant dans les rues de londres pour rentrer à l'hôtel. parce que la soirée a été parfaite, et que la nuit aurait pu l'être tout autant. l'anniversaire d'un ami, vingt ans, ça se fête. coin vip d'une discothèque réservé uniquement pour vous, bouteilles d'alcool à volonté. bref, tout l nécessaire pour vous péter la tête. vous étiez une vingtaine d'invités, groupe mixte, l'énergie de la jeunesse dans tous ses états. t'as les jambes lourdes d'avoir dansé, surtout avec cette fille, jenna. toute la soirée vous vous êtes chauffés. embrassés. collés. la chaleur qui montait au fil des heures, et t'étais certain de conclure. elle avait même laissé entendre qu'elle voulait bien que tu la ramènes après la soirée. un excellent signe de ses intentions à ton égard. sauf qu'au moment de quitter la boite de nuit, la pluie avait décidé de s'abattre sur la ville, comme bien souvent. et plutôt que de marcher à tes côtés, jenna était grimpé dans ce taxi avec toutes les autres filles. pas de chance reece, c'est pas ce soir que tu vas profiter d'elle. mais t'as son numéro, tu ne comptes pas la laisser filer comme ça. sauf qu'entre-temps, tu dois rentrer. seul. sous la pluie. avec ta grosse veste pour te protéger de l'assaut des cieux. les mains enfouies dans tes poches, tu maudit le ciel d'avoir pété ton plan pour la nuit, les braises au creux de tes reins se refroissant à chaque pas. en plus t'as les pieds mouillés, et l'impression que le froid te pénètre de part en part. l'avantage, c'est que ça t'aide à décuver, à évacuer l'alcool que t'as bu pendant la soirée. arrivé derrière l'hôtel, tu préfères l'entrée arrière que celle de devant, trop éclairée à ton goût, tu vois un type qui s'abrite sous l'avancée de toit. t'es obligé de passer par là. — désolé. c'est sûrement un client qui a oublié sa clef et qui est obligé d'attendre que quelque entre pour en faire de même. te rapprochant, tu fouilles tes poches à la recherche du badge magnétique. — sale soirée aussi ? tu soupires en ouvrant la porte, l'invitant à entrer avant toi. il doit avoir froid, si ça fait longtemps qu'il attend.

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Lun 15 Fév - 15:49

Sous le blouson d'aviateur tu grelottes. Ta chemise hawaïenne est lourde de flotte aussi. Tes pas ils sont lourds pareils, y a tout qui est lourd. La pluie de London s'abat partout dans la nuit et tu sais plus trop où t'es. Ton phone a plus de batterie. Le naseau qui respire encore le parfum des drugs ingérées plus tôt dans la soirée, tu vivotes, ta carcasse avance toute seule comme une grande sur le trottoir. Les véhicules frôlent tes flancs, tu te demandes quelle bagnole te fauchera la première. Pas très loin devant toi se dresse les hauteurs d'un bâtiment que tu devines être le bâtiment. Tu penses que c'est chez Amanda. Les p'tites lumières là-haut, qui datent de Noël. Tu papillonnes des yeux et tu trouves refuge sous le préau. Ton ombre progresse sur le béton sombre et gorgé d'eau. Tu te laisses écraser contre la porte d'entrée en te disant ça va ouvrir tout seul, mais non y a rien qui ouvre tout seul. Fait chier ça, tu peux pas appeler Amanda non plus vu que t'as pas de tel. Tant pis tu restes collé à la vitre, à fixer un point invisible de l'autre côté de la porte. Tes cheveux sont trempés. Des veines rouges apparentes dans le blanc de tes yeux. T'as les pupilles un peu dilatées. Planté devant l'entrée comme ça pendant on sait pas combien de temps, c'est l'arrivée d'un type qui te décolle de ton poste. Désolé, sale soirée aussi ? T'entends mais t'écoutes pas vraiment. Tu reconnais juste une voix de garçon, et une silhouette de p'tit mec. Un sourire te fend la gueule, comme si t'étais content de retrouver un vieux pote.

-- Salut frèèère. Merci pour la porte, t'es un vrai.

Wopla, tu traverses et te voilà dans la chaleur du rez-de-chaussée. T'as pris au moins trente kilos avec la pluie dans tes vêtements, t'as à peine fait trois pas que tes rangers ont déjà bien salopé le sol brillant. Tu renifles, tu t'ébroues, ta crinière éclabousse de l'eau partout. Maintenant qu'il fait clair tu peux voir à quoi ressemble ton sauveur. Il a l'air jeune. Plus jeune que toi. Il t'a posé une question au fait. Tu réfléchis à la réponse, que t'as toi-même pas.

-- Euh ouaiiis, nan. J'suis venu rejoindre quelqu'un ici, mais j'sais pas c'est quoi le numéro de l'appart. Mon phone est mort.

Et les noms sur les étiquettes à l'entrée étaient pas à jour. Ce constat t'arrache un rire amusé.

-- Ouaip, si, si. P't'êt que j'me suis trompé d'immeuble. De ville. De planète. Et toi, tu vis ici ?

T'es fatigué. T'as envie d'un bon bain bien chaud et des caresses d'une partenaire. Une, ou un.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Lun 15 Fév - 16:09

en l'observant un peu plus attentivement, tu te rends compte qu'il a l'air complètement à l'ouest. déjà, avec un blouson du style aviateur, c'est pas trop l'habillement idéal pour cette période de l'année. et si toi t'as souffert de la pluie, lui semble complètement trempé, ses habits dégoulinant d'eau. il te fait presque pitié, et tu préfères ne pas penser au froid qu'il doit ressentir. t'en frissonnes. lorsqu'il te remercie, tu trouves son langage amusant, il parle comme un jeune alors qu'il doit avoir déjà plus de trente ans. mais tu préfères ça qu'un type guindé te prenant de haut à cause de ton jeune âge. — de rien. en tout cas, il a l'air d'avoir fêté cette nuit, à en juger par ses yeux éclatés de rouge, ses pupilles dilatées, l'air heureux sur son visage. il t'explique qu'il est venu ici pour rejoindre quelqu'un, sauf qu'il ne sait pas dans quel ... appartement ? tu hausses un sourcil, parce que visiblement il s'est trompé d'endroit. son téléphone sans batterie, ou éclaté t'en sais rien, l'empêche de contacter son pote, ou sa pote. l'inconnu semble tout à coup se rendre compte qu'il n'est pas du tout au bon endroit. t'en rigoles, secouant la tête en revenant vers lui, toi qui t'apprêtais à appeler l'ascenseur. — euh ... c'est un hôtel, je pense pas que ton pote habite ici. tu hausses les épaules, désolé pour lui. parce qu'il va devoir retourner dans la rue, se plonger à nouveau sous la pluie torrentielle. et dans son état ... t'en as mal au coeur. t'as beau être un crétin, du genre à te retrouver dans les plans foireux, les embrouilles, à te battre à la moindre offense, tu n'en possèdes pas moins un coeur. et ce type, tu pourrais tout à fait te retrouver dans sa situation un jour ou l'autre, c'est tellement ton genre. alors t'hésites une seconde, avant de lui proposer un plan. — je loue une chambre ici pour quelques temps. tu veux monter te sécher un peu, le temps de boire un truc et de charger ton phone ? t'es débile, de proposer ça à un parfait inconnu. tu ignores tout de lui. son nom, s'il est clean, si c'est pas un plan de la mafia russe pour te cogner, encore une fois. mais t'es comme ça reece, t'ignore le danger, préférant le côtoyer, parfois d'un peu trop près. mais ce soir, t'as besoin de te réconforter, parce que ta fin de soirée a été pourrie. et ce type, il a l'air autant en galère que toi. alors c'est titubant légèrement, merci à l'alcool de la discothèque, tu entres dans l'ascenseur, te demandant si il va venir, ou pas.

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Lun 15 Fév - 17:01

Meeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde c'est un hôtel. Tu clignes des yeux Leander, t'as du mal à y croire.

-- Me disais bien... qu'un truc... clochait...

Les décorations de Noël. Tu passes les doigts dans ta crinière sale, avant d'hausser des épaules l'air de dire, tant pis. Suis là maintenant, vais pas bouger. Pis j'ai un p'tit gars avec moi maint'nant.

-- Vraiment sympa copain. Emmène-moi aux cieux.

Tu vas pas refuser si c'est si gentiment proposé. Toi la honte ? Jamais, tu sais pas ce que c'est. Tu trottines jusqu'à la cage d'ascenseur avant de te ranger correctement dans ce cube. T'es appuyé au miroir, poings dans les poches, le même sourire débile qui tangue sur tes lèvres. La promiscuité soudaine t'amuse.

-- On dirait les films d'horreur où... l'en a un qu'invite l'aut' et... c'est pour lui planter un couteau dans l'dos. Tu vas tirer le rideau comme dans Psychose ?

Tes épaules bondissent sous un rire muet. En vrai c'est pas grave si le p'tit boy veut vraiment te planter, tant qu'il fait ça bien. Et puis tu noteras l'effet dramatique et sa mise en scène. Tu te demandes à quoi ça ressemble les chambres d'ici. Désolé Amanda, pour une partie de jambes en l'air, ce sera pas ce soir.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Lun 15 Fév - 17:21

lorsqu'il te demande de l'emmener aux cieux, t'as le visage qui s'éclaire d'un sourire. en temps normal, t'aurais pensé qu'il te draguait, et t'aurais même osé jouer à son jeu. parce qu'il est plutôt pas mal comme type. sauf que dans l'était dans lequel il semble se trouver, t'as pas l'impression qu'il cherche à te provoquer, à te chauffer. mais sait-on jamais. peut-être que finalement, la soirée pourrait prendre une toute autre tournure. mais tu préfères ne pas trop t'enflammer pour l'instant, lui laissant la porte ouverte. — allons-y alors. tu ricanes tandis que les portes se referment sur vous. la proximité avec ce type est un peu bizarre, une drôle d'ambiance règne dans l'ascenseur. l'inconnu qui s'amuse à comparer votre situation à une scène de film d'horreur, où tu sortirais un couteau de ta veste pour la lui planter entre les omoplates. le film psychose ? t'es pas très cinéma, tu n'as aucune idée de quoi il parle. mais c'est vrai que vu l'heure avancée et vos états respectifs, ce n'est pas très ... rassurant ? — non, t'inquiète pas. moi les ascenseurs, c'est plus un kiff de cul que de sang. tu ne sais même pas pourquoi tu parles de ça avec lui. tu ne le connais pas. mais l'alcool et les quelques joints fumés pendant la soirée qui éclatent tes barrières, ta retenue. tu te souviens d'ailleurs d'une folle baise avec une meuf, où vous aviez bloqué l'ascenseur exprès au dernier étage pour ne pas être dérangés. enfin bref. finalement les portes s'ouvrent, et tu l'emmènes jusqu'à ta chambre. l'intérieur est spartiate, c'est pas du haut de gamme. un lit double au milieu, deux tables de chevet. une sorte de bureau, une télévision au mur, un mini-réfrigérateur et une commode. ah, et une salle de bain avec douche à l'italienne. c'est pas le luxe, mais c'est le strict nécessaire. c'est plus ou moins bien rangé. tu indiques ta table de chevet en enlevant tes chaussures. — le chargeur est là-bas. n'ayant pas envie de tout mouiller, tu suspends ta veste derrière la porte. t'as hâte de te glisser sous la douche. mais tu dois attendre qu'il s'en aille, et visiblement, c'est pas pour tout de suite. — tu veux de l'eau, ou autre chose ? à part de la bière, t'as pa grand chose, en fait. ah, et tu as ... toi ? mais comment te proposer à lui sans te prendre un vent en retour ?

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Mer 17 Fév - 16:12

Qu'on se le dise les jeunes c'est pas un truc qui t'arrive souvent........ 'fin si mais beaucoup moins les garçons quoi. Quoiqu'une fois un type est allé te trouver jusqu'à ta loge pour t'offrir du champagne, et après... et après... Personne a besoin de détails mais voilà c'était chouette. Très chouette même. Tu t'es demandé ce serait quand la fois prochaine mais y en a pas eu qui ait eu autant d'audace depuis. Tu reviens un peu sur terre quand l'autre te fait un sous-entendu que tu captes pas trop, t'as les synapses en tambouille et tu te contentes de rire automatiquement comme une réponse préenregistrée aux intonations qui varient quand même. L'ascenseur ouvre alors ses portes et vous émergez dans un couloir, avant de re rentrer dans une autre porte. Celle-là elle mène à la chambre du gamin, et tu regardes en levant tes yeux au plafond comme si c'était un palace mystique.

-- Ouaaaaaaaah... In-croy-aaaaaaable !

Tu te fous pas de sa gueule, ça t'impressionne vraiment.

-- Merci pour l'chargeur.

En fait tu sais même pas s'il fit avec ton tel mais bon tout est connecté maintenant et tu poses le genou au sol avant de rentrer l'embout dans la prise. Un petit bruit d'insert, ça match, t'es content, tu reposes délicatement l'objet électronique en équilibre comme si un faux contact pouvait annuler la recharge. T'as un peu trop l'habitude des chargeurs qui déconnent, en même temps tu fais jamais gaffe Leander.

-- Ouaip, une p'tite eau citronnée. Avec un glaçon... et...

Mais bon il peut te servir ce qu'il veut, tu t'en fous. T'es déjà bien heureux d'être monté si haut, ça te fait un peu oublier Amanda qui attend sûrement que t'arrives. T'approches du mec dans son dos, à pas feutrés, comme un animal guette sa proie entre les buissons. Et tu regardes par-dessus son épaule pour voir ce qu'il fait. Avant de retirer ton blouson épais et lourd, t'as oublié de le faire en entrant. Tu sens un peu le chien mouillé en vrai.

-- En fait c'est moi le glaçon. J'suis trempé jusqu'aux os mon grand, t'aurais pas... une serviette ? Un truc chaud ? T'sais, j'pensais me sécher dans les bras d'Amanda, mais ce soir ça va pas êt' possible j'crois bien.

Alors il va te falloir un nouveau maître, petit clébard.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Mer 17 Fév - 16:56

il semble étonné, en bien, par ta chambre, alors que c'est complètement spartiate. pas très accueillant, peu chaleureux ... une bête chambre d'hôtel habitée par un jeune homme totalement bordélique. mais pour l'instant, tu n'as rien de mieux à lui proposer, il devra s'en contenter. et venant d'un inconnu, tu te doutes qu'il obtienne mieux autre part. te remerciant pour le chargeur, il s'empresse de brancher son téléphone. — tu m'en demandes un peu trop là. tu rigoles en ouvrant le frigo, tirant deux petites bouteilles d'eau. posant la sienne sur la table, t'ouvres la tienne quand tu sens une présence, juste derrière toi. tu continues à boire, comme si de rien n'était. son souffle chaud sur ton coup te fait frissonner, tu te demandes si il va ... non, tu divagues reece. pourquoi irait-il t'embrasser le cou ? finalement il recule, ôtant sa veste. tu t'autorises à respirer à nouveau, comme pour évacuer le coup de chaleur soudain. — tu t'appelles comment ? parce que tu n'aimes pas ignorer le prénom de ceux que tu invites dans ta chambre, tout simplement. l'inconnu t'avoue être complètement gêlé, et vu l'état de ses habits, tu peux parfaitemment l'imaginer. toi-même tu ne fais pas le malin, grelotant un peu. sauf que niveau chaleur, t'as pas grand chose à lui proposer. — la bouilloire est pété, j'peux pas t'offrir de thé. tu peux faire sécher tes habits dans la sale de bain ... sauf que ça implique qu'il se déshabille, et qu'il reste ici le temps que ses vêtements sèchent. t'as pas envie d'attendre autant de temps avant de filer sous la douche, de te glisser dans tes draps moelleux. merde reece, pourquoi tu t'es embarqué avec ce type ? — t'as que moi pour te réchauffer. sourire amusé, parce que ta phrase, il peut la prendre dans les deux sens. à lui de choisir. mais ton tshirt est aussi trempé, alors tu l'enlèves, le balançant dans le panier à linge sale. tu frissonnes encore une fois. merde, tes tétons pointent, ta peau se hérisse.

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Mer 17 Fév - 17:47

-- Appelle-moi Ander.

Et t'as un sourire mystérieux pour accompagner ce surnom cool que t'aimes balancer comme tes chemises. Sous la tienne d'ailleurs tu frissonnes, tu l'enlèves pour la faire dormir avec ton blouson. Reste ton t-shirt blanc qui te colle la peau comme une couche lourde et froide trop proche de toi, t'aimes pas ça. Le p'tit mec te dit, plus de bouilloire, donc pas de thé. 'T'en fous toi, le thé t'as jamais aimé, ça a un goût de terre. Par contre l'information qu'il te partage juste après le thé attire ton attention, tu te redresses droit quand t'apprends que tu peux faire sécher tes sapes dans la salle de bain. Et alors que t'es tenté d'aller voir à quoi cette dernière ressemble, p'tit mec se propose comme chauffage humain alors qu'il se déleste de son haut pour dévoiler une paire de mamelons bien dodus.

-- Oh.

En voilà une chose intéressante. Tes yeux bleus s'attardent sur ces deux petites proéminences. Tu te rends pas compte que ça se fait pas trop, encore moins quand on voit le sourire coquin qui s'aligne à tes commissures. Un pas, puis deux, ta démarche chaloupée te fait bouffer la distance qui te sépare de ton cadet. Tu le dépasses de presque une tête. Lui et sa crinière charbon, ses mirettes claires. Et puis ces lèvres putain de charnues. Tu te demandes bien ce que ça vaut pendant la pipe tout ça.

-- Et toi, ton nom, c'est quoi ?

À son oreille tu murmures, bien trop près de lui pour le poste d'étranger que t'es censé occuper ce soir. Ramassé au bord de la route, le chien que tu es semble avoir trouvé une niche toute douillette où passer la nuit. Du moins c'est ce que laisse entendre tes paumes qui remontent vers ces hanches anguleuses. Tu prends le temps d'humer le parfum qui s'écoule de la jugulaire au plus jeune. Il respire le juvénile, les soirées tardives, les bêtises, les expériences entre amis. Tu sais pas trop de quel bord il est, peut-être même que tu te méprends à mort et qu'il aime que les nanas. En vrai tu penses pas, tu réfléchis jamais.

-- Dis, tu voudrais pas m'débarrasser d'mon haut pour voir ?

Ta seconde peau trempée qui dessine les contours de tes muscles.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Mer 17 Fév - 18:09

lorsque tu te tournes vers lui, tu remarques ses yeux pointés sur toi, sur ton torse. sur tes tétons dressés. tu connais ce regard d'envie, de désir. finalement, la soirée va peut-être bien se terminer en beauté. ander, tu connais enfin son identité, se décide à faire quelques pas dans ta direction, d'une démarche lente, presque féline. t'as l'impression de n'être qu'une proie, situation enivrante à laquelle tu te prêtes bien volontiers. lorsque son visage se rapproche, tu te demandes si il va oser t'embrasser, mais finalement c'est à ton oreille qu'il chuchote. curieux sur ton identité, pourtant tu te dévoiles sans hésitation. — reece ... murmure tandis qu'un frisson remonte le long de ta colonne vertébrale, parce que tu sens les mains d'ander se poser sur tes hanches. merde, tu ne peux plus reculer maintenant. mais en as-tu seulement envie ? clairement pas. tu soupires d'aise quand il hume ton cou, toujours sans le toucher. début de frustration, parce que t'es un sanguin reece, t'as besoin d'action, tu n'aimes que peu les hésitations, les préliminaires. et ander te veut, t'en es maintenant certain. lorsqu'il te demande de l'aide pour enlever son tshirt, qui lui colle à la peau, tu t'exécutes, dévoilant un torse musclé. tu te mords la lèvre inférieure, te rapprochant à ton tour. sa peau est froide. — il faut qu'on te réchauffe un peu ... sourire provocateur quand tes mains s'attaquent au bouton de son pantalon, à sa fermeture éclair. une fois cette partie résolue, tu poses tes mains sur ses hanches, l'attirant à toi. levant le visage, tu l'embrasses, cette fois-ci sans hésitation. l'heure n'est plus aux tâtonnements ...

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Mer 17 Fév - 19:52

Reece ? Tu notes quelque part dans ta tête, sait-on jamais, si t'as un nom à crier ça pourrait bien être celui-là. Reece, alors, se met à ta hauteur, un air insolent sur la gueule qui ne ressemble pas à quelqu'un qui aime s'encombrer de douceurs avant l'acte. Ah ouais ? Tu refermes tes paumes sur ses flancs, jusqu'à ce qu'il te tire le haut, ta peau à l'air libre désormais, piquée par les frissons. Mais la vérité c'est que t'as pas complètement froid et tu te sens déjà prendre en degrés alors que les premières frictions de ton torse contre le sien provoquent un échauffement significatif. T'articules zéro mot, t'as pas le temps et pas envie, tes lèvres sont prises d'assaut par les siennes, et tu réponds. Tu réponds sans passer par quatre chemin, en faisant traverser ta langue pour aller chercher la sienne et l'emmener dans un ballet aux bruits humides. Difficile de voir à quoi ressemble le mobilier autour de vous mais tu pousses votre équilibre maladroit vers la table du salon, ce quelle t'avais repérée en entrant. C'est un peu brut, la chute contre le bois fait du bruit et pour trouver une position confortable c'est galère, mais pas grave, tu connais, t'as fait pire qu'une table basse Leander. Alors que tu te bats en duel de baisers affamés ton bassin s'échauffe contre le sien, la boucle de ceinture déjà défaite par les soins de Reece et sans doute qu'il peut sentir le relief qui commence à poindre dangereusement. Tu décolles tes mains de son poitrail pour venir repousser ton pantalon vers le sol, et puis tu viens t'attaquer à son froc à lui, à l'aveugle comme toujours, remuant au passage ses boules.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Jeu 18 Fév - 0:01

sa langue qui s'infiltre entre tes lèvres, et voilà que débute une danse des plus torrides. tu sembles perdre pied, t'accrochant à son corps, les mains qui fouillent, qui cherchent. il te tire contre lui, t'entraînant jusqu'à la table faisant office de bureau, s'y asseyant dans un bruit de raclement contre le parquet. plus rien n'a d'importance de toute façon. pas à ce moment. vos corps qui se frottent, se cherchent, comme si ces contacts ne faisaient qu'augmenter la température. il n'est plus question d'avoir froid maintenant, au contraire, cette sensation de chaleur te donne envie d'être nu. c'est peut-être, sûrement même, la faute à ander, à sa façon de bouger, de t'embrasser. t'as envie de lui. de ce parfait inconnu dont tu ignores tout, croisé quelques minutes plus tôt sur le seuil de l'hôtel. l'alcool ingéré au cours de la soirée n'est sûrement pas étranger à cet accès de luxure, à cette perte de contrôle soudaine. mais tu t'en fiches. tu veux juste de lui. tu peux sentir la bosse dans son pantalon, puis la voir lorsqu'il descend son froc. s'attaquant à ton bas, ses mains ne manquent pas de toucher tes parties, ce qui ne fait qu'en augmenter le volume, le plaisir. gémissement qui quitte tes lèvres avant que finalement, tu ne lui arraches presque son caleçon, dévoilant son intimité déjà dressée. — j'ai l'impression que ça va mieux. de le voir nu, ça ne fait qu'augmenter ton désir. alors tu te baisses, presque à genoux, attrapant son membre, rapides mouvements de haut en bas pour l'exciter. parce que tu veux qu'ander, il devienne fou de toi. qu'il ne pense plus qu'à toi. ne désire plus que toi. et pour ça, tu poses tes lèvres charnues sur sa verge. tu le goûtes, et c'est délicieux. l'odeur musquée qui emplit tes narines. il n'y a plus qu'un bruit de succion humide, de grognements de plaisir.

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Jeu 18 Fév - 11:04

Ah putain oui ça va mieux. Délesté de ton haut, de ton bas, de ton tout, à poil dans la chambre d'un inconnu, ça t'envoie un frisson à la fois d'insolence et de délice. T'as jamais eu honte d'apparaître la bite à l'air, au contraire t'es le premier à défaire ta braguette en public. Mais là... À cette heure tardive... Avec ce petit mec sorti de derrière les fagots... C'est presque un rêve. Tu noies son cou de tes baisers trempés, reviens capturer ses lèvres pour mordiller doucement avant d'enfoncer ta langue et jouer avec la sienne. T'as pas de filtres, tu pétris sa peau des hanches et des cuisses, frôles ouvertement son pénis alors que tu l'effeuilles de sa dernière couche de tissus. Son pénis que tu sens durcir sous ton contact et ce serait mentir de dire que ta queue à toi est pas dressée. Pointée vers lui, vers sa gueule, toute palpitante dans l'air frais. Tu te fends d'un sourire carnassier lorsque ton cadet ploie des genoux pour atteindre la hauteur de ton précieux gorgé, lapant ta longueur, tétant ton gland luisant. T'y laisses un long soupir d'aisance, nuque rejetée vers l'arrière, tes phalanges qui glissent dans sa crinière noire et emmêlée. Il est beau ce petit con, et surtout, tu sais déjà qu'il est bon. Impatient de t'engoufrer là-dedans, tu profites d'abord de ses douceurs, récompensant par des caresses bien senties entre ses crins charbon quand sa langue vise juste.

-- Ahhn bordeeel...

Tu tiens en équilibre tu sais pas comment c'est possible surtout avec la vague de chaleur qui endort tes muscles et t'achève petit à petit. Tu gonfles le torse, les dernières gouttes de pluie qui commencent déjà à sécher alors que le petit s'applique à la tâche. Sa cavité buccale humide resserrée sur ton entrejambe, ses lèvres pulpeuses qui te liment la queue.

-- T'es bon, continue.

Et qu'il s'avise pas d'arrêter en si bon chemin. T'écartes un peu les cuisses pour lui laisser l'accès, tes valseuses bouillantes et pendantes dans le vide. Ton bassin mime des gestes pour accompagner le gamin dans ses allers retours et t'en redemandes encore alors que ta verge ne cesse de durcir sous la dévotion du plus jeune. T'ouvres l'œil une seconde pour voir et c'est beau de le voir là à l'œuvre, à genoux devant ta barre dressée.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Ven 19 Fév - 12:00

c'est à peine si tu te rends compte que lors de vos caresses, ander t'as également dépouillé de ton sous-vêtement, te laissant apparaître à ton tour entièrement nu. mais cela n'a pas d'importance dans l'immédiat, parce que c'est toi, qui est à genoux. c'est toi, qui t'occupe de toi. les soupirs de l'aîné te confortent, douce mélodie à tes oreilles, tambours de guerre qui t'encouragent à continuer, à t'appliquer. tu veux le faire crier ton nom. tu veux qu'il s'envole, qu'il plane. gémissant, ander enfouit ses doigts entre tes cheveux humides, comme pour t'encourager à continuer, chaque coup de langue semblant lui arracher un frissonnement de plaisir. comme si t'avais besoin qu'on te guide. de temps en temps tu resserres tes joues sur sa verge, la compressant l'espace d'une seconde avant de reprendre tes mouvements de succion de haut en bas, jouant avec ta langue, explorant chaque centimètre de sa queue désormais trempée de ta salive. merde reece, tu craques beaucoup trop vite à l'attrait du sexe. ander te supplie presque de continuer, écartant légèrement les jambes, prenant une position sans doute plus confortable. t'en profites pour respirer, pour envoyer un peu d'air dans ton gosier en feu. tes mains qui finalement entrent en action. si la première te sert à maintenir ton appui contre la table, la deuxième se montre plus utile, tes doigts enroulant ses testicules, tantôt des caresses douces, tantôt plus viriles, afin de multiplier les plaisirs. et t'accélères la cadence, montant de plus en plus vite, léchant cette barre de chair de plus en plus fort. putain ce que t'as envie de lui. tu sens ton propre sexe dressé, dégoulinant presque, et t'hésites à t'en occuper. plus tard. pour l'instant, t'es occupé. par ander.

@leander wilcox
Invité
Invité
Anonymous
Ven 19 Fév - 13:47

Drugs + sexe = le bonheur, y a pas d'autre mot. L'esprit déjà happé par les paradis artificiels, le travail du plus jeune vient te frapper de plein fouet. Tu pousses des râles reconnaissants à destination des cieux ; y a pas meilleur endroit pour ta queue que la gueule d'un autre. Quoique... Y a p't'êt' ailleurs tout compte fait. Tordu d'un rire qui coule comme la mélodie d'un vieux 33 tours, tu gratifies encore sa crinière trempée tandis que ton bassin suit tranquillement les assauts humides sur ta hampe.

-- Tu régales, cutie. Attends...

Ce serait dommage que tu jouisses déjà, et t'es pas trop dans le mood contrôle, si ça vient, ça vient, tu sauras pas retenir le coup de feu. Maintenant que Reece a bien trempé ton arsenal tu vas pouvoir t'en servir comme il se dit. En extirpant ta queue tu fais gaffe que les dents la raclent pas violemment. Oooh damn, tu pensais pas que tu bandais autant, le gland érigé vers le plafond, suintant de ses premières gouttes. Juste à temps on dirait. Pas d'explications pour le cadet, tu fonds sur lui pour abattre tes baisers affamés sur sa carne. Affalés sur la table, toi plaqué sur ses lèvres qui ont bien bossé. Tu sais ton sexe presser contre son entrejambe, lui aussi en proie à une réaction explicite, ça te fait sourire.

-- Prêt chéri ? Prêt... J'espère que tu l'es...

T'as envie de faire plongeon maintenant, sans préparation aucune, comme un bâtard.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Ven 19 Fév - 16:02

tu ignores combien de minutes se passent, comme si le temps n'a plus aucune emprise sur vous. un moment il te semble entendre la voix d'ander, qui t'encourage. tes mains qui tâtonnent, qui caressent. ses boules qui glissent entre tes doigts tandis que ta bouche se délecte de sa hampe. la scène en elle-même est d'un érotisme fou pour toi. qui aurait imaginé qu'en rentrant ce soir, tu serais tombé sur cet inconnu ? et surtout, que tu sois en train de le sucer avec entrain après quelques minutes dans ta chambre ? les ravages de l'alcool, d'autres substances illicites. mais pas que. il y avait cette frustration en toi, de ne pas avoir conclu avec jenna. de ne pas avoir claqué ta bite en elle. alors à la place, tu t'es rabattu sur ander. sans regrets, au contraire, t'es en train de prendre ton pied. finalement il se retire, un filet de salive en suspend, vous liant encore une seconde. tu reprends ton souffle, l'impression d'avoir sprinté un cent mètres. mais ander qui ne te laisse pas beaucoup de répit. assoiffé de toi, il te redresse, t'oblige à remonter. ses lèvres qui fusent sur toi comme autant de balles, qui se collent aux tiennes, comme pour se goûter lui-même. son sexe qui bute contre le tien, deux épées de chair, t'as des frissons qui t'agitent t'envie, de plaisir. il te demande si t'es prêt. il te prévient. tu déglutis, parce que t'as capté ce qu'il va faire. et t'es pas tellement prêt. l'envie y est. mais si il te prend comme ça, tu vas avoir mal. t'es pas contre la baise sauvage. alors allongé sur la table, t'es vif. tu te mouilles un doigt afin d'en titiller ton entrée, de l'humidifier. mais t'as pas le temps. pas ce soir. tant pis. t'as trop envie, de toute façon. — dépêche. d'une main tu attrapes son sexe qui manque de glisser, le guidant vers ton entrée. sentir son gland contre ton intimité te fait soupirer. la vue est plaisante, ton sexe qui se dresse entre vous, jaloux et luisant. tu tentes de calmer ta respiration, incapable toutefois. en ce moment, t'as juste besoin d'ander.

@leander wilcox
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Ven 19 Fév - 16:46

Le spectacle est beau. Bien beau... T'es content de ce minet qui s'agite bravement entre tes cuisses, avide avec sa salive qui se répand sur toute ta longueur tendue. Comme s'il essayait de tout faire disparaître derrière ses lèvres, mais c'est pas possible. Pas possible... Tu te vanterais d'une bite trop grosse pour qu'on puisse la gober comme ça, d'autant plus après que le gamin lui ait rendu sa liberté. Palpitante au-dessus des orphelines, comme un diable sortant de sa boîte. Fièrement dressée vers le lustre.

Couché sur la table, le divan, le sol – tu sais même plus tellement t'es arraché et les synapses engluées de désir, tu surplombes cette silhouette à la fois frêle et bien faite, muscles qui se découpent sur le torse, là où tes pattes ont l'habitude des paires de seins. Bizarre d'avoir rien à malaxer ou à téter, mais tu restes de toute façon scotché à ces lèvres qui ont ton propre goût, pré-sperme qui lui colle à la bouche. Tes paumes chutent pour explorer ces angles, cette masculinité juvénile. Flancs et cuisses, les genoux s'arrangent autour de toi pour t'avoir au plus près. T'as capté que ton partenaire a tenté de se préparer pendant une seconde, mais l'abandon qui a suivi t'a fait sourire plus fort : désolé bébé, j'vais pas être très doux, tu m'fais trop envie.

Et queues qui chahutaient ensemble jusqu'alors l'une contre l'autre, la tienne finit par s'inviter à l'ouverture à peine humidifiée, bravant les parois pour se frayer un chemin jusqu'au sein des chairs brûlantes. Cet événement t'arrache ton plus gros grondement jusqu'alors.

-- Hhmmm Oh pu-tAIN...!

Tes soupirs s'échouent dans le creux de son cou où ton museau repose, haletant. L'effort demandé est rapidement remplacé par le plaisir, et t'es un peu trop sur ton nuage pour te rendre compte de si tu fais mal ou pas mal. Tu vas plus loin, la chaleur écrasante pressée autour de ta verge aventurière. T'accroches le mobilier pour griffer impunément et éviter de tailler directement dans la peau du garçon. Ce qui était de la pluie se transforme en sueur. Plus loin, plus loin encore. Jusqu'au bout du monde Leander. Ton plus beau voyage.

-- T'es bon, t'es si bon.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Ven 19 Fév - 17:24

fatalement, ander commence à pousser. son gland qui se taille un chemin en toi, lentement. tu peux sentir la résistance, un éclair de douleur qui te fait grimacer. tu déglutis, te force à respirer, à te calmer. ne pas penser à la douleur. tes mains qui s'accrochent à la table, ta poitrine qui se soulève. c'est bon et douloureux à la fois. tu peux sentir chaque centimètre d'ander te pénétrer, et peu à peu la douleur s'estompe. tu respires plus fort, plus vite aussi. le sentir en toi te comble, tandis que son grognement t'indique que ça lui plait également. ton amant vient poser sa tête sur ton cou, tu peux sentir son souffle haletant, l'effort que lui demande cet acte de luxure ultime. son ventre qui écrase ton propre sexe te donne des frissons de plaisir, tu dégoulines. soupirs qui s'échappent de tes lèvres humides quand ander s'enfonce encore un peu en toi. — putain. tu jures parce que ça pique autant que ça fait du bien, ces vagues de bonheur qui t'agitent le sexe à chaque mouvement d'ander. lentement, tu commences à bouger tes hanches, parce que t'as envie de le sentir en toi, t'as envie qu'il glisse mieux, que sa peau se mouille de lui, de toi, de vous. t'as juste envie de te faire baiser. pendant une fraction de seconde, cette pensée de couvre de honte, te donne la gerbe. que tu t'abaisses à tes instincts les plus primaux, les plus inavouables. mais merde. t'es jeune. ton crédo, c'est un peu de profiter de la vie. et en quoi le sexe, c'est mal ? au contraire, il ne procure que plaisirs. alors pour l'instant, ton plaisir se résume à ander. — oh oui ... vas-y ... la voix un peu rauque, tu l'encourages, tu lui demandes de te faire l'amour. ou plutôt, de te baiser. car il n'y a pas de sentiments entre vous. que du sexe. et ça te va.

@leander wilcox
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Ven 19 Fév - 18:18

Y a quelque chose de beau dans une étreinte où deux hommes se confrontent. Parce que c'est un peu ce qui se passe : c'est un combat. La tendresse et les gestes d'amour ils cachent une envie d'affrontement, de domination. Quand lui te labourera les épaules toi tu frapperas plus fort ses entrailles. Inspire, expire. Plus loin. Tu fais mal ? Tu sais pas, t'en as aucune idée, tu baignes dans la sueur et le désir, ça propulse tes hanches plus au fond de ce nid bouillant. T'as l'impression d'être arrivé au terminus tellement t'es encastré dans ce corps. Animal, sans délicatesse, tu t'appropries le lieu, car c'est là qu'est ta place. Le territoire est tien, marqué par tes coups de reins. D'abord c'est doux. Puis, moins. Et plus du tout. Allers-retours incessants, énervés presque, tu racles, ton losange de Michaelis se creuse dans le bas de ton dos tellement tu donnes tout. Les crêtes de tes omoplates se dessinent sous ta peau tendue. Ton équilibre précaire te maintient suspendu au-dessus de ton beau. Parce qu'il est beau, ravagé par tes assauts. Les pieds de table reculent, poussés par la force qui vous anime. C'est casse gueule. C'est bon. Tu grognes de félicité. Les murs se nourrissent de vos cris bestiaux. T'as même pas l'occasion de mordre dans la peau pour savourer, ton martèlement te prend tous tes muscles, t'as juste le temps pour lécher un peu, embrasser à la volée, susurrer des mots salaces à l'oreille de ton cadet. Tu ressembles à une bête sauvage en rut Ander. C'est peut-être là une de tes plus grandes beautés. Celle qui n'a pas de tabou, pas de frontière. Tu frappes plus fort. Plus loin. Tu vas le remplir ce gamin, comme jamais. Tu sens son corps se tendre sous toi, se tasser sous tes soupirs. On entend le bruit de vos peaux qui claquent et frictionnent entre elles, tes boules qui rebondissent contre sa croupe.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Lun 22 Fév - 10:33

t'as l'impression de ressentir chaque parcelle de sa bite en toi, entrer lentement, creuser son chemin. la chaleur qui t'inonde, vos souffles qui se mélangent en une sauvage mélodie, ponctuée par vos grognements. tu peux encore sentir la douleur, les signaux envoyés par ton corps à l'accueil de ce membre étranger. et pourtant tu le veux, toujours plus loin. — ah. finalement ander qui bute au fond, qui t'empli, te comble. tu redresses un peu le visage pour darder ton regard sur lui. il est beau. c'est pas tellement ton genre, d'habitude tu ne couches qu'avec des gens de ton âge, environ. mais ce soir, tu ne peux pas expliquer cette alchimie qui semble fonctionner entre vous. cet inconnu croisé quelques minutes plus tôt, compagnon d'infortune. deux êtres ayant tout simplement besoin de se défouler, de laisser leurs passions guider leurs corps. corps qui désormais ne font plus qu'un tandis qu'ander commence des mouvements de bassin de plus en plus rapides, qu'il entre et ressort en toi toujours plus fort. tu grognes, tu gémis, à chaque passage. parce que la douleur cesse, laissant place au plaisir le plus pur. de temps en temps son visage s'approche, il t'embrasse, te glisse quelque mots à l'oreille, tu ne comprends pas toujours. mais c'est sale, c'est vulgaire. c'est sauvage. et t'aimes ça. tandis qu'une main continue à s'agripper à la table, dont les pieds grincent et cognent le parquet de la chambre, ton autre main vient à l'encontre de ton sexe. dressé, dur, dégoulinant. qui se balance au rythme des coups d'ander, bercé par le son de ses boules qui claquent contre tes fesses. — oh continue. parce que c'est bon, parce que t'as des éclairs qui te traversent le corps. ta peau qui s'humidifie, la sueur qui s'invite à la fête. et tu commences à te branler, parce que t'en peux plus, parce que t'as envie d'exploser. tu ne sais pas combien de temps tu vas tenir. tu ignores aussi combien de temps ander continuera à te baiser comme ça, comme un animal. et tu t'en fiches. tu veux que le temps s'arrête, que le plaisir ne cesse jamais. impossible, utopie inavouable. mais pour l'instant tu n'y penses pas. ton ton corps concentré sur le plaisir que te donne ander en te pénétrant, sur sa queue désormais trempée qui entre et sort de toi sans encombre, sans résistance. parfois tu te serres un peu, parce que ça varie le plaisir. et tu ne peux pas le nier, ander sait comment baiser.

@leander wilcox
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Mar 23 Fév - 22:56

T'es comme bourré pendant tes assauts, les gestes aussi bruts que soudains, sans envie de perdre ton temps. Une vierge aurait putain de mal avec toi si tu la baisais comme tu le fais maintenant. Mais ça tu t'en fous pas mal, tu frappes plus fort. Ta queue s'enfonce, gland qui chatouille et maltraite une prostate nichée dans l'abîme de cet écrin de chaleur. L'étau se referme un peu autour de ta bite d'ailleurs, t'envoyant une salve de fournaise bien sentie qui te fait pousser un grondement terrible et sensuel. Toute ta luxure qui s'en va repeindre les murs. Ta plus belle mélodie et de loin. Il te dit continue, ton partenaire, et même s'il te l'avait pas demandé tu l'aurais fait. T'aurais pas cessé. Jamais tu l'aurais fait. C'est mal ? Ouais peut-être. Toujours est-il que ça t'empêche pas de culbuter davantage, comme si ta vie en dépendait. Comme si c'était vital. Et tu le sens se branler le petit, tu le sens vouloir s'achever en même temps que toi alors que la fin approche de plus en plus et tu la vois poindre le bout de son nez, du peu que t'arrives à ouvrir les yeux dans cette pénombre crade et incertaine. T'oublies ce que tu fous là, ici, dans la chambre d'hôtel d'un gamin, à baiser son cul comme un taré et c'est même pas dans son pieu. Entre vos rugissements emmêlés on entend la peau de tes bourses claquer sur sa croupe toute blanche au garçon. T'es proche Ander t'es proche. Griffes plantées dans sa carne, les dents serrées, souffle ardent niché au creux de son cou, t'es proche. La table a reculé de plusieurs centimètres avec vos conneries, et t'as pas fini de faire grincer le bois alors que ton dernier coup de reins fait opérer la magie de l'orgasme vif et brûlant. Putain ! Le cri que tu lâches au plafond, un chapelet de jurons à faire rougir les oreilles de Mona Lisa. Ton vice se déverse au creux des chairs tendres et masculines, collant et opaque. Dégueu et magnifique. T'envoies tout ce que t'as, les poumons percés de ta plus belle félicité de ce soir. T'as vraiment aucune idée de où t'es, à quelle époque, pourquoi Amanda vient de jouir sur ton torse. Tu sais pas mais t'es heureux Ander, trop heureux pour te poser des questions sur le sens de la vie. Tu fonds dans l'étreinte douce et salutaire après l'amour, ces bras fins au parfum masculin que tu respires, reconnaissant et repu. Entre la sueur et le foutre. Entre le bonheur et le mystère.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Mar 2 Mar - 11:12

(navré pour le retard keur)

aucune douceur, les sentiments ne font pas partie de la fête. il n'y a que les allers-retours d'ander qui comptent, l'acte dans sa plus brute expression. tu peux sentir son excitation quand tu serres un peu, que tu emprisonnes son membre qui pourtant semble avoir prit possession de toi, entièrement. le claquement que produit chacun de ses coups de bassin qui rythme cette danse où tu ne peux que subir, où tu n'as pas ton mot à dire. mais de toute façon, tu n'en as pas envie. tu laisses volontiers l'initiative à ander, à sa bite qui chatouille ta prostate, qui ravage tes entrailles en te menant à ta perte, qui t'envoie valser dans les limbes du plaisir. ton souffle rauque se mêle au sien, parfois tu lâches un gémissement, un grognement. c'est juste bon parfois, de s'abandonner totalement. de ne plus réfléchir à rien qu'à soi-même, à ses propres ressentis. et là, t'es au paradis. parfois les mouvements de ta main sur ta queue s'interrompent, quand ton corps culbute un peu plus fort, que la queue d'ander s'enfonce un peu plus loin. ton cerveau qui ne semble plus fonctionner, prisonnier de la luxure à laquelle tu t'abandonnes totalement. vos torses collés, tu sens qu'ander s'approche de la délivrance, de la fin. tu peux le sentir à ses coups de reins plus vigoureux, plus secs. à son souffle qui se fait plus violent, plus chaud sur ton cou. tu galères à continuer à te branler, parce que le corps d'ander te surplombe, te bloque. et finalement tombe el couperet. au cri d'une injure, il jouit, se délivrant en toi, se laissant exploser. tu tressailles en sentant la chaleur t'inonder, alors tu accélères tes mains. tes dents qui mordillent tes lèvres, ton continue à te branler jusqu'à finalement, cracher à ton tour. — a ... ah ! tes abdos et ton torse souillés, la scène ne te choque pas. tu te contractes encore quelques secondes, les derniers éclairs te plaisirs qui t'achèvent. et tout à coup, le silence. uniqumement brisé par vos respirations saccadés, par vos corps qui tentent de récupérer de l'effort. vos sueurs qui se mêlent au foutre, allongés l'un sur l'autre. tu clignes des yeux, comme pour te persuader que tout est bien réel. — putain de merde. c'était intense, sauvage, bon. l'impression que ton corps brûle. que ton cul est en feu, maintenant qu'ander s'est retiré. t'as besoin de t'essuyer. de te laver. — je ... je vais à la douche. t'as envie de l'inviter. qu'il se glisse avec toi sous l'eau chaude, que vous baisiez à nouveau. mais t'as besoin d'un peu de temps pour récupérer. autant ton corps que ton esprit, fatigués par cette première joute corporelle.

@leander wilcox
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Jeu 4 Mar - 12:14

Tu glisses de ton piédestal, lentement, une flaque qui échoue dans un soupir. Ton plus bel abandon sans doute et le petit mec se retire à son tour, crevé comme tu l'es. Un sourire te fend la gueule jusqu'au ciel, t'es heureux, bien trop heureux d'avoir vidé tes couilles même si c'est pas Amanda. Tu pensais clairement pas dénicher un boy après t'être égaré comme ça dans les rues de London et franchement ça fait plaisir. T'aurais bien envie de féliciter le garçon par une caresse dans sa tignasse charbon mais le voilà qui décolle déjà... Damn, la jeunesse a tellement de ressources, toi et tes trente-trois balais t'as l'impression d'avoir déjà la carcasse rouillée. Allez fais un effort Ander. Pousse sur les coudes et hisse-toi jusqu'au canapé au moins, que tu t'endormes pas à même le sol si ça devait arriver. Et ça finira par arriver probablement, si le Reece s'attarde trop sous la douche tu vas laisser la chute d'eau lointaine bercer ta tête et t'endormir. Le sexe te donne toujours envie de pioncer après avoir bien giclé. Installé au divan, étalé sur le dos, la bite à l'air, encore luisante et trempée de ton foutre, tu fermes les yeux tranquillement, des papillons encore pleins la caboche alors que tu plonges lentement dans les bras de Morphée. Dodo time.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Ven 5 Mar - 17:17

l'eau chaude aussi bienfaisante pour ton corps que pour ton esprit. tes pieds qui te maintiennent à peine debout, la fatigue, l'alcool, la baise. un mélange fatiguant, épuisant, qui te donne presque envie de t'allonger sous la douche, de laisse l'eau t'envelopper, te bercer. mais tu peux pas. prenant une profonde inspiration, tu te laves chaque centimètre du corps, ne serait-ce que pour essuyer les traces de tes ébats avec ander. d'ailleurs tu perds vite espoir de le voir te rejoindre sous la douche. peut-être s'en est-il déjà allé ? ça ne t'étonnerait même pas, et au final, tu t'en fiches. il n'est qu'un inconnu parmi tant d'autres, une distraction plus que bienvenue pour égayer cette fin de soirée. ou début de matinée ? t'en sais rien. tu ne sais même pas quelle heure il est. juste que t'as congé demain. en sortant de la douche, tu t'essuies rapidement. — shit. t'as un peu mal au cul, parce qu'ander s'en est donné à coeur joie. et que vous n'avez pas spécialement prit le temps pour des préliminaires, l'envie de sexe trop pressante vous ayant totalement dominés. enfin propre, tu reviens dans la chambre, un simple linge autour de la taille. merde, ander est encore là. et ... il dort ! tu hausses les sourcils en clignant des yeux, comme pour t'assurer que t'es pas en train de divaguer. il est bien là, allongé sur ton canapé. et ... le sexe à l'air, encore trempé, brillant. t'arrives pas à y croire, il s'est carrément endormi nu ! au final ... tu t'en fiches. t'as clairement besoin de dormir. et dans son état, il ne te fera pas de mal. de toute façon il n'y a rien de précieux à voler dans ta chambre, alors tu te laisses tomber sur ton lit. en quelques secondes, tu t'endors. une bonne soirée.

...

t'ouvres les yeux avec difficulté. l'obscurité à peine troublée par le volet à moitié ouvert. les souvenirs se rassemblent, tu te souviens de la veille. l'anniversaire, l'after foiré avec jenna. et cet inconnu, ander, rencontré trempé au pied de l'hôtel. et qui t'a baisé comme un sauvage, à ton plus grand plaisir. la chambre n'est pas bien grande, tu peux entendre sa respiration, un peu plus loin. sur le canapé. esquissant un sourire, tu te lèves, faisant tomber le linge autour de ta taille. tu comptes bien profiter de sa présence encore un moment. de son corps. mais avant ça, t'as besoin d'un café. parce que la migraine menace d'envahir ton crâne. et un peu de caféine, c'est ton rituel du matin. marchant jusqu'au petit comptoir, tu allumes la machine, insérant une capsule à l'intérieur. s'il se réveille ? tant pis. il te verra nu, mais t'es plus à ça prêt, avec lui. et si il continue à dormir ? tu iras le réveiller ... à ta manière.

@leander wilcox
Invité
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Sam 6 Mar - 9:32

En gros t'as dormi comme un bébé Leander. Affalé genre bâtard sur le divan de ton hôte, cuisses écartées, couilles à l'air, la mine toute fraîche et endormie. La fatigue t'avait déjà fait sienne la veille, mais là avec le week-end tu t'es laissé allé et peut-être qu'il est 10:00 quand tu commences à remuer un peu. Pour autant t'es pas tout à fait réveillé, t'es à mi-chemin entre songes et réalité, ton cerveau hésite à te faire ouvrir les yeux, donc pour le moment il le fait pas. Il attend de voir. On est bien là, au chaud, sous les premiers rayons du soleil qui percent entre deux rideaux épais. D'ici on peut t'entendre gesticuler un peu, un tout petit peu, mais même le ronronnement de la machine à café suffit pas à te sortir des bras de Morphée. Morphée t'a emmené faire un rêve un peu bizarre. Un couloir de cinéma dans lequel tu cours indéfiniment avec ta muse, vous fuyez quelque chose mais tu sais pas quoi, te retourner ça semble faire trop peur alors vous continuez à courir loin pour échapper à l'enfer. Puis le sol s'écoule en sables mouvants, tu glisses tu tombes, mais la chute ne fait ni mal ni peur. Tu glisses tu tombes. Une jungle s'ouvre, florissante et verte, splendide et cruelle. Vous courez toujours.
Reece Baxton
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Reece Baxton
Since : 21/01/2021 SMS : 176
Lun 8 Mar - 17:58

ander ne semble pas dérangé par le bruit de la machine à café. ton regard posé sur lui, tu te demandes s'il va se réveiller, mais il te semble bien décidé à continuer sa nuit. après tout  ... elle s'est révélée plus courte que prévue, la faute à votre ébat imprévu. le voir ainsi allongé sur le canapé, dans son plus simple appareil, tu veux bien avouer que ça ne te laisse pas indifférent. t'es un faible reece, tu n'arrives jamais à rester tranquille quand tu peux t'envoyer en l'air. et bien souvent ça te cause des soucis, des histoires de jalousies avec les jeunes femmes que tu fréquentes. des prises de têtes sans fins. sauf qu'avec ander, tu pourrais parier qu'il ne s'agit que d'un type que tu ne reverras sans doute jamais. qui a cherché, tout comme toi, un plaisir éphémère, passager. sauf qu'au contraire de ce à quoi tu t'attendais, il ne s'est pas évanouit dans la nuit une fois votre baise terminée. non, il est resté. et là, le bel homme se trouve toujours sur ton canapé. à poil. comme toi. alors tu ne résistes pas. ta tasse de café en main, tu prends place sur le maigre espace encore libre sur le canapé, poussant un peu ses jambes au passage. tu sais qu'il s'est pas douché hier soir, alors tu refoules ton envie de le prendre en bouche dans son sommeil. parce que pour l'avoir vécu, tu sais que le réveil n'en est que divin. au lieu de ça, tu laisses un doigt filer le long de sa jambe, remontant l'intérieur de sa cuisse. avant de finalement passer délicatement sur son membre au repos, douce caresse qui tu espères, lui donnera envie de toi. et tout ça en sirotant ton café. normalité.

@leander wilcox
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